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« - Ah, les secrets (…), on n’en voit jamais le bout. (…). Quand l’un part en fumée, un autre vient aussitôt le replacer.
- À moins d’en briser le cycle, murmura Véronika.
(…)
- Ou de le dérouler jusqu’à la fin, quoi qu’il en coûte.
P. 680
Afficher en entier« Toute guerre a un coût. Même pour le vainqueur, il y’a un prix à payer. »
P. 611
Afficher en entier« Parfois, afin d’accomplir ce qu’on sait être juste, il nous faut entreprendre ce que d’autres réprouvent. »
P. 587
Afficher en entier« Ainsi se distinguaient les vrais guerriers et les vrais Dresseurs. (…) être Dresseur ou Dresseuse n’avait rien à voir avec l’obtention d’un titre, une liste de critères à remplir ou un héritage à honorer. Ces combattants étaient avant tout les protecteurs du peuple, les défenseurs de la lumière. »
~ Véronika
P. 564
Afficher en entier« Telle une ancre, l’amour tiendra bon au cœur de la tempête, mais que les imprudents prennent garde, il peut aussi les envoyer par le fond. »
P. 455
Afficher en entier« Mais gare à qui l’on s’attache - ces liens, une fois noués, ne se laissent pas défaire aisément. »
P. 441
Afficher en entier« Mais aucune victoire n’est sans conséquences »
P. 317
Afficher en entier« La vie est ainsi faite :
Il faut tuer ou être tué.
Gouverner ou subir le joug.
Vaincre ou périr. »
P. 305
Afficher en entier« Mais le feu forge les armes. L’obsidienne, l’acier… les phénix.
Tous sont plus résistants après avoir été soumis à l’épreuve des flammes.
Il en va parfois de même pour les êtres humains. »
P. 252
Afficher en entier- C’est bien le problème avec les secrets : on n’en voit jamais le bout. Quand l’un part en fumée, un autre vient aussitôt le remplacer.
P. 169
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