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New York — Août 1999. Au milieu d'une population de trente-cinq millions d'hommes qui a retrouvé les Fléaux et les Grandes Peurs du Moyen Age, un jeune policier, Andrew Rusch, recherche l'auteur du meutre de Mike O'Brien, un des gros bonnets du marché noir. Mais pourquoi poursuivre un criminel quand on sait que la victime méritait mille fois la mort ? Comment faire respecter la « loi et l'ordre » quand on est soi-même talonné par la solitude, l'angoisse et le désespoir ? Au cours d'une enquête mouvementée, alors qu'à la veille de l'an 2000 la ville est infestée par les Prophètes du Malheur, Andrew Rush va découvrir sur quoi se fonde la Puissance des Maîtres du Futur.
Alliant la tradition du roman noir aux sortilèges du Space Opera, LE SOLEIL VERT est un grand voyage au coeur d'un avenir possible. Peut-être inévitable...
Un livre d'anticipation des années 60 qui décrit un monde futuriste, à la fin du siècle, plus précisément à New-York devenue une cité plus que surpeuplée où la population ne survit principalement que grâce aux cartes d'allocation, car le travail se fait rare. Nous suivons Andy qui a la chance de travailler dans la police de la ville. Il tient à son travail malgré les conditions très sommaires dont il dispose pour l'exercer. Je retiens de ma lecture une impression d'étouffement : la chaleur écrasante du mois d'août, la surpopulation, cette misère écrasante avec des enfants dénutris, de très très nombreuses personnes vivant à la rue, manquant de tout et surtout de l'essentiel (eau et nourriture), dépendant complètement des aides de l'Etat.
Forcément, l'auteur ne peut pas avoir deviné complètement le monde dans lequel nous vivons. Et l'anticipation n'est pas de la divination. Mais il a pu voir à son époque certains des problèmes que nous affrontons particulièrement aujourd'hui comme les bouleversements climatiques et surtout l'épuisement des ressources et la pollution induite par les activités humaines. La principale cause dans le roman étant celle de la surpopulation mais bien sûr dans notre réalité actuelle c'est bien plus la faute à la surconsommation d'une minorité de population (celle des pays riches) et puis celle surajoutée ensuite des pays émergents souhaitant le même niveau de vie.
Dans ce chaos où toutes les ressources peuvent manquer à tout instant, où des émeutes de plusieurs milliers de personnes peuvent éclater, Andy m'a paru comme un être résilient, s'adaptant avec calme à chaque dégradation de situation, et surtout restant déterminé à exercer son métier, et dans cette Cité, bien qu'il puisse nous sembler dérisoire de s'acharner tant les crimes et délits sont nombreux.
Dans un futur proche, New-York en 1999. Trente cinq millions d'habitants, canicules, sécheresses, pénuries d'eau, nappes phréatiques dangereusement basses, rationnement. C'est dans ce contexte que vit et travail Andy Rush, policier.
Les gens ont faim, ont soif et sont sales car il n'y a pas assez d'eau...
Une époque où il n'existe plus que trois gros cétacés encore en vie dans les océans.
Dans ce futur sinistre, Andy Rush doit résoudre un meurtre, celui d'un sale type qui traficotait on sait quoi et dont tout le monde se fout mais dont les possibles raisons semblent inquiéter quelqu'un quelque part.
J'ai vu le film Soleil vert avec Charlton Heston quand j'étais adolescente et je me rappelle que j'avais aimé. Mais finalement, le roman évoque vaguement une enquête policière dans une société dystopique. Je dis vaguement car on n'en suit pas réellement l'évolution. Il s'agit là plutôt de suivre la vie et les difficultés de Andy, de Sol son vieux colocataire, et de Shirl, la beauté qui vivait avec l'homme assassiné, mais aussi de la population. Il s'agit là d'une société d'assistés à qui on distribue eau et nourriture, mais en trop petites quantités, ce qui amène à des émeutes terribles, réprimées dans une extrême violence.
L'auteur avait assez bien imaginé l'avenir avec ce roman écrit en 1966. Pénuries de tout, surpopulation (sept milliards d'humains sur terre), pollution et grande misère, cupidité et égoïsme des dirigeants, destruction systématique des ressources et des espèces et donc de notre capacité à survivre, et droit à l'avortement problématique dans cette société puritaine.
C'est un roman qui se lit bien, pourtant il ne s'y passe pas grand-chose. Écrit en 1966 ce récit disait ce qui nous attendait, et il y a pourtant encore des politiciens qui osent dire "on pouvait pas prévoir".
Ce roman parle de l'aveuglement de l'humanité et de sa stupidité à scier la branche sur laquelle nous sommes assis, et du grand malheur de tout ce qui faisait la beauté de la Terre, sa faune, sa flore, ses ressources naturelles, que nous pillons sans vergogne depuis un peu plus d'un siècle. Mais rien à voir avec le film du même nom, ou si peu... Pourquoi le roman s'appelle Soleil vert ? Mystère...
Roman très immersif et l'auteur sait poser une ambiance, j'avais l'impression d'être plongée dans cette canicule Newyokaise. J'ai bien apprécié le personnage de Sol et de son discours pour la contraception sachant que le livre date des années soixante on ne peut que faire le rapprochement avec le sujet de l'avortement dans certains états des États-Unis actuellement. Bien qu'écrit avant l'arrivée d'internet son absence ne se fait pas sentir ou étrange car au vu de l'économie dans laquelle ce monde est plongé on ne peut que facilement se dire que les gens ne sont tout simplement pas assez riches pour se procurer des technologies pareilles et / ou que les matériaux se font trop rares. Bémol cependant pour les traitements des personnages féminins qui sont soit des mères (quand elles sont nommées) ou des prostituées...
Le plot twist du film que j'avais visionné avant manque un peu à ce livre qui finit un peu platement à mon goût.
Intéressant mais, l’histoire tourne trop autour d’une enquête policière et laisse trop de côté le concept de base du livre, manque de profondeur, ça se lit facilement mais vite oublié !
Quelle ironie cette dystopie... Peut-on encore parler de SF quand une histoire décrit notre monde actuel ? J'exagère mais en toute honnêteté ce sont les mêmes problèmes, les mêmes débats, dans un stade simplement plus avancé qu'à notre heure.
Une claque dans la figure. Voilà ce qu'est ce livre. Un passé qui raconte notre avenir.
Si les thèmes n'avaient pas été ceux-ci, j'aurai tout simplement dit que c'est un bon livre de SF, qui se lit facilement, rapidement, et dont les personnages, tous autant qu'ils sont, sont attachants. Mais voilà, c'est un peu plus que ça, parce que ces thèmes sont abordés.
Marqué par le film dans ma jeunesse, j'ai voulu lire le livre... Chose bien rare, j'ai trouvé le livre tellement insipide à côté du film noir, glauque et aux prédictions si terribles, qui m'a si profondément bouleversée, marquée et inspiré certains de mes goûts d'aujourd'hui...
Un roman visionnaire paru en 1966. Sa relecture est une mise en abîme, un choc d'autant plus brutal que la fiction se rapproche dangereusement de la réalité.
Le roman "Soleil vert" de Harry Harrison s'achève et...ben rien, en fait. Quelle déception ! Je suis complètement passée à côté de cette lecture dont j'attendais tellement plus.⠀
Au collège (c'est dire si ça ne date pas d'hier...), nous avions visionné l'adaptation cinématographique. Une fable écologique glauque à souhait qui m'avait beaucoup marquée et donné ce goût si prononcé pour les dystopies. Le hic, c'est que toute la subtilité du film et de son apothéose de génie n'existent pas dans le roman, fade et sans réel intérêt en comparaison. L'enquête policière traîne au fil des pages qui se tournent sans que rien ne se passe vraiment. Bref, l'ennui à rapidement remplacé l'excitation de me replonger dans l'histoire.⠀
Pour terminer sur un point positif, je dirai que le roman reste d'actualité. Plus que nous ne le souhaiterions dans la mesure où il anticipe l'effondrement d'un système économique incapable de subvenir aux besoins d'une population en perpétuelle croissance. Il parle d'un jour où l'Homme, à force d'exploiter sans vergogne les ressources de la Terre, finira par comprendre que rien ne dure. Mais lorsqu'il ne restera plus rien, il sera trop tard pour les remords.
Nous sommes à New York en 1999. Mais attention, c’est un roman futuriste, vu qu’il a été publié en 1966 ! 30 ans après son époque, l’auteur imagine qu’à l’aube du 21ème siècle, les êtres humains – ou juste les Américain.e.s – ont épuisé la quasi-totalité des ressources de la planète : à New York, la population a à peine de quoi se nourrir, boire, se doucher… La ville est surpeuplée est en proie à la misère et à la criminalité.
On découvre cet univers en suivant le policier Andy Rusch dans une enquête pour meurtre : un homme d’affaires louche s’est fait descendre et ses collègues de criminalité mettent la pression à la police pour résoudre l’affaire.
Il m’a fallu quelques dizaines de pages pour rentrer dans ce roman sombre et sale, mais une fois dedans je l’ai dévoré ! C’est glauque et pessimiste à souhait et malheureusement si ce n’était pas la réalité de 1999, ce n’est sans doute pas loin de ce que l’humanité vivra un jour…
Toutefois, j’étais ravie de lire ce roman car j’avais vu il y a bien longtemps son adaptation en film. Sans rien spoiler, la chute du film était fantastique, donnait tout son sens à l’univers. J’ai attendu la chute dans le roman… et elle n’est jamais venue !
L’intérêt du roman réside juste dans son histoire et dans la critique de la gestion humaine pour en arriver là (croissance démographique, je-m’en-foutisme environnemental…). Mais du coup, je ne comprends pas le titre en français, qui n’a de rapport avec rien de tout ça ! Le titre VO « Make Room ! Make Room ! » a beaucoup plus de sens (avec ou sans chute, d’ailleurs).
Je suis donc pas mal déçue, je vais me renseigner pour en savoir plus sur le film et comprendre pourquoi il a pris un autre parti que le roman en allant plus loin que lui.
A part cette attente déjouée, j’ai bien aimé ce roman d’anticipation, qui en a sans doute inspiré de nombreux autres par la suite !
Résumé
New York — Août 1999. Au milieu d'une population de trente-cinq millions d'hommes qui a retrouvé les Fléaux et les Grandes Peurs du Moyen Age, un jeune policier, Andrew Rusch, recherche l'auteur du meutre de Mike O'Brien, un des gros bonnets du marché noir. Mais pourquoi poursuivre un criminel quand on sait que la victime méritait mille fois la mort ? Comment faire respecter la « loi et l'ordre » quand on est soi-même talonné par la solitude, l'angoisse et le désespoir ? Au cours d'une enquête mouvementée, alors qu'à la veille de l'an 2000 la ville est infestée par les Prophètes du Malheur, Andrew Rush va découvrir sur quoi se fonde la Puissance des Maîtres du Futur.
Alliant la tradition du roman noir aux sortilèges du Space Opera, LE SOLEIL VERT est un grand voyage au coeur d'un avenir possible. Peut-être inévitable...
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