Commentaires de livres faits par steph170389
Extraits de livres par steph170389
Commentaires de livres appréciés par steph170389
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— Tu es rayonnante. "
— Il y a un problème ?
— Un petit, oui ! Vous comptez me payer ?
La honte ! Il tendait la main pour recevoir le prix de sa course et moi, comme une conne, je me la joue grande dame qui descend de sa calèche "
– Où on va ? me renseigné-je.
– C’est une surprise ! Je ne peux rien te dire.
– J’ai horreur des surprises, dis-je en gémissant.
– C’est nouveau, ça ! Et depuis quand ? demande Kyle, étonné. – Depuis qu’on m’a abandonnée dans une station-service, au milieu de nulle part."
Lorsque je me glisse sous les draps, Kyle se redresse.
– Peux-tu prendre le livre derrière toi ? me demande-t-il en désignant ma table de nuit de l’index.
Je le fixe et un petit rire m’échappe. Il doit plaisanter.
– Nell ? Le livre. S’il te plaît.
Il est sérieux ! Il compte vraiment lire "
— Tu as ce regard depuis que tu es revenue des enfers.
Il marqua une pause, puis me dévisagea avec une gravité dont personne ne le croyait capable. En cet instant, il ressemblait tellement à Aiden.
— Je ne sais pas ce que tu vas faire, mais il n’est pas question que tu brises le cœur de mon frère. Tu es toute sa vie. Et si tu quittes ce monde, ça le détruira.
— Ça n’empêche pas qu’elle me fait mal !
— Toute cette comédie, uniquement pour que je te porte.
— Mais je ne fais pas la comédie ! s’énerva-t-elle. Je ne veux pas que tu me portes, je…
Elle s’arrêta au milieu de sa phrase en se rendant compte qu’il souriait. Il se moquait d’elle !
Jamais encore elle ne l’avait vu lui sourire de cette manière : il était… magnifique, avec ses yeux d’un bleu cyan qui brillaient d’amusement et cette fossette au creux de sa joue. Durant quelques secondes, elle ne sut comment réagir, puis finalement… — Tu te fiches de moi ! s’écria-t-elle en lui donnant une tape dans l’épaule. Il relâcha sa jambe et s’assit sur le banc à côté d’elle. — Avoue qu’il y a de quoi rire. Tu te tords la cheville en essayant de me fuir, et au final tu te retrouves encore plus dépendante de moi."
L’amour est une foutue rivière avec des rapides de niveau cinq. Seul un acte catastrophique de la nature ou d'un barrage a la moindre chance de l'arrêter – et puis habituellement réussit seulement à la détourner. Ces deux mesures sont extrêmes et modifient le terrain tant que vous finissez par demander pourquoi cela vous dérangeais. Aucun repère pour évaluer votre position quand cela à été fait. La seule façon de survivre est de concevoir de nouvelles façons de définir la vie. Vous l'aimiez hier, vous l'aimez aujourd'hui. Et elle a fait quelque chose qui vous dévaste. Vous l’aimerez demain. » « Elle a tué ma sœur ! » « Avec malveillance? Par dépit? Hors de la cruauté? La soif de pouvoir? » « Comment pourrai-je savoir ? »