Extrait

Déshabille-toi, m’ordonna-t-il d’un ton ferme, mais non dépourvu d’une certaine douceur.

Sa réplique me laissa coite pendant quelques secondes, mais sans réfléchir davantage, j’obéis docilement. J’ôtai le tee-shirt qui me recouvrait jusqu’en haut des cuisses et le laissai tomber sur le sol. Il m’attrapa par la taille pour me rapprocher de lui et ses mains s’attardèrent sur ma poitrine, sur mon ventre, sur mes fesses. Il me caressait doucement, sans me quitter des yeux, et je ne pus répondre que par des gémissements de contentement.Il passa deux doigts de chaque côté de ma culotte et, d’un haussement de sourcils, me demanda si j’acceptais qu’il me l’enlève. J’acquiesçai faiblement, mon corps en feu déjà parcouru de tremblements sous ses précédentes caresses, attendant la suite avec autant d’impatience que d’appréhension. Il la laissa descendre lentement le long de mes jambes, puis fit remonter ses mains en s’attardant sur mes chevilles, mes mollets, l’arrière de mes genoux, mes cuisses.

— Tu es tellement humide, et tellement belle, murmura-t-il lorsqu’il découvrit à quel point j’étais prête en enfonçant ses doigts en moi d’un geste brutal, sans me quitter des yeux un seul instant......................................................

Mais pas ce soir. Ce soir, je te veux face au mur, les mains au-dessus de la tête.

Sa voix était froide, contrôlée, mais ses yeux brillaient de désir. Je fis ce qu’il m’ordonnait et je le sentis bientôt derrière moi.

— Cambre-toi, m’intima-t-il en passant sa main le long de ma colonne vertébrale. Oui, comme ça. Sranje, tu es tellement belle, tellement parfaite.