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" Je n'avais pas seulement confiance en Alex, j'avais confiance en moi. J'avais pris cette décision parce que j'étais intelligente. Je n'étais pas seule. Je formais une équipe avec Alex. Nous formions une équipe. Un couple soudé. J'étais peut-être une solitaire mais j'avais attendu. Pour ça. Pour cet instant."
Afficher en entier— Je ne m'attendais pas à te voir.
— Je n'ai rien de spécial, répondis-je.
Il me poussa sur le lit en posant sa main entre mes seins et s'installa sur moi, tout son poids reposait sur ses avant-bras. J'étais plaquée au lit, sa poitrine nue contre la mienne.
— Tu es spéciale pour moi. Dois-je te le prouver ?
Il embrassa de nouveau ma mâchoire, le long de mon cou.
— Je crois que oui.
Oh-oh. Un homme avec une mission, et pas pour combattre la flotte des Ténèbres.
Il lécha ma clavicule jusqu'à mon sein droit. Sa langue fit le tour de mon téton sans le prendre dans sa bouche. Il choisit de lécher le creux entre mes seins jusqu'à l'autre téton, qui bénéficia du même traitement.
Je commençais à me tortiller, à fourrer mes mains dans ses cheveux.
— Alex, je gémis.
Il leva la tête assez longtemps pour me regarder.
— Oui ?
— Qu'est-ce que tu fais ?
Son nez effleura mon mamelon dressé, plus histoire de me taquiner qu'autre chose.
— Je te prouve à quel point tu es spéciale.
— En me torturant ?
Il me souriait maintenant.
— Que veux-tu, ma chérie ? Je te l'ai déjà dit. Je te donnerai tout ce que tu veux. Parle et j'obéirai.
Je rougis et me tortillai un peu plus.
— Je veux...
— Oui ?
— Je veux sentir ta bouche sur moi.
— Comme tu voudras.
Afficher en entier— Nous sommes des partenaires, dis-je, un couple uni.
— Oui.
— C'est réel.
— Si tu me permets de mettre cet emblème sur ton uniforme avant que nous quittions notre appartement, je serai heureux de te présenter à toute la base.
J'acquiesçai. Il s'approcha, fixa l'emblème sur la chemise de mon uniforme, au-dessus de mon sein gauche. Ses doigts effleurèrent mon mamelon tout dur derrière l'uniforme. Il leva les yeux vers moi, je compris qu'il avait lui aussi senti ma réaction physique. Il effleura mon téton durci à nouveau, j'aurais juré entendre un grognement ou un autre son possessif émanant de sa personne.
Ses yeux verts luisaient de désir. Je me léchai les lèvres. Je me souvenais de notre baiser, j'en voulais un autre.
— Ne me regarde pas comme ça, dit-il d'une voix grave dans laquelle pointait un léger avertissement.
Je fronçai les sourcils et murmurais,
— Comment est-ce que je te regarde ?
— Comme je te regarde, moi, répondit-il. J'ai envie de t'embrasser. Te ramener au lit et te déshabiller. Faire de toi ma femme dans tous les sens du terme.
— Je veux... je veux que tu m'embrasses, soufflai-je.
Ses yeux scintillèrent, il se pencha et effleura mes lèvres. A peine. Brièvement. Il releva la tête et nos regards se croisèrent. Sans se lâcher.
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