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« Il était là et juste ça, ça m’apaisait. Je le sentais. Son Aura, son odeur. Tout ce qu’il était. Il n’y avait qu’avec lui que j’avais la sensation d’être vraiment moi. Même dans la colère et le ressentiment.

Il était là.

Et le monde pouvait disparaître, s’il était là. »

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_ Non, il n’est pas plus important que Sully, mais…

— Plus important que moi, alors ? insista-t-il.

— Non plus, mon grand.

— Alors pourquoi tu y vas, s’il n’est pas plus important que Sully et pas plus important que moi ?

Je lui caressai doucement ses cheveux blonds toujours en vrac sur sa petite tête, et m’amusai de trouver ses cornes encore plus longues.

— Tu comprendras quand je reviendrai. Mais en attendant, tu pourras toujours compter sur Sully, d’accord ? Si tu as peur, si tu as besoin de quelque chose, si tu veux parler, va le voir. Il est comme un monde à l’abri duquel tu peux vivre, tranquille. Il te protégera toujours.

Il hocha la tête et croisa ses bras si fins – mais moins que lorsque je l’avais trouvé dans ce quartier malfamé d’Agora.

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Il ne me laissa pas finir et écrasa ses lèvres sur les miennes.

— Je t’aime, Sully.

Je m’écartai un peu de lui et le fixai. Il se lécha les lèvres et j’essayai de percer l’ombre tapie derrière ses yeux. Il empoigna mes cheveux, fermement, ramenant mon visage vers le sien, et j’abandonnai.

— Je t’aime, répéta-t-il.

Ces mots résonnèrent dans ma tête ; ces simples mots qui signifiaient tellement.

C’était du désir, quand il les soufflait contre ma peau qu’il parcourait de baisers.

C’était de la douleur, quand la peur nous rattrapait, quand le danger nous écrasait.

C’était de la tendresse, lorsqu’il me les murmurait à l’oreille, les matins, en se réveillant.

C’était de la passion, quand je le lui arrachai, à des moments où il aurait voulu les garder.

C’était du bonheur, les soirs, lorsqu’il me les offrait juste avant de s’endormir.

C’était de la violence, lorsqu’il le rugissait, avant que son Démon annihile tout.

C’était une promesse, que nous nous offrions lorsque nous devions nous séparer ; celle de nous revoir, de nous retrouver, toujours.

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Ses yeux rouges plongèrent au fond des miens, semblables à des lames prêtes à me tuer, si jamais il n'y trouvait pas ce qu'il cherchait. Il ne m'avait jamais paru plus dangereux qu'à cet instant. Nous savions tous les deux qu'il n'avait qu'un geste à faire, infime, presque rien, pour me tuer. Et que mon Aura avait beau claquer autour de moi, je n'étais déjà plus capable de m'y accrocher. Ces pouvoirs, je ne les connaissais pas assez pour lutter contre Kimon. Je n'en avais même pas envie, d'ailleurs. Même maintenant... Encore plus maintenant...

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— Ton Démon est déjà au QG, me lança-t-il négligemment, d’un ton presque trop chantant. Avec Arik. Et son joli petit blond aux grands yeux. Tu as senti ce qui se dégage d’eux, Zeff ? On ne peut pas rater ça, c’est…

Le mur du couloir se fissura de toutes parts. Zeff et James le regardèrent l’un en sifflant, l’autre en claquant la langue contre son palais. Si je n’avais pas lu ce foutu journal, si je n’avais pas tous ces doutes dans la tête, je ne me serais pas laissé atteindre si facilement.

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Tu es comme moi, toi aussi ?

Je lui fis un clin d’œil.

— Je suis bien moins cool, lui dis-je. Je voudrais des cornes comme les tiennes.

Il les toucha, surpris.

— Tout le monde dit que c’est parce que je suis un monstre.

— Tout le monde se trompe.

Je me redressai et me tournai vers Kimon, qui me regardait comme si j’avais décroché la lune pour la poser dans ses bras. Il enfouit le visage dans mon cou et me murmura à l’oreille.

— Rappelle-moi de t’expliquer à quel point tu me plais, tout à l’heure.

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Une fois que nous fûmes installés dans un petit carré à l’écart, un jeune Vampire vint nous donner la carte. Ses gestes étaient lents et ses yeux s’attardèrent sur Arik. Trop longtemps à son goût. Il lui lança un regard noir.

Le serveur repartit avec un petit sourire étrangement satisfait.

— Quel succès, ironisai-je.

— En ce moment, j’attire tout et n’importe quoi, me répondit-il.

— Classerais-tu les Vampires dans la case « n’importe quoi » ? questionna Sanders sur un ton vexé.

— Euh… je…, bafouilla Arik.

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Je poussai la porte doucement et avançai avec prudence.

Quelque chose n’allait pas.

Je le sentais, c’était comme un sixième sens, l’entraînement, l’expérience. Je ne me trompais jamais. Mon Démon était déjà prêt à gronder.

Je marchai à pas feutrés jusqu’au salon et… me figeai aussitôt.

Mon bras retomba, mon cœur cessa un instant de battre.

Je n’étais pas préparé à le voir là. Ou peut-être que je l’avais tellement attendu que je n’y croyais plus. Comme un rêve que l’on fait sans cesse en sachant qu’il y a peu de chances qu’il se réalise.

Et il était là, pourtant.

Il me regardait.

Immobile.

— Sullivan ?

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