Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 869
Membres
1 008 641

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

- […] Quelque chose en moi s’est achevé, Cahir. Quelque chose s’est consumé. Brisé…

- ca ne fait rien, Geralt. Je rêverai pour nous deux.

Afficher en entier

"Nombreux sont les vivants qui mériteraient la mort et les morts qui mériteraient la vie. Pouvez-vous la leur rendre ? Alors ne soyez pas trop prompts à dispenser mort et jugement. Même les plus grands des Sages ne peuvent tout connaître." # John Ronald Reuel Tolkien

Afficher en entier

– Pourquoi exactement as-tu besoin de ce brillant ?

– Pour fabriquer une « fenêtre ». C’est-à-dire une mégascope de communication à distance. Je dois m’entendre avec certaines personnes.

– Grâce à la magie ?

– S’il suffisait de monter au sommer de Kaer Trolde et de les appeler très fort, je n’aurais pas tant besoin de ton aide.

Afficher en entier

— Tu ne sais pas qui je suis. Tu ne peux même pas l’imaginer.

Elle répéta cette banale affirmation plusieurs fois de suite, ce qui eut pour effet d’irriter quelque peu l’anachorète. Bien évidemment, il n’en laissa rien paraître. Révéler ainsi ses sentiments devant une gamine lui aurait fait outrage. Non, il ne pouvait le permettre ; pas plus qu’il ne pouvait laisser libre cours à la curiosité qui le démangeait.

Afficher en entier

(Extrait des mémoires de Jaskier)

La nage n’était, et n’est toujours pas, pour ainsi dire, mon point fort. Si mère nature avait voulu que je nage, elle n’aurait pas manqué, au cours du processus de l’évolution des espèces, de m’équiper de membranes entre les doigts. Même chose pour Pégase.

Afficher en entier

L’univers, comme chacun sait, de même que la vie, suit une trajectoire circulaire. Sur la circonférence de ce cercle figurent huit points magiques qui forment une rotation complète, soit un cycle annuel. Ces points vont par paires et se font face sur la circonférence du cercle : Imbaelk, la germination, et Lammas, la maturation ; Belleteyn, la floraison, et Saovine, l’étiolement ; le solstice d’hiver, appelé Midinvaerne, et d’été, Midaëte ; l’équinoxe de printemps, Birke, et d’automne, Velen. Le cercle est ainsi divisé en huit parties qui correspondent au découpage d’une année dans le calendrier elfique. Les humains qui débarquèrent sur les plages à l’embouchure de la Iaruga et du Pontar possédaient leur propre calendrier ; basé sur la lune, il divisait l’année en douze mois et indiquait au laboureur le cycle annuel de son travail, de la fabrication des gaules en janvier jusqu’à l’époque des grands froids et du gel de la terre. Toutefois, même s’ils avaient leur propre calendrier et leurs propres saisons, les humains acceptèrent le cercle des elfes et les huit points qui jalonnaient sa circonférence. Imbaelk et Lammas, Saovine et Belleteyn, les deux solstices et les deux équinoxes du calendrier elfique, devinrent chez les humains également des jours de fête à nul autre pareils, aussi repérables qu’un arbre esseulé au milieu d’une prairie. Car ces dates étaient auréolées de magie. En effet, ce n’est un secret pour personne, une aura tout à fait particulière envahit l’atmosphère au cours des jours et des nuits qui entourent ces événements. On ne s’étonne plus des manifestations surnaturelles et des phénomènes étranges qui accompagnent ces huit dates, plus particulièrement les équinoxes et les solstices. Tout le monde étant désormais accoutumé à ces bizarreries, elles ne suscitent que rarement de grandes émotions. Mais, cette année-là, les choses en allèrent autrement. Cette année-là, comme à l’accoutumée, les humains célébraient l’équinoxe d’automne au cours d’un réveillon familial. Selon la tradition, tous les produits récoltés dans l’année, ou du moins le plus grand nombre possible, devaient figurer au menu du repas, ne serait-ce qu’en petite quantité. Après avoir réveillonné et remercié la déesse Melitele pour les récoltes, les humains allèrent se reposer. Et c’est alors que survint l’horreur macabre. Peu avant minuit, une effroyable tempête se déchaîna, une tornade diabolique qui fit ployer les arbres presque jusqu’à terre ; entre deux mugissements, au milieu des craquements des chevrons et des claquements des persiennes, on percevait des hurlements, des cris terrifiants et des lamentations. Les nuages qui s’étaient formés dans le ciel prenaient des formes extravagantes : il s’agissait le plus souvent de silhouettes de chevaux et de licornes au galop. Près d’une heure durant, la tourmente se déchaîna sans répit et, dans le brusque silence qui s’ensuivit, la nuit s’anima des trilles et des bruissements d’ailes de centaines de tète-chèvres, ces oiseaux mystérieux qui, selon les croyances populaires, se réunissaient autour des mourants pour chanter de diaboliques chants d’agonie. Cette fois, le chœur des engoulevents était si intense, si puissant qu’on eût dit que le monde entier était en train de mourir.

Afficher en entier

Si le Mal veut te causer du tort, t’infliger de la souffrance, devance-le et porte-lui le coup fatal, de préférence quand il ne s’y attend pas. Si tu n’es pas parvenu à le prendre de court, si tu as été meurtri par le Mal, alors rends-lui la monnaie de sa pièce ! Tombe-lui dessus, de préférence quand il aura relâché sa vigilance et qu’il se sentira en sécurité. Fais-lui deux fois, trois fois plus de mal qu’il t’en a fait. Œil pour œil ? Non ! Les deux yeux pour un seul œil ! Dent pour dent ? Non ! Pour une dent toute la gueule ! Réclame vengeance ! Fais-le hurler de douleur, jusqu’à ce que ce hurlement fasse péter les globes de ses yeux. Et alors, en baissant les yeux vers le sol, tu pourras affirmer ouvertement et avec assurance : ce qui gît là ne meurtrira ni ne menacera plus personne. Car comment peut-il menacer quelqu’un s’il n’a plus ses yeux ? S’il n’a plus ses deux mains ? Comment peut-il meurtrir quelqu’un quand ses viscères sont répandus sur le sol et que son sang s’infiltre dans le sable ?

Afficher en entier

Parce que la loi, ce n'est pas la jurisprudence, ce n'est pas un gros livre rempli de paragraphes, ce ne sont pas des traités philosophiques, des fadaises ampoulées sur la justice ni des clichés rebattus sur la morale et l'éthique. La loi, ce sont des routes et des chemins sûrs. Ce sont des ruelles où l'on peut se promener tranquillement même après le coucher du soleil. Ce sont des auberges et des tavernes où l'on peut se rendre aux latrines sans avoir à emmener avec soi son escarcelle ou sa femme. La loi, c'est la garantie pour tout un chacun de pouvoir dormir tranquille et d'être éveillé par le chant du coq, et non par le coq rouge ! Et pour ceux qui enfreignent la loi : la corde, la hache, le pal et les fers rouges ! Un châtiment qui décourage les autres.

Afficher en entier

Avallac'h resta silencieux quelques instants.

- Partager ? dit-il enfin en insistant sur chaque syllabe. Avec toi ? L'érudition, mon cher, est un privilège, et les privilèges ne se partagent qu'entre égaux. Or pourquoi est-ce que moi, un elfe, un Erudit membre de l'élite, je devrais partager quoi que ce soit avec le descendant d'une créature qui a fait son apparition dans l'univers il y a à peine cinq millions d'années, et qui descend du singe, ou peut-être du rat, du chacal ou autre mammifère ? Une créature qui a mis près de un million d'années, pour découvrir qu'à l'aide de ses deux mains poilues elle pouvait, avec un os rongé, réaliser une opération ? Et notamment se donner du plaisir en se fourrant l'os dans le rectum ?

Afficher en entier

- Le Bien et le Mal, la Lumière et les Ténèbres, l’Ordre et le Chaos ! Ce ne sont que des symboles, une telle opposition n’existe pas dans la réalité ! La Lumière et l’Obscurité sont en chacun de nous. Cette conversation n’a aucun sens. Aucun. Je ne me convertirai pas au mysticisme. Pour toi et pour Sigrdrifa, c’est le loup qui dévore le soleil. Pour moi, il s’agit d’une éclipse. Et qu’il en soit ainsi.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode