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Extrait ajouté par Pticoeuw 2015-04-13T10:55:57+02:00

Je commençai à recevoir les textos de Mal juste avant l’heure du déjeuner.

Mal : Suis réveillé.

Anne : Salut.

 

Mal : Vais courir avec Jimmy.

Anne : Cool !

 

Mal : Fini de courir. Je mange.

Anne : O.K.

 

Mal : Produits de ménage ?

Anne : Pour nettoyer quoi ?

Mal : Pizza explosée dans micro-ondes.

Anne : Spray sous l’évier.

 

Mal : Tu rentres quand ?

Anne : 17 h 30.

Mal : J’m’ennuie.

Anne : Désolée.

Mal : Tu fais quoi ?

Anne : Je bosse. Je dois y aller. A +.

 

Mal : T’as des goûts de chiottes en musique.

Anne : Merci.

Mal : Sérieux, ça craint. Faut qu’on en parle. À part Stage Dive, y a tout à jeter.

Anne : Hé. Tu fais quoi là ?

Mal : Des nouvelles playlists avec du bon son. T’inquiète.

Anne : O.K. Merci.

 

Mal : J’m’ennuie.

 

Mal : Ben va passer pour jouer Halo.

Anne : Super ! Mais t’es pas obligé de me dire tout ce que tu fais.

Mal : Davie dit que c’est important de communiquer.

Mal : Tu vas les avoir quand, tes règles ? Davie veut savoir si tu préfères cupcakes ou glace.

Anne : Je refuse de parler de ça. À tout jamais.

 

Mal : J’m’ennuie. Ben est à la bourre.

 

Mal : Et si on prenait un chien ?

Anne : C’est interdit dans l’immeuble.

 

Mal : Sympa ton soutif vert en dentelle.

Anne : Sors de ma chambre, Mal.

Mal : Culotte assortie ?

Anne : SORS. TOUT DE SUITE.

Mal : ☺

 

Mal : Envoie-moi des sextos.

 

Mal : Allez, c’est marrant.

 

Mal : STP ?

Mal : Un nombre important de caractéristiques de co-dépendance malsaine chez les deux sujets peut être le signe d’une relation toxique.

Anne : ? ? ?

Mal : Quiz dans un magazine. On a besoin d’un psy. Surtout toi.

Anne : …

Mal : Je prends RDV pour une thérapie de couple. Mardi 16 h 15, ça te va ?

Anne : Hors de question qu’on aille voir un psy.

Mal : Qu’est-ce qui se passe ? Tu ne m’aimes plus ?

Anne : J’éteins mon téléphone.

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Extrait ajouté par toutoun 2015-03-31T16:52:08+02:00

"-Salut clitoris d'Anne. C'est moi Mal, ton maître et seigneur.

- Oh mon dieu (je couvris mon visage de mes mains) je t'en prie pas ça.

- Chut ! Il s'agit d'une conversation privée. (il déposa des baisers fiévreux le long de mes lèvres. Mon estomac se noua si serré que c'en était douloureux.) Regarde toi toute belle et excitée. Ne t'inquiète pas je vais m'occuper de toi.

- Si tu n'arrêtes de parler à mon vagin, je te tue.

(...)

- Tu es magnifique, la chatte d'Anne. Juste magnifique. Et moi je ne suis pas méchant comme elle. Je suis de ton côté et je t'aime beaucoup, parce que j'adore te sentir autour de ma bite.

- Je ne plaisante pas Mal. Tu es en train de me gâcher les cunnis à vie. Arrête.

- Tu mens. Tu es trempée. on n'arrivera jamais à nettoyer ce drap.

- Mon dieu..."

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Extrait ajouté par toutoun 2015-03-31T16:51:46+02:00

" - T'es vraiment une fille géniale, Anne, cria Mal à l'intention de nos voisins. Je t'aime beaucoup.

- T'es sérieux ? C'est comme ça que tu parles pendant l'amour ?

- Montre moi comment toi tu fais, alors. Allez.

Je fermai ma bouche.

- Dégonflée. (Il tourna le visage vers le mur que nous partagions avec Lauren et Nate.) J'aime tellement ton goût...

- Quel goût ? demandai-je, essoufflée, les muscles des cuisses tendus. (Il pouvait s'estimer heureux que mon vagin ne lui ait pas encore sauté dessus.) Décris-le-moi.

- Ben... il a le goût de miel et de crème et... je ne sais pas, de pain ?

- De pain ? répétai-je en plissant le nez.

- De pain super sexy que je pourrais manger toute la journée tellement tu es délicieuse et pleine de blé complet.

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Extrait ajouté par Mayumi 2015-06-19T11:53:10+02:00

" Si tu lui fais du mal, Ev et moi on t'étripe à coups de pelle. Tu es prévenu.

- Tu ne peux pas étriper quelqu'un avec une pelle.

- Bien sur que si. C'est juste moins propre. Bref. "

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Extrait ajouté par VaLouka 2015-04-27T11:17:06+02:00

— Oups. Mais tu me faisais marcher, ma puce ? Tu sais qui est John Bonham quand même ?

— Désolée…

— Putain, soupira-t-il en secouant la tête d’un air triste. Je ne suis pas sûr de pouvoir fourrer ma bite dans une femme qui n’a jamais entendu parler de John Bonham.

— « Fourrer ta bite » ? répétai-je en levant les sourcils très haut. Tu viens vraiment de dire ça ?

— Faire l’amour. Je voulais dire faire l’amour… bien sûr. Je ne me permettrais jamais de « fourrer ma bite » dans ton corps magnifique. Je lui ferais l’amour passionnément, follement pendant des jours, non, des semaines entières. Ce serait si beau, ma puce. Il y aurait des petits anges, des oiseaux qui, tu sais… seraient là, à nous regarder. Les petits vicieux.

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— On a cassé mon lit, dis-je, énonçant l’évidence.

— Toute bataille nécessite des sacrifices, ma puce.

— Ça va, ta tête ? Tu veux de la glace ? demandai-je en dégageant ses cheveux blonds emmêlés.

Peut-être avait-il besoin d’une infirmière pour le réconforter ? Si oui, j’étais dans les starting-blocks. J’étais à deux doigts de le lui suggérer. Rien de tel qu’un taux d’alcoolémie élevé pour se jeter à l’eau.

— Ça va, assura-t-il, et son sourire se dessina lentement.

Quelqu’un tapa sur le mur du côté de Lauren et Nate.

— Ça va, vous deux ?

— Très bien, merci ! criai-je en retour. Continuez !

J’entendis des rires étouffés. Mon visage était chaud. Voire brûlant. On aurait probablement pu y faire cuire un steak. Merde, tout le monde allait être au courant. Et j’entends par là tout le monde. Jamais on ne réussirait à faire oublier un truc pareil.

— Ils se foutent de notre gueule, dis-je.

— Tu rigoles ? On vient de casser le lit en baisant. Ils rêveraient d’être à notre place. L’ordre naturel de la hiérarchie sexuelle vient d’être rétabli.

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Extrait ajouté par Folize 2015-05-16T19:32:00+02:00

« Mmmh, Nate… »

Gémissements.

Grognements.

Un coup.

« Bébé, oui… »

« Lèche-moi, Lauren. »

Merde.

J’enfouis mon visage dans mon oreiller et criai en silence. Si je mettais de la musique pour couvrir leurs voix – c’était la méthode que j’employais habituellement lors des ébats nocturnes de Lauren et Nate –, je réveillerais sans doute Mal.

Deux nouveaux coups. Le lit d’à côté se mit à grincer, si fort que je n’entendis pas la porte de ma chambre s’ouvrir.

- J’ai atterri où, là ? En enfer ? lança Mal avant de venir s’asseoir sur le bord de mon lit.

- Je crois bien, oui. Et au premier niveau, le pire de tous. Celui où tu entends tes voisins baiser à travers des murs fins comme du papier à cigarette.

Lauren commença à émettre les tout petits cris auxquels elle était particulièrement encline dans les moments intimes. Je me recroquevillai.

- Il faut que ça s’arrête, murmura Mal, horrifié, la bouche grande ouverte. C’est affreux, putain.

Nous nous mîmes à rire doucement. Il n’y avait pas d’autre réaction possible.

- Et si on allait à l’hôtel ? proposa-t-il en se mettant à l’aise sur mon lit.

- À 4 heures du matin ?

- Il leur faut combien de temps généralement ?

- Comme ils ont bu, ça peut durer un moment.

Je ramenai mes genoux contre ma poitrine. Mal n’était pas obligé d’être au courant pour mes tétons. Hélas, entendre un couple profiter bruyamment d’une bonne partie de jambes en l’air ne m’aidait pas beaucoup. Heureusement que je portais un bas de pyjama en coton confortable et un vieux tee-shirt difforme qui dissimulaient tout. Sans ça, la proximité de Mal aurait pu se révéler gênante.

- Il y a quelque chose qui cloche, non ? remarqua Mal, jetant au mur un regard noir, comme s’il l’avait agressé. Je suis le batteur des Stage Dive. Je ne me fais pas réveiller par des gens qui baisent sauvagement. C’est moi qui réveille les autres. Je réveille des quartiers entiers, putain.

« Oh oui, bébé, c’est trop bon », grogna Nate de l’autre côté du mur.

- Tu as entendu ? demanda Mal.

- Ouaip.

- C’est bon. Ça suffit.

Il se mit debout sur mon lit, me jaugeant de toute sa hauteur. Il n’y avait que quelques centimètres entre sa tête et le plafond.

- Il me nargue. Ce mec me met au défi, déclara-t-il.

- Ah bon ?

- Le connard.

- Moi qui ai toujours pensé que Nate était un type sympa, ironisai-je.

Il me tendit une main.

- Allez, Anne. L’heure est venue de défendre notre fausse vie sexuelle.

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Extrait ajouté par Coline15 2015-06-29T13:41:57+02:00

"Si tu penses que la soirée était agitée, attends de voir la tournée. Là, ça va commencer à devenir intéressant. C'est la première fois qu'il y aura nos copines.

- Est-ce que je dois avoir peur ?

Mal tambourina sur la vitre.

- Anne, ça me démange. Je crois que je suis allergique à mon pantalon. Viens m'aider à l'enlever.

Nous l'ignorâmes. David se gratta la tête.

- Je crois que ce sera une période d'apprentissage pour nous tous, pas vrai ?

- Oh oui, acquiesçai-je.

L'avenir n'était qu'un énorme point d'interrogation. Et, pour une fois, ça m'allait très bien.

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Extrait ajouté par nini84 2015-05-19T19:26:03+02:00

Génial. Après on se touchera un peu (Il se frotta les mains) . Non laisse tomber, on fera ça au lit tout à l'heure.

Mon esprit s'embrouilla.

-On se touchera? Au lit? Tu plaisantes? Je croyais qu'on allait pas coucher ensemble. Tu as dit qu'on allait juste faire semblant d'être ensemble.

-Hé, détends-toi. On ne va pas coucher ensemble, mais dormir ensemble. Sinon tout le projet tomberait à l'eau. ce qu'il faut c'est une copine stable et honnête. Si on commence à baiser tu seras là :" Oh, Mal, jamais je n'aurais cru connaître un jour une telle extase. Je ne peux plus vivre sans toi Baise-moi, Mal je t'en suppliiiiie!"

Ses genoux se dérobent et il s'étale de tout son long sur le sol. Sa performance était impressionnante. Ce mec est doué pour le théâtre.

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Extrait ajouté par NightShades 2015-04-14T15:26:11+02:00

En les regardant me tourner autour lentement, j’eus l’impression d’assister à une étrange danse d’hommes des cavernes. Plutôt amusant.

Le premier à me pisser dessus, en revanche, y laisserait ses couilles.

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