Je n'ai pas trop l'habitude de commenter des livres. Je le fais pour celui-ci, suite à une signalation d'un des chroniqueurs du site Simplement Pro qui partage mon bureau.
J'avais des doutes, avant d'en commencer la lecture. Ce qui touche à la religion n'est pas mon dada et je m'attendais à devoir lire une histoire insipide avec des curés, des bonnes-sœurs, ou alors un récit de gourou hypnotisant ses fidèles.
En fin de compte, rien de tout cela. Je pense que si je n'avais pas eu l'occasion de lire cet ouvrage, je serais passé à côté de quelque chose, en cette année 2020.
Après un prélude intrigant, dont l'explication arrive en fin d'ouvrage, nous faisons la connaissance de Claire, une jeune enfant dont les parents se séparent. La mère, témoin de Jéhovah, se remarie avec un de ses coreligionnaires, Raymond. Puis, nous sautons à la post-adolescence de Claire et, par la suite, à son marriage avec Jérémie, lui aussi Témoin de Jéhovah.
Les problèmes surgissent dès le premier jour, non pas que Jérérmie soit un mauvais mari, mais Claire est envahie de craintes, qui se révèlent être causé par des événements de son enfance qu'elle a oublié.
Elle doit aussi affronter des évvénements tragiques en rapport avec son entourage, son mari, mais aussi sa meilleure amie, Isabelle.
Quand elles étaient gamines, elles avaient planifié un voyage à Sydney, et c'est cette ville qui donne le titre au livre et autour de laquelle tourne cette histoire.
Je ne sais pas trop quoi rajouter sans dévoiler trop de choses, mais une surprise énorme attend Claire, ainsi que le lecteur, à la conclusion de l'ouvrage, après pleins de rebondissements.
L'histoire est prenante, on a de la peine à s'en détacher, les 450 pages se lisent d'une traite. Le style d'écriture de l'auteur aide à rester concentrer sur le récit, on a parfois l'impression de lire un roman écrit à une autre époque. L'écrivaine (ça se dit?) manie le français d'une manière plaisante et la conjugaison, souvent recherchée, m'a ramené sur les bancs de l'école, durant les nombreuses heures de colle où je devais remplir des pages de conjugaison.
Quelqu'un a dit, dans un commentaire précédent, que s'il devait n'y avoir qu'un seul livre à retenir en 2020, ce serait celui-ci. Je suis tenté de le croire.
Je remercie Eneh Quarter pour m'avoir fait passer ces agréables heures.
Je n'ai pas trop l'habitude de commenter des livres. Je le fais pour celui-ci, suite à une signalation d'un des chroniqueurs du site Simplement Pro qui partage mon bureau.
J'avais des doutes, avant d'en commencer la lecture. Ce qui touche à la religion n'est pas mon dada et je m'attendais à devoir lire une histoire insipide avec des curés, des bonnes-sœurs, ou alors un récit de gourou hypnotisant ses fidèles.
En fin de compte, rien de tout cela. Je pense que si je n'avais pas eu l'occasion de lire cet ouvrage, je serais passé à côté de quelque chose, en cette année 2020.
Après un prélude intrigant, dont l'explication arrive en fin d'ouvrage, nous faisons la connaissance de Claire, une jeune enfant dont les parents se séparent. La mère, témoin de Jéhovah, se remarie avec un de ses coreligionnaires, Raymond. Puis, nous sautons à la post-adolescence de Claire et, par la suite, à son marriage avec Jérémie, lui aussi Témoin de Jéhovah.
Les problèmes surgissent dès le premier jour, non pas que Jérérmie soit un mauvais mari, mais Claire est envahie de craintes, qui se révèlent être causé par des événements de son enfance qu'elle a oublié.
Elle doit aussi affronter des évvénements tragiques en rapport avec son entourage, son mari, mais aussi sa meilleure amie, Isabelle.
Quand elles étaient gamines, elles avaient planifié un voyage à Sydney, et c'est cette ville qui donne le titre au livre et autour de laquelle tourne cette histoire.
Je ne sais pas trop quoi rajouter sans dévoiler trop de choses, mais une surprise énorme attend Claire, ainsi que le lecteur, à la conclusion de l'ouvrage, après pleins de rebondissements.
L'histoire est prenante, on a de la peine à s'en détacher, les 450 pages se lisent d'une traite. Le style d'écriture de l'auteur aide à rester concentrer sur le récit, on a parfois l'impression de lire un roman écrit à une autre époque. L'écrivaine (ça se dit?) manie le français d'une manière plaisante et la conjugaison, souvent recherchée, m'a ramené sur les bancs de l'école, durant les nombreuses heures de colle où je devais remplir des pages de conjugaison.
Quelqu'un a dit, dans un commentaire précédent, que s'il devait n'y avoir qu'un seul livre à retenir en 2020, ce serait celui-ci. Je suis tenté de le croire.
Je remercie Eneh Quarter pour m'avoir fait passer ces agréables heures.
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