Commandant Servaz, Tome 5 : Sœurs

Un thriller surprenant et haletant. Une histoire pleine de suspens et de rebondissements. Une enquête bien détaillé et bien ficelé. Les révélations ne manquent pas. Bernard Minier tient en haleine son lecteur jusqu'à la fin grâce à un style d'écriture percutant et par son personnage phare: le commandant Servaz.

Complétement happée par la tournure des événements et touchée par la psychologie, bien défini, des personnages secondaires.

Fin bref, j'ai adoré cette lecture.

Malheureusement déçu par ce cinquième tomes de Servaz. Tous les ingrédients sont pourtant là mais les 100 dernières pages ne me semblent pas à la hauteur du potentiel de rebondissement qu'offrent le début.

J'espère qu'il ne s'agit que d'un petit accident de parcours et que je retrouverai un plaisir complet et non frustré avec le tome 6

Décidément cet auteur n'arrête pas de me surprendre !

Pourrait-il détrôner mon auteur chouchou,pas encore mais j'avoue que ce tome 5 est vraiment génial.

L'auteur a vraiment le don de me faire tourner "bourrique".

Tout au long de ma lecture je cherche les indices le petit truc qui peut me permettre d'identifier le coupable et à chaque fois plouf,je dois tout reprendre depuis le début.

Alors oui l'intrigue est vraiment prenante ,oui la plume est toujours aussi addictive et oui la fin est bleuffante.

Quoi dire de plus que de vous dire de découvrir cette saga si cela n'est pas encore le cas.

🌲 Février 2018,Martin Servaz découvre une enquête qui lui rappelle sa toute première lorsqu'il est arrivé à la SRPJ de Toulouse en 1993.

La femme de l'écrivain Érik Lang est assassinée, retrouvée morte en tenue de communiante.

Beaucoup de similitudes sèment le doute dans l'esprit du commandant Servaz .

Il doit rouvrir l'enquête sur les deux sœurs retrouvées mortent attachées à un arbre dans une tenue de communiante en bordure de Garonne.

Se serait-il trompé de coupable ?

J'ai trouvé dans ce livre une histoire pleine de suspens, de personnages formidables qui vous entrainent dans une enquête pleine de rebondissements et qui vous tient en haleine du début jusqu'à la fin....

Je viens de finir cette histoire et c'est un plaisir de replonger dans la vie du capitaine Martin servaz, l'histoire ne m'a pas autant marquée que "glacé " cependant je suis contente d'avoir lu cette histoire qui se déroule sur une grande période.

Bernard Minier est l'un des plus grands auteurs, selon moi, de ces temps. Vu que je n'es pas lu dans l'ordre la série du Comandant Servaz, j'ai continué avec ce tome.

1993- Deux soeurs sont retrouvées mortes en robe de communiante. 2018- Le suspect des années 90 découvre sa femme morte. Servaz est toujours dans l'affaire.

J'ai trouvé cette histoire très intéressante mais un peu déçue par le dénouement. Il y a beaucoup de référence aux précédents ouvrages. Mis à part sa, l'histoire est très prenante est toujours autant fan de Minier et de ces histoires étranges.

Avec « Sœurs », je découvre un auteur, Bernard Minier, dont j’avais bien sûr déjà entendu le nom, mais que je n’avais encore jamais lu. Chose faite et premier constat : pas de déception, une attirance irrésistible pour le mystère habilement entretenu par l’auteur, mais pas le grand émerveillement espéré.

Le roman commence par un double meurtre en 1993 : deux jeunes sœurs, fans d’un écrivain célèbre, sont retrouvées assassinées selon une mise en scène tout droit sortie d’un thriller de leur auteur favori, Erik Lang. Un jeune enquêteur, Martin Servaz, vient juste d’intégrer le service de la PJ de Toulouse et se retrouve au sein de l’équipe chargée de cette affaire.

Nous le retrouverons 25 ans plus tard lorsque l’épouse d’Erik Lang est assassinée, elle aussi, dans des circonstances reproduisant un scénario analogue à l’un des polars de l’écrivain.

Erik Lang, aux goûts pervers et au comportement cynique est-il victime ou coupable ?

Martin Servaz constate avec regret que bien des points de la première enquête n’ont pas été suffisamment exploités. Il se met frénétiquement à lire les livres de Lang et opère de nouvelles recherches rendues possibles grâce aux progrès de la police scientifique.

L’enquête est cohérente et haletante, avec des rebondissements inattendus, mais pour ma part, j’ai estimé les personnages légèrement caricaturaux. Servaz, le flic, est tellement imbriqué dans son enquête qu’il n’en dort plus et néglige le fils qu’il a adopté ; Lang, l’écrivain, impassible, qui tient son rôle de « vedette », ne dévoile aucune de ses pensées ; Mandel, le fanatique lecteur assidu de Lang, par son asociabilité, semble presque débile ; les victimes enfin, dont il est fait peu de cas, et dont le potentiel n’est pas suffisamment (à mon avis) exploité, sont comme amputées de leurs familles…

Le personnage qui m’a plus déconcertée est le fils de Servaz, le petit Gustave.

Cet enfant qu’il a recueilli et auquel il a fait un don d’organe, est issu d’un autre roman de Bernard Minier. La série Servaz comprend huit tomes. N’ayant pas lu le tome 4 « Nuit », il est assurément logique que je n’aie pas accroché à ce petit bonhomme. Mais je ne peux m’empêcher de penser que, vu ce qu’il a enduré, je ne donne pas cher de sa future santé mentale s’il n’est pas suivi par un bon psy.

Quant au dénouement, l’auteur s’engouffre avec une étonnante facilité dans une chute d’une affligeante banalité.

https://memoiredeliseuse.odoo.com/blog/news-2/soeurs-182

Jamais déçue avec la série Martin Servaz. C'est, pour l'instant, celui que j'ai le moins apprécié (si je devais les classer) mais il m'a quand même tenu en haleine !

Mon premier « Martin Servaz » et sans aucun doute le premier d'une longue série de mes futures lectures. J’ai à la fois découvert l’auteur et son personnage fétiche dans cette enquête torturée et haletante. J'ai adoré cette enquête sur deux époques où le personnage principal qui traine de nombreuses casseroles a bien évolué psychologiquement et professionnellement. On apprécie la première partie qui est une enquête « à l’ancienne » avec des flics qui font penser aux héros des téléfilms de cette époque. La seconde partie amène la partie technologique et remet en lumière cette première partie. Malgré quelques incohérences j'ai passé un excellent moment.

Encore un roman dévoré de mon auteur favori