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Je pensai au jour où j’avais voulu aller à Galveston pour une fin de semaine romantique. Zach avait dit que ce serait de l’argent perdu de dormir dans un hôtel chic, et peut-être qu’il avait eu raison. Cependant, j’avais quand même été blessée quand il s’était offert une nouvelle canne à pêche et un bateau pour aller pêcher en haute mer avec ses amis.

Quand je m’étais mise en colère parce qu’il ne passait pas assez de temps avec moi, il m’avait répondu : « Bon sang, chérie, tu peux venir pêcher avec nous. Ce n’est pas comme si nous avions des enfants avec lesquels tu devais rester à la maison. »

Je secouai la tête. Comme si la pêche en haute mer avec ses amis était l’idée que je me faisais d’une activité romantique. Mais je n’avais jamais pu le faire changer d’idée en lui parlant. Il faisait toujours ce qui lui plaisait, sauf la fois où j’avais eu ce que je voulais. Dommage que cela soit arrivé lors de notre divorce.

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— Tu n’aimes même pas les chats.

— Ce n’est pas un chat.

— Ah non ? demanda Zach en plissant les yeux, méfiant.

— C’est un superhéros dans un costume de chat. Il me protège. Il est déguisé.

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— Est-ce que c’est quelque chose que tu veux ? Dormir chez Lyons, Tammy Jo ?

Bryn fit fi de la question et continua à parler.

— Ce n’est pas une situation où ton ex-mari peut t’aider. Ne laisse pas la colère affecter ton jugement.

— Oh, je ne le fais jamais. Ce sont mes cheveux roux qui interfèrent avec mon bon sens. Toute cette couleur à proximité de mon cerveau, ça me désoriente, la plupart du temps. Je vais rester chez moi, merci.

— Tamara…

Zach lui coupa la parole, la voix tranchante comme le verre.

— Elle t’a répondu. La réponse est non. Maintenant, la journée a été longue. Pourquoi ne retournes-tu pas de l’autre côté de la ville ?

Bryn esquissa un sourire sardonique et se dirigea vers le réfrigérateur. Il prit ensuite le marqueur effaçable et nota un numéro de téléphone sur le tableau blanc que j’utilise pour dresser ma liste de courses.

— Pour le moment où tu changeras d’avis, me dit-il sans prendre la peine de me regarder.

Il referma le marqueur et le laissa tomber au bout de sa ficelle avant de s’éloigner dans le couloir et de sortir de chez moi.

Zach s’approcha du tableau, fermant le poing.

— Non, dis-je, mais il m’ignora et effaça le numéro.

Je soupirai. Je ne comptais pas appeler Bryn, mais ma vie était un véritable tourbillon, alors je ne pouvais pas en être sûre.

— Qui va arriver en ville et en quoi est-ce que ça te concerne ?

Je soupirai. Zach et moi avions rompu, mais nous nous mêlions encore des affaires l’un de l’autre, et il serait furieux qu’un autre homme, surtout un homme qu’il aimait autant que la saison des impôts, connaisse davantage ma vie que lui.

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Je regardai son magnifique visage et quelque chose en moi commença à me faire mal. Zach était peut-être mon ex-mari compliqué, mais il ne m’aurait jamais volé de pouvoir pour se guérir alors qu’il savait que je voulais l’utiliser pour sauver les vies de personnes. Il serait resté blessé et il m’aurait amenée voir les gens en question. Une fois à la maison, il aurait bu une bouteille de whisky pour endormir la douleur, me disant de nettoyer sa plaie et de m’asseoir pour parler pendant un moment afin qu’il pense à autre chose.

Je lui touchai le visage.

— J’ai aimé un seul homme et je le regarde en ce moment.

— Alors, que faisais-tu avec lui ce soir ? Et que t’a-t-il dit pour te faire pleurer ?

Je clignai des yeux et détournai le regard. Je suppose que me nettoyer le visage n’avait pas diminué la rougeur de mes yeux. J’aurais dû me mettre un peu de collyre, mais j’avais d’autres choses à l’esprit et je n’attendais personne.

— Je pleurais à cause de Mercutio. Il a oublié qu’il est un chat et il s’est battu contre un chien, alors il est chez le vétérinaire et je ne sais pas s’il va s’en sortir. Je l’espère. Je l’espère vraiment.

Je me mordis la lèvre et secouai la tête. J’étais sûre que Mercutio ne voudrait pas que je me laisse distraire à un tel moment.

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— Entends-moi, pouvoir de la terre, et donne-moi ta force comme je te donne la mienne. J’appelle le nord, les quatre coins, l’héritage d’une famille depuis longtemps fidèle à l’art. Donne-moi ton énergie verte.

Énergie verte ? On aurait dit un slogan écologiste. La terre devait aussi être sceptique parce que je ne sentis rien.

— S’il te plaît, aide-moi un peu. J’en ai besoin et ce n’est pas pour moi.

Je tendis les bras et renversai la tête.

— Je t’appelle. Je te supplie. Je ne suis pas vraiment une sorcière, mais je respecte la planète. Je recycle. Et si tu m’aides, je lancerai un programme. Dieu sait que les gens jettent trop de verre et de plastique.

Pouvais-je mentionner Dieu dans une quête de pouvoir païen ?

— Dieu, je ne veux pas vous insulter. Si vous voulez m’accorder un miracle, ça serait super aussi. Amen.

Je secouai la tête. C’était probablement la pire incantation de pouvoir de l’histoire.

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— Tu ne vas pas le faire euthanasier. Personne ne va l’euthanasier. C’est mon chat !

— Je ne ferai rien sans ton consentement. Donne-le-moi. Tu n’as pas le temps de l’emmener chez le vétérinaire, si tu comptes essayer le contre-sortilège.

— Si tu lui fais quoi que ce soit, je jure que je serai ta pire ennemie.

— J’en doute vraiment, et tu sembles oublier que c’est moi qui te l’ai donné.

Je l’avais oublié. En fait, j’avais tout oublié.

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— Je vais tout t’expliquer dans quelques minutes, quand j’aurai fini de t’embrasser.

Mon pouls accéléra.

— Tu n’as pas intérêt à m’embrasser.

— Accroche-toi à moi, murmura-t-il avant de poser ses lèvres sur les miennes.

J’avais l’impression de brûler plus fort qu’un feu de camp, et pas seulement à cause de la sensation velouteuse de sa langue séparant mes lèvres, ou de son magnifique corps masculin enfonçant le mien dans le luxueux matelas en plumes.

Bryn s’arrêta et grommela quelque chose contre ma bouche, et une chaleur incroyable se répandit en moi, créant une grande pression. Je commençai à me tortiller sous lui. J’avais l’impression d’approcher d’un orgasme, mais ce n’était pas le même genre d’énergie. J’agrippai son dos et y enfonçai les ongles, luttant contre la tension insupportable.

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Bryn enleva son veston noir et roula les manches de son élégante chemise bleue.

— Que fais-tu ?

Il avança et tira mon caraco hors de mon short avant de le soulever.

— Hé ! couinai-je en saisissant le vêtement avant de le lui arracher et de le redescendre par-dessus mon soutien-gorge.

— Tu es trempée et tu as froid. Je ne voudrais pas que tu attrapes une pneumonie, dit-il en tendant de nouveau les mains vers moi.

Je lui frappai les mains et reculai.

— Une minute. Aux dernières nouvelles, je pouvais encore m’habiller et me déshabiller de mon propre chef.

— Bien sûr, mais est-ce que tu n’aurais pas plus chaud si je t’aidais ?

Ma mâchoire faillit se décrocher. J’étais en plein milieu d’une crise concernant des personnes dans un coma fiévreux. Je comptais sur Bryn Lyons pour être mon sauveur, pas un homme normal qui remarquait que le froid avait rendu mes mamelons aussi durs que des têtes de flèches.

— Écoute, j’ai des ennuis.

— Visiblement.

— Et je ne suis pas venue ici pour que tu essaies tes méthodes tirées d’Urban Cowboy sur moi.

Il sourit et crois les bras sur sa poitrine.

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— On brûle comme des diables dans l’eau bénite, hein ? dis-je à Merc, essayant de garder un ton léger et positif.

Quand je regardai dans sa direction, je constatai qu’il avait disparu.

— Merc ? criai-je.

J’attendis et, quand je n’entendis aucun miaulement, je fronçai les sourcils. Il m’avait abandonnée.

— J’espère que tu n’es pas allongé à l’ombre d’un frangipanier !

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J’approchai et regardai son cou. La plaie n’était pas profonde, mais elle devait brûler.

— Non, tu ne feras rien de tel. Il est à moi, dis-je. C’est une simple égratignure. Je vais aller chercher le peroxyde.

Zach grogna en direction de Mercutio, qui siffla.

— Hé ! arrêtez ça, dis-je. Calme-toi, Zach. Il t’a seulement sauté dessus parce qu’il ne te connaît pas.

« Je pense. »

— Et tu cognais sur la porte comme si tu allais la défoncer. Tu l’as réveillé.

— Il va retourner là où tu l’as trouvé.

C’était réglé. J’étais maintenant une propriétaire de chat à temps plein. Je posai les poings sur les hanches.

— Il reste.

— Tu n’aimes même pas les chats.

— Ce n’est pas un chat.

— Ah non ? demanda Zach en plissant les yeux, méfiant.

— C’est un superhéros dans un costume de chat. Il me protège. Il est déguisé.

— Eh bien, j’espère qu’il est plus rapide qu’une balle, parce que s’il saute de nouveau sur moi, je vais lui en présenter une.

Je levai les yeux au ciel.

— Approche-toi de l’évier pour que je nettoie ça.

— J’espère qu’il a tous ses vaccins.

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