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La pièce est plongée dans la pénombre. Il me faut quelques secondes pour m'y habituer. Un lit trône au beau milieu de l'espace. Une masse est clairement identifiable sur le dessus et... Il est nu !

Non ce n'est pas possible. Il doit avoir un caleçon que je ne vois pas d'ici... un micro caleçon ?

- Monsieur Nichols, il est l'heure de se lever, dis-je sans trop y croire.

Il bouge, se retourne sur le ventre sans prendre la peine de me répondre. Ça aurait été trop facile !

- Monsieur Nichols, vous avez rendez-vous dans trente minutes au restaurant avec votre mère et M. Anderson.

Enfin, je crois... S'il conduit ma patronne au restaurant, c'est bien pour y manger avec eux, non ?

- Reviens te coucher ! grommelle la masse toujours allongée sur le lit.

- Debout !

Ma patience a des limites et elle est a déjà été sérieusement mise à mal depuis mon arrivée à l'entreprise ce matin. Ma voix a claqué, sans provoquer la moindre réaction. Super !

- Votre accent est adorable...

C'est bien la première fois qu'on trouve quelque chose d'adorable chez moi !

- Vous pourriez m'expliquer son origine... allongée près de moi.

- Ou vous pourriez vous lever avant que je n'aille chercher un seau d'eau froide.

Ce type a réellement ronronné à l'évocation d'une douche glacée ?

- Je vais faire votre café. A mon retour, vous avez intérêt à être dans la salle de bain !

- Rappelez-moi, on a été présentés ?

- Jo, je remplace Robert

- Dieu bénisse ma mère ! s'exclame-t-il. Ne m'en voulez pas, mais un réveil de votre part est bien plus... agréable. Robert est un bel homme pour son âge, mais définitivement pas mon genre !

Je secoue la tête et retourne dans la cuisine. Je prépare du café, persuadée qu'il ne va pas se lever. Je fouille un peu et trouve un seau d'une taille raisonnable que je remplis à moitié d'eau. Dans le congélateur, je prends quelques glaçons que je mets aussitôt dedans.

L'anse du seau dans une main et la tasse dans l'autre, je me dirige vers la chambre. Je dépose le premier avant d'entrer, pour le cas où Monsieur aurait daigné m'écouter et serait sorti de son lit.

Raté.

Il est toujours allongé sur le ventre. Une fois la tasse sur la table de chevet, je jette un coup d’œil à son postérieur. Il est plutôt appétissant ! Comment est celui d'Anderson ? Musclé, assurément. Je lève les yeux au ciel, agacée de songer encore à lui.

- Debout, marmotte, avant que je n'utilise les grands moyens !

- Il me tarde de vous voir à l'action !

Je me tourne vers lui. Un sourire en coin et le regard malicieux, il me fixe en attendant quelque chose de ma part. Mais quoi, aucune idée !

Comprenant que je n'obtiendrai rien en m'y prenant ainsi, je vais dans le couloir chercher le seau, que j'apporte tranquillement.

- Vous bluffez ! rit-il en me tournant sur le dos.

Il a tout de même la décence de placer un bout de drap sur son entrejambe.

Je me place à bonne distance et lui donne encore la possibilité de s'en sortir "sec" :

- Dernière chance.

- Vas-y, mets tout ce qui tu as bébé !

D'accord. J'écarte un peu plus les jambes pour avoir de meilleurs appuis. Je positionne une main sur le haut du sceau, une sur le fond. Je le balance une fois et à la deuxième une gerbe s'en échappe, le frappant au torse. Aussitôt, un chapelet de jurons retentit dans la pièce tandis qu'il saute hors de son lit sans prendre la peine de se couvrir.

Je quitte alors la chambre, satisfaite du travail accompli.

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Il y a des matins où ouvrir les yeux est une épreuve. Parce qu’une fois qu’on l’a fait la journée doit commencer, avec son lot de contrariétés.

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— Tu auras laquelle demain ? demande-t-il d’une voix rauque.

— De compagnie ?

— De petite culotte, Vairotte ! Reste concentrée !

Son exclamation fait naître un frisson qui se déplace lascivement le long de mon  dos.  Sa  voix,  terriblement  grave,  a  un  effet  terrible  sur  mon  corps,  et  ce, malgré la distance.

— Tu ne veux tout de même pas que je te parle de mes sous-vêtements alors que je suis en public ?

La femme à mes côtés me jette un coup d’œil complice tandis qu’un homme d’une  bonne  cinquantaine  d’années  me  regarde  des  pieds  à  la  tête.  Oui,  ma discrétion  n’est  pas  réellement  en  adéquation  avec  ma  tenue.  Peut-être s’attendait-il à ne pas m’entendre parler calmement, ou tout simplement pas de mes sous-vêtements.

— Joséphine…

— Bleu ciel.

— Avec le tout petit bout de tissu…

— Ça s’appelle un tanga.

Le passager se retourne une nouvelle fois vers moi et j’attends patiemment que ses yeux reviennent sur mon visage pour lui adresser un regard noir.

— Merci, Andrew, il y a maintenant un homme qui m’envisage comme une pâtisserie dans laquelle il croquerait bien.

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— Tu crois qu’il te laissera la conduire ? demande Pap’s, les yeux brillants.

— Même pas dans mes rêves ! Mais, promis, je vais m’asseoir derrière le volant et mon petit cul va profiter à fond de ce bijou !

— Joséphine, je te prie de surveiller ton langage ! s’énerve Amalia.

— Mam’s… Avant que je n’aie le temps de me défendre, elle rétorque :

— Oui, je sais ! Tu passes toute ta journée entourée d’hommes, tu ne peux pas avoir un vocabulaire décent.

— J’aurais dit snob. Enfin, soutenu, si tu préfères.

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