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Commentaires de livres faits par Sokingu

Extraits de livres par Sokingu

Commentaires de livres appréciés par Sokingu

Extraits de livres appréciés par Sokingu

J’étais terrifié à l’idée qu’un jour, il s’aperçoive que je l’avais berné. Que je n’étais qu’un escroc qui avait arnaqué son cœur.
Qu’il n’était pas tombé par hasard sur moi ce jour-là dans le tramway. Que je connaissais parfaitement l’heure de l’arrivée de son train et le tramway qu’il devait prendre pour rentrer chez lui. Que j’avais acheté cet iPod et que j’avais passé des jours à choisir chaque morceau en essayant de trouver ceux qui lui parleraient le plus, ceux qui lui donneraient envie de me connaître.
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— Tu crois qu’il le sait ? me demanda Andreï.
Il était assis sur le plaid, en appui sur les bras, son fauteuil roulant abandonné derrière nous pour un temps.
— Quoi ?
— Que tu aurais pu tout abandonner pour lui ?
Léo croisa mon regard et son sourire aurait pu illuminer les eaux du lac.
— J’espère que oui.
Andreï leva les yeux vers le ciel.
J’ignorais ce qu’il y vit.
Je savais seulement, qu’à ce moment, il était en paix.
— Tu vas gagner, Sam. Je le sais.
Et la première étoile de la soirée se mit à briller…
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Est-ce que tu comprends que je pense à lui maintenant, papa ?
Est-ce que ça te va si j’ai le cœur à l’envers à dix-sept ans et que j’ai peur de ce qui va se passer ?
Est-ce que tu sais que j’ai autant envie de réussir que d’échouer ?
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— Tu l’as amené ici.
— Oui, fit-il d’un ton moqueur. Ça s’appelle être sympa.
Ça s’appelait surtout, inviter un mec.
— Eh bien, ne le sois pas trop, le prévins-je. Ou tu pourrais vite te retrouver coincé sous les douches des vestiaires, sa langue dans ta bouche.
Il agrandit les yeux, comme si cette simple idée l’effrayait.
— Merde, je ne saurais même quoi en faire.
— Tu veux que je t’explique, m’agaçai-je.
— Léo Ferrussac ? Jaloux ?
Je lui souris, d’un sourire si condescendant qu’il haussa un sourcil.
— Je ne suis pas jaloux. J’ai de bons yeux, c’est tout.
Et ce que je voyais, c’était quelque chose qui allait finir par se passer s’il n’arrêtait pas tout de suite d’être sympa.
— Arrête de t’inquiéter, souffla-t-il.
— Alors, inquiète-toi davantage, Samuel.
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Je m’assis dessus, il glissa les mains dans mes cheveux et m’embrassa. J’en aurais presque oublié pourquoi je m’en faisais.
— Alors ? Tu vas me dire ce qu’il y a ?
— Tu ne vois pas ?
Il pencha le visage d’un côté, puis de l’autre.
Évidemment, qu’il ne voyait pas…
— Tu sais ce qu’il se passe avec Ludovic ?
— Quoi, Ludovic ?
— Il tourne, Sam.
— Il tourne ?
— Oui. Autour de toi.
Il rigola en posant les mains sur mes cuisses. Il les empoigna une seconde, refusant de s’en empêcher. Puis il m’embrassa une nouvelle fois.
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— Ludovic est sympa, ajouta Jim.
— Ludovic est un connard, grinçai-je.
— Tu es juste jaloux.
Je me tournai vivement vers lui. Si mon regard avait pu tuer, il serait mort sur le coup.
Jim haussa les épaules, loin d’être impressionné.
— Oui, tu es jaloux, c’est tout. Et tu sais ce qu’est réellement la jalousie ?
— Je me fous de tes analyses, Jim.
— Si tu veux, mais ça n’empêche que tu grinces des dents, chaque fois que Sam prononce son nom.
— Il n’est pas censé se faire de super potes, mais se concentrer sur les mondiaux et garder ses deux putains de jambes.
Alix sourit en coin.
— Il est concentré, m’assura-t-elle.
— Pas assez, apparemment, la contredis-je en désignant Samuel et Ludovic du menton.
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Il haussa les épaules et s’agrippa fermement à mes cheveux.
— Et puis si je pars maintenant, tu vas finir par rencontrer un gymnaste qui te fera croire qu’il comprend exactement ce que tu ressens, expliqua-t-il presque trop brusque soudain. Il te fera tourner la tête et je ne serai même pas là pour me battre. Pour te dire que personne ne te comprendra jamais mieux que moi. Tu redeviendras inatteignable…
— Je ne l’ai jamais été pour toi, Léo.
Il m’observa d’une façon si différente. Il m’observa comme s’il osait réellement le faire pour la première fois.
Et il murmura contre ma peau, des mots que j’avais tant espérés.
— Je suis tombé amoureux d’un garçon qui se promenait dans les étoiles, et moi, j’étais le type paumé, assis par terre qui regardait vers le ciel.
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— Parce que tu m’as demandé de ne pas renoncer à ce que je veux, à ce qui me rend heureux, à ce que j’ai toujours imaginé. Et c’est toi que je veux, toi qui me rends heureux, toi que j’imagine.
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— Je veux passer l’été avec toi. Je veux venir avec toi à Bucarest, je veux rencontrer Andreï. Je veux être à Paris les trois prochaines années. Je veux faire cette école d’hôtellerie. Je veux te suivre lors de tes compétitions. Je veux être là quand tu réaliseras ton rêve. Et je veux t’attendre pour réaliser le mien.
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— Tu te rends compte de ce que tu dis, Léo ?
— Et toi ?
Je me frottai la poitrine comme si je pouvais chasser cet étau qui compressait chaque pulsation.
— Je me rends compte que je n’étais pas prêt à te croiser ce jour-là dans ce tramway, c’est vrai, lui avouai-je. Je me rends compte que je suis en colère contre moi, contre toi. Je me rends compte que je te trahis en retournant à l’INSEP. Je me rends compte que si j’abandonne, c’est moi que je trahis. Je me rends compte que je ne veux pas que tu renonces à ce que tu veux, à ce qui te rend heureux, à ce que tu as toujours imaginé pour toi, à cette chose pour laquelle tu t’es battu. Je me rends compte que je voudrais revenir en arrière et tout recommencer. Mais pas pour changer quoi que ce soit. Juste pour qu’on ait encore du temps.
Léo baissa le visage, glissant les mains dans les poches arrière de son pantalon.
Je fermai les yeux et souris doucement.
Je souris pour ne pas pleurer.
— Je ne m’attendais pas à tomber amoureux de toi, Léo…
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— Je suis désolé, Léo.
— De quoi ?
De l’aimer et de ne jamais lui avoir dit.
Lui dire, ça aurait été une promesse.
Et j’ignorais si je pourrais la tenir.
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C’était Léo.
C’était mon ange.
C’était mon second souffle.
Mon autre rêve.
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En dessous, il y avait une phrase.
La cuisine est un voyage perpétuel…
Et une immense horloge qui tournait.
11 mois 1 jour 12 heures et 2 minutes avant mon départ pour le tour du monde.
Il avait mis un compteur à son rêve…
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— C’est bien ce qu’il t’a dit, non ? m’asséna Léo. Que je me tapais n’importe qui et n’importe quand ?
Si tu crois que j’étais le seul à lui passer dessus, tu es encore plus con que je croyais.
Ouais, c’était ça.
Et l’entendre de la bouche de Léo n’était pas plus simple. C’était le contraire, d’ailleurs. L’entendre de sa bouche était bien plus blessant.
— Et ce n’est pas vrai ? voulus-je savoir.
— Tu me le demandes ? se crispa-t-il.
— Attends, me rappela-t-il.
Il cala son pas sur le mien, essayant de nouveau de me bloquer le passage.
— Tu devrais faire attention, lui rappelai-je en désignant nos amis qui s’approchaient. On nous regarde et ils pourraient en déduire deux ou trois choses. Ça serait dommage de faire tomber tous tes foutus masques.
Il accusa le coup et se recula. Je continuai d’avancer, l’estomac serré et le cœur un peu abîmé, semblable à une machine qui s’enrayait.
— Sam, s’il te plaît.
Il posa une main sur mon poignet.
Un courant électrique remonta jusqu’à mon épaule, agita ma poitrine, redescendit vers mes jambes. La douleur fut si soudaine et si vive que je m’arrachai à lui.
— Ne me touche pas, Léo.
Cette dernière phrase résonna entre nous juste avant que nos amis nous rejoignent.
Cette dernière phrase fit retentir un glas qui mit mes sentiments en quarantaine.
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Yuzu 13 h 34
Tu sais ce que sont les choses cachées ?

Sam 13 h 35
Non.

Yuzu 13 h 37
Les plus belles choses.
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— Tu crois vraiment que tu fais mieux que moi, Sam ? Tu crois que tu ne te planques pas autant que moi ?
Il me regarda de nouveau.
— C’est qui le lâche qui n’a pas été foutu d’appeler son pote parce qu’il est en fauteuil roulant ?
Je crus que j’allais le frapper. Pour la première fois, j’eus vraiment envie de lui exploser le nez.
— Reste avec ta cuisine à la con, ton connard de mec et lâche-moi, O.K. !
Ces mots s’articulèrent pratiquement sur son visage.
Son poing s’aplatit sur ma poitrine pour m’empêcher de faire un pas de plus.
— Va te faire foutre ! me jeta-t-il en me repoussant.
Juste avant d’écraser un baiser sur mes lèvres.
Un baiser comme ces larmes que l’on se refuse à verser, parce qu’on pense qu’on n’en a pas le droit.
Un baiser comme ces douleurs qui sont si difficiles à confier et si dures à comprendre.
Un baiser comme ces colères qui nous brûlent et qui nous mettent en pièces.
Je percutai la porte, le cœur fracassé, mon sac tombant de nouveau au sol.
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— Magnifique Alix ? s’amusa-t-il.
— Encore mieux.
Il se mordit la lèvre une seconde.
— Ma beauté ? proposa-t-il encore.
Je n’étais plus certain qu’il parle encore d’Alix, là.
Est-ce qu’il me trouve beau ?
Je ris de cette pensée absurde. Léo se pencha vers moi et, un instant, il fut si près que sa bouche frôla la mienne.
Son souffle devint trop rapide.
Une mèche tomba devant ses yeux et caressa mes lèvres.
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J’avançai au hasard, marchai sans trop savoir pourquoi.
À un moment, un mur nous arrêta et Léo posa les mains dessus alors que je glissais mon genou entre ses jambes.
— Est-ce que tu jouais un rôle, le premier jour, dans le tram ? lui murmurai-je à l’oreille. Quand tu m’as donné ton iPod ?
Il secoua la tête, mes doigts se promenaient sur son torse, rencontrèrent ses tétons qui durcirent à mon contact.
— Non, soupira-t-il.
Il se blottit contre moi, ses lèvres s’entrouvrirent en sentant mon érection.
J’avais tellement envie de lui.
— Et après, Léo ? Chaque moment qu’on a passé ensemble ? Est-ce que tu jouais?
— Non.
— Toutes les fois où l’on s’est embrassés, toutes les fois où l’on s’est frôlés ?
— Non, Samuel.
J’aimais tellement qu’il m’appelle comme ça.
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— Tu ne comprends pas, articula-t-il lamentablement. J’ai fumé.
Sans blague ! Il puait la fumée de cigarette !
— J’ai remarqué, tu vois, sifflai-je en continuant de marcher.
J’optai finalement pour le bus, le moins risqué.
— Quand je fume… je dis des trucs, Sam.
— Tu en dis même quand tu es sobre, lui lançai-je sans le regarder.
J’avançai vers mon objectif.
Marcher, sans tomber.
Traverser la rue sans se faire écraser.
Menus détails.
— Je vais dire… des choses que je vais regretter, s’entêta Léo.
— Comme quoi ?
— Comme : tu me fais vraiment bander dans ce jean.
Je stoppai aussitôt et Léo percuta mon dos. Son front entra en collision avec mon crâne et sa bouche souffla sur ma nuque.
— Et j’ai envie de mettre la main dedans pour te branler.
J’avais le cœur qui battait si vite…
Il cognait, il cognait, il cognait.
— Ramène-moi et baise-moi.
Il cognait encore.
Tellement vite.
Encore plus lorsque Léo rit à mon oreille et que je le sentis se coller dans mon dos, son érection se calant au creux de mes reins.
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Une main retint les portes précipitamment et je tournai un visage surpris vers Léo. Toujours torse et pieds nus, dans un couloir où la température devait avoisiner les dix degrés, grand maximum.
Qu’est-ce qu’il lui prend encore ?
— Reste, murmura-t-il.
Si bas que je crus ne pas l’avoir vraiment entendu. Et puis il repoussa ses cheveux en arrière en fixant obstinément le sol et je clignai des yeux, un peu paumé.
— Je dis des conneries quand je ne sais plus quoi dire, soupira-t-il.
Je me redressai, mes bras se décroisant pour pendre le long de mon corps. Ma rancœur se transforma en cette chose qui faisait battre mon cœur toujours plus vite, chaque fois que je savais que j’allais le voir, chaque fois que je le voyais, chaque fois que je le quittais à regret, chaque fois que je m’entraînais et qu’il me semblait aller toujours plus haut, toujours plus vite, chaque fois que je pensais à lui.
— Excuse-moi, déglutit-il. Excuse-moi d’être con, de jouer un rôle parce que c’est plus simple que d’avouer que tu me plais tellement que cette nuit, ça m’a rendu dingue et…
Et…
Je veux que tu le dises, Léo.
Il appuya doucement son épaule dans l’embrassure, empêchant l’ascenseur de redescendre, mais sans dire quoi que ce soit de plus. Il resta figé, telle une statue. Sa peau était d’albâtre. Recouverte de chair de poule.
Il avait froid, il tremblait légèrement.
— S’il te plaît, reste, me demanda-t-il encore.
D’une voix si différente. Suppliante, mal assurée et qui frissonnait autant que lui. Alors j’avançai, posai mon sac au sol, le temps d’enlever mon bomber et de le lui poser sur les épaules.
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Et il m’avait tellement manqué.
Oui, tellement, que ça brisa quelques-unes de mes certitudes. Ça s’abattit sur moi comme le déluge un soir d’été. Alors que le ciel avait été si bleu, le soleil avait brillé si fort qu’on avait juste à regarder un peu loin les nuages, plus sombres, et les deux trois éclairs qui seraient bientôt au-dessus de nos têtes.
Il allait bientôt me manquer bien plus que ça, et nous ne pourrions plus nous retrouver dans une rue déserte.
— Viens avec moi, dis-je, soudainement.
Avant de m’arrêter plus soudainement encore, empêchant les prochains mots de m’échapper.
Viens avec moi à l’INSEP l’année prochaine.
Viens avec moi en Roumanie voir Andreï.
Viens avec moi jusqu’à Tokyo aux JO.
Viens avec moi et je te suivrais au bout du monde.
Voilà ce que j’aurais aimé lui demander.
Léo glissa ses mains dans les poches arrière de mon jean et me ramena plus fermement à lui.
— Dis-le-moi, souffla-t-il contre mes lèvres.
Je secouai la tête.
— Je ne peux pas, m’excusai-je.
Je n’avais pas le droit de lui demander ça.
— Alors dis-moi autre chose, murmura-t-il.
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— Tu es le premier, Sam, souffla-t-il. Le premier pour qui je mets une cravate juste pour te voir sourire. Et parce que j’aime la façon dont tu me regardes. Le premier que j’emmène à l’Auberge Espagnole, Chez Les Ploucs et à l’Alchimiste, rien qu’en une soirée, rien que pour t’avouer à quel point tu me plais, à quel point j’ai eu peur de tout foutre en l’air, parce que je suis incapable de revoir mon père, de lui pardonner, de lui parler de toi. Et puis tu es le seul qui compte tellement que je te l’explique dans une rue déserte en te tirant avec moi sous un lampadaire pour que je m’y adosse et…
Joignant le geste à la parole, il s’appuya contre le seul lampadaire qui éclairait la petite ruelle. Je posai une main au-dessus de sa tête, m’agrippant au métal froid de toutes mes forces pour éviter de l’empoigner, lui, comme un forcené.
Un battement furieux résonnait dans ma poitrine.
Chaque parcelle de ma peau me brûlait.
Chaque respiration se fit plus erratique que la précédente.
— Et quoi ? articulai-je lentement.
Je déglutis quand il attrapa les revers de mon manteau et me poussa à avaler le peu de distance qui restait entre nous.
— Et ça, déposa-t-il.
Aux bords de mes lèvres.
Et c’était comme un baiser ; un baiser effleuré.
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— Stupides Chasseurs d’Ombres ! marmonna Magnus. Mais Alec en profita pour rebondir contre le mur et s’accrocher à un lustre rutilant auquel il se balança avant d’atterrir, souple comme un chat, et de se
remettre à l’attaque.
— Stupides Chasseurs d’Ombres hyper sexy ! corrigea Magnus. Alec !
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— Je ne me souviens pas d’avoir commandé l’épouse d’un psychopathe, dit Magnus. Seulement du bœuf au brocoli. Et toi, Tessa ? Tu as commandé l’épouse d’un psychopathe ?
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Quant à Magnus, qui avait toujours préféré les cheveux noirs, il se demanda si le destin s’acharnait à le faire changer d’avis. Ça, ou alors tous les blonds de la terre s’étaient ligués pour soudain devenir irrésistibles.
— Vous êtes toujours avec nous, monsieur Bane ? demanda Roderick.
— Non, répondit Magnus, j’ai perdu tout intérêt pour votre discours au moment où un jeune homme incroyablement séduisant a débarqué dans la pièce.
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— Quatre de mes admirables mentors m’ont recommandé de ne jamais vous
adresser la parole, aussi me suis-je promis de faire votre connaissance ! s’écria le
jeune homme. Je m’appelle Edmund Herondale, et vous ? À l’Institut, on vous
surnomme « l’infâme sorcier de bas étage ».
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