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Sous béton



Description ajoutée par sylvain 2018-03-17T16:48:48+01:00

Résumé

Depuis sa naissance, l’enfant est enfermé dans une minuscule cellule, au 804 du 5969e étage de l’Édifice.

Autour de lui, que du béton, sans ouverture sur l’extérieur. Et deux présences : le père qui s’abrutit de plus en plus et la mère qui redoute l’expulsion. Immobile dans son dortoir, l’enfant est bouleversé par une transformation qui lui révélera un horizon inattendu.

Dans une prose à la poésie implacable, Karoline Georges interroge le devenir de l’humain à travers une expérience littéraire inédite, dont personne n'émerge indemne. Sous béton a été finaliste au prix des libraires du Québec 2012.

Aux Éditions Folio SF.

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Classement en biblio - 23 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par marine_livraddict 2013-07-21T15:15:25+02:00

Je me repliais sur moi-même, à comprimer mon corps jusqu'à n'être plus qu'un point de suspension qui oscillait contre le béton.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par kkittymelo 2023-10-17T13:58:33+02:00
Lu aussi

Je suis passée totalement à côté de cette histoire. Mélange entre fiction, réflexion sur soi et sur le monde mais exposé en staccato. Les mots défilent mais dans un silence oppressant et pour autant, cela n’a provoqué aucune réverbération en moi ni aucune envie de prendre part à cette analyse.

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Commentaire ajouté par Joyeux-Drille 2018-10-19T11:13:14+02:00
Lu aussi

Un roman oppressant et angoissant, servi par une écriture clinique et précise, qui gagne en ampleur au fil des pages. Un univers implacable, inquiétant, inexorable, inexplicable, où l'on formate les humains pour des tâches inutiles et où on se débarrasse de ceux qui encombrent. Au milieu de tout ça, un enfant qui refuse son destin et se pose les questions que personne ne se pose. Fort et lynchéen.

https://appuyezsurlatouchelecture.blogspot.com/2018/10/on-naissait-pour-entretenir-ledifice-et.html

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Commentaire ajouté par Spika 2018-09-26T12:02:18+02:00
Lu aussi

Je pensais moi aussi me retrouver confrontée à un huit clos angoissant confinant à la SF. Je ressors de la complètement perplexe, et comme Ariya le dit dans son propre commentaire : j'ai l'impression d'être passé à côté de quelque chose tant le livre est perché, mais je ne sais même pas au final s'il y avait vraiment une autre dimension à donner à ce récit.

Le coup du "père" / "mère" et de "l'enfant" n'ayant même pas de nom et qui choisira lui-même le sien s'il le veut m'a fait penser à Bird box en premier lieu, mais au final, c'est juste pour montrer une totale uniformité de ce qu'il reste de la "race humaine saine". Et encore, une partie de celle-ci se fait régulièrement dégager au motif de "décontamination" de la tour de béton qu'elle habite.

On comprend rapidement la critique de la propagande à travers le quart d'heure d'informations familiale quotidien et on se doute que l'explication de ce qu'il y a au dehors nous ai caché, oui mais : par qui et pourquoi ?

Et bien... Malgré une certaine explication, j'ai du mal à saisir toute l'ampleur du mystère. Pourquoi, je m'en doute vaguement, surtout en ce qui concerne ce système de décontamination et ce qu'il implique, mais... Qui ? Je crois que c'est ce qui me manque le plus, avec le "Comment on en est arrivé là ?". Ce n'est pas expliqué. On part juste dans un trip mystique de communion avec le béton à la fin sans rien de plus.

Je sors donc de Sous Béton très déçue; comme s'il me manquait quelque chose, alors qu'il commençait bien, avec une atmosphère étouffante pour un petit garçon qui ne devait pas grandir pour ne pas prendre de place. Un seul mot d'ordre: Perplexe...

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Commentaire ajouté par Aryia 2018-05-27T18:02:03+02:00
Lu aussi

Parfois, on se retrouve confronté à des ouvrages tellement atypiques que l’on passe complétement à côté … Et c’est bien ce qui m’est arrivé avec Sous béton. Le résumé me promettait un huis clos mystérieux et angoissant, mais ne me préparait pas à ce que j’allais véritablement trouver derrière cette couverture assez intrigante, qui exprime finalement bien ce qui finit par arriver - je crois - dans l’histoire. A vrai dire, je ne suis certaine de rien à propos de ce roman : j’ai la vague impression de ne pas avoir tout compris. Mais y a-t-il véritablement quelque chose à comprendre ? J’ai comme le sentiment que le sens de ce livre ne m’apparaitra clairement que dans quelques jours, quelques semaines, quelques mois peut-être. Message à retardement. Ou bien message perdu à jamais dans le néant, comment savoir ?

L’enfant n’a pas de nom, juste son matricule et son numéro d’identification médicale. A quoi bon lui donner un nom ? Il sera comme la mère, comme le père, comme tous les autres résidants de l’Edifice. Il nait, il grandit, il se putréfie. S’il n’est pas expulsé avant. L’enfant est le même que les milliers d’autres enfants de l’Edifice. Il est le même que les milliards d’individus parqués dans cet immense bâtiment en Béton Total. Quotidien immuable, cycle sans cesse renouvelé. Réveil, avalage des nutriments, absorption du Savoir, sommeil. Et ainsi de suite. Jusqu’à ce que l’abrutissement ou la pourriture s’empare de l’esprit et du corps. Jusqu’à ce que la répétition incessante soit perturbée par une disparition. Celle de l’enfant.

Le premier tiers de ce roman est intriguant. Comme le sont tous les romans d’anticipation à penchant dystopique. Une humanité enfermée dans un immense édifice de béton, condamnée à l’immuabilité, à l’immobilité, à l’impassibilité. Dehors, le néant, le chaos. Du moins, c’est ce que l’on dit, ce qu’on l’on apprend, ce que montre les informations quotidiennes. C’est ce que répète le père à l’enfant trop curieux, avant de le punir pour cette curiosité, pour cette pensée. Car au sein de l’Edifice, on ne pense pas. Penser, se questionner, poser des questions, c’est mettre en danger tout l’équilibre de l’Edifice. L’Edifice est là pour les protéger de l’extérieur, de la violence et de la mort qui y rôdent. J’ai plutôt apprécié cette première partie, elle était assez intéressante, car on était finalement dans un système dystopique poussé à l’extrême avec l’enfermement de tous dans une petite cellule « familiale » en béton pour protéger ce qu’il reste de l’humanité. On s’interroge sur les causes de cette organisation, sur sa naissance, sur ses dirigeants …

Le second tiers, quand à lui, est surprenant. Un tournant survint : l’enfant nous raconte comment, un jour, une question s’est imposée brusquement à lui. « Pourquoi je me demande pourquoi ? ». La passionnée de philosophie que je suis s’est brusquement écriée : la naissance de la conscience ! A ce moment-là, même si je commençais à trouver ce roman vraiment très étrange, j’étais encore suffisamment intéressée par « l’histoire » pour me réjouir. De grands questionnements métaphysiques, existentiels, étaient résumés par l’apparition du « semblable », cet « œil au cerveau », cette présence au fond de lui qui n’était pas un organe, pas de la chair, mais quelque chose d’autre, d’indéfinissable, qui n’était jamais mentionné dans le Savoir. L’enfant prenait conscience de lui-même, de sa propre pensée, de sa propre existence, non pas en tant que corps mais en tant qu’esprit. Ça commençait à devenir bizarre, cette histoire.

Mais le dernier tiers, lui, est carrément déroutant, troublant, dérangeant. Une des découvertes que l’enfant fait, une fois libéré de la frontière physique de son corps, une fois libre de parcourir en esprit l’intégralité de l’Edifice, m’a tout simplement écœurée. C’est révoltant, rebutant … mais on sent confusément qu’il y a un sens, un message, derrière cette situation. En creusant un petit peu, on peut ainsi s’interroger sur notre système économique, que la guerre rend fleurissant même si on se voile la face. La mort des autres permet de faire tourner notre système. C’est cruel à dire, mais c’est bien ce que montre ce livre d’une façon bien plus imagée, mais surtout bien plus répugnante encore. Surtout, ne lisez pas ce livre pendant les repas, c’est un conseil que je vous donne ! Mais ce que je reproche vraiment à cette ultime partie, c’est d’être parfaitement incompréhensible du point de vue de « l’histoire ». Je n’ai pas réussi à saisir ce qui arrivait réellement à l’enfant, ce qu’il se passait véritablement. La narration, très particulière j’en conviens, n’est vraiment pas claire. Du coup, je n’ai rien compris à la fin. Et par extension, je n’ai rien compris à « l’histoire » (si histoire il y a !) …

En bref, un roman qui débutait plutôt bien, mais qui finit en bouillie littéraire inintelligible. C’est oppressant, c’est angoissant, mais surtout, c’est déconcertant. Je suis à la fois très perplexe et très frustrée : j’ai le sentiment d’avoir le cerveau anesthésié par cette plume trop atypique pour raconter une histoire compréhensible. Alors, on tourne les pages, plus par automatisme qu’autre chose, sans véritablement savoir ce que l’on lit, sans en saisir le sens. Une expérience littéraire, certes, mais qui n’est à mes yeux pas concluante du tout. Ce livre aurait écrit en chinois que cela m’aurait fait le même effet : mais qu’est-ce que ça veut dire que tout cela ? C’est dommage, mais c’est vraiment la seule chose qui ressort de cette lecture, fort heureusement assez courte !

http://lesmotsetaientlivres.blogspot.fr/2018/04/sous-beton-karoline-georges.html

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Commentaire ajouté par heleniah 2018-03-09T20:51:24+01:00
Argent

L’enfant habite dans un minuscule appartement (cellule?) au 804 étage 5969 de l’Édifice. Refuge, ou prison, de béton. Son père s’abrutit de plus en plus, le bat souvent. Sa mère s’effondre sur elle-même, redoute l’expulsion et attend que « ça » passe. L’enfant grandit, tente de comprendre, sans jamais avoir de réponse concrète.

Ce roman de SF est court, dense, sombre et déroutant. L’ambiance est posée dès le départ et l’auteur nous fait comprendre petit à petit quelle peut être sa vision d’un futur absolument atroce. Certains passages sont un peu déjà vus et revus, d’autres, notamment par la mise en situation, assez innovants et apportent réflexions et interrogations.

Malgré tout, le texte reste court, ce qui l’empêche d’apporter autant de réponses et de pousser les réflexions comme il le pourrait.

On en ressort, oppressé, dégoûté, ce qui est le but, mais également un peu frustré.

Un petit ovni littéraire en somme !

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Commentaire ajouté par sweetmel 2013-10-03T15:30:33+02:00
Lu aussi

Un livre que j'ai été obligé de lire pour un cours de création littéraire... mais c'est une lecture qui ne peut laisser indifférent. Dérangeant et angoissant, je me suis attachée à l'enfant et à son monde intérieur. Et j'ai pleuré à quelques reprises pour lui.

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Les gens aiment aussi

Date de sortie

Sous béton

  • France : 2018-04-05 - Poche (Français)

Activité récente

Évaluations

Les chiffres

lecteurs 23
Commentaires 6
extraits 2
Evaluations 8
Note globale 5.63 / 10

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