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Liste des extraits
PKJ, p. 115
« Ollie avança. Elle n'était pas en train de tomber. Elle n'allait pas tomber. Les yeux de Coco le lui promettaient, et ses mains fines aussi. Des mains fortes, comprit Ollie. Coco ne pleurait pas parce qu'elle était faible. Coco pleurait parce qu'elle éprouvait des émotions. Ollie ne pleurait jamais parce qu'elle ne ressentait jamais rien. Plus maintenant. Plus vraiment. Elle essayait de ne plus rien ressentir. »
Afficher en entierPKJ, p. 32
« Quelle est la différence entre une page et un verre ?
— Papa...
— Alors ?
— Je n'en sais rien.
Son père sourit de toutes ses dents.
— Plusieurs pages, l'informa-t-il, ça fait un livre.
Ollie devinait la suite de la blague.
— Papa.
— Alors que plusieurs verres, termina-t-il gaiement, ça fait un ivre ! »
Afficher en entierPKJ, p. 23
« Quand la brume descend, quand l'homme qui sourit apparaît.
Évite les endroits dégagés la nuit.
Reste dans les recoins. »
Afficher en entierPKJ, p. 12
« Pourquoi venir jusqu'ici pour flanquer un livre dans la rivière . On pouvait très bien en faire don. Il y avait des boîtes à livres partout dans Evansburg.
— Il le faut ! s'écria la femme, ce qui arrêta net Ollie. C'est le marché. Tout préparer. Puis jeter le livre dans l'eau. Je n'ai pas le choix, tu comprends ? conclut-elle avec un regard implorant.
Ollie essaya de ramener la conversation sur un terrain mois bizarre en s'approchant.
— On peut faire don d'un livre, si on n'en veut plus, dit-elle avec fermeté. Le donner à... à quelqu'un. Mais ne le jetez pas dans la rivière.
— Mais il le faut, répéta la femme. »
Afficher en entierShe wanted so badly to read, it felt like her book was burning a hole in her backpack.
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