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Extraits de livres par Stor-m

Commentaires de livres appréciés par Stor-m

Extraits de livres appréciés par Stor-m

jnchjbhjeffbebz ce tome est BEAUCOUP. TROP. BIEN. vraiment.
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alors déjà, histoire de terminer mon avis sur une note positive, le point négatif. je n'ai pas trop adhéré au côté encyclopédique de l'histoire, où l'autrice ajoute trop de détails et de paragraphes explicatifs longs comme 6 bras - ce qui a forcément compliqué ma lecture pour ma part. plusieurs fois, je me suis demandée si c'était moi la débile qui comprenait rien ou l'histoire en elle même, mais après avoir vu les autres avis, j'ai compris que j'étais pas si bête que ça au final ~
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le point négatif passé, concentrons-nous sur le reste de l'histoire chère audience. parlons déjà de l'écriture juste incroyable de Christelle Dabos. depuis le tome 1 j'ai toujours cette douceur dans la poitrine quand je lis n'importe quel tome de lpm, un peu comme celle d'Harry Potter. comme si j'étais chez moi.
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après les personnages. j'affectionne chacun d'eux (octavio mon homme), j'aime la manière dont leur personnalité est façonnée et comment ils évoluent à travers les tomes - ophélie et thorn par exemple <3. ça a été dur de les quitter, maaaais bon ;-;.
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en général je n'ai pas trop de choses à dire sur lpm, à part que cette saga restera à jamais dans mon coeur. du coup faites moi plaisir et ALLEZ LIRE LA PASSE MIROIR.
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date : 24-07-2020
☆ pour annoncer de suite la couleur, de livre est bien. Vraiment bien. Je pense qu'il pourrait faire parti des livres à mettre dans le CDI d'une école pour sensibiliser contre l'harcelement scolaire ~
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☆ les thèmes abordés dans la roman sont délicats : on suit Regan faire face à des crises d'anxiété tout en se faisant intimider par les autres. On parle aussi de suicide, de relation toxique...
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☆ le point que j'ai le plus aimé dans ce livre, c'est sûrement l'écriture de Cole Gibsen. J'apprécie la manière dont elle décrit les sentiments de Regan tout au long du récit. C'est fluide, très agréable à lire, ce qui est sur c'est qu'on s'ennuie pas en le lisant !
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L'évolution psychologie de Regan. Gros gros point positif du livre. Elle passe du rôle d'une garce populaire constamment obnubilée par le besoin de plaire à sa chère et tendre mère à une fille déterminée à réparer ses erreurs passées. I like it ~~☆
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Nolan Letner. No. Lan. Letner. Il est parfait je veux rien savoir d'autre ÙwÚ
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En soit (et pour écourter mon avis parce que duh je veux pas trop que ce soit un essai quand même, j'ai plein de choses à dire sur ce livre), ce livre n'est pas un coup de coeur, une très bonne lecture plutôt ! Elle n'est certainement pas sans prise de tête, mais si jamais vous avez envie d'une romance dans des situations peu banales, vous savez quoi prendre en librairie (mais prenez le format broché, le poche du livre est écrit en riquiqui, c'est quoi ces bails là Pocket)
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date : 09-07-2020
☆ c'est mon second McManus que je lis, et clairement je n'en étais pas déçue !
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☆ tout au long de l'histoire l'autrice nous tient en haleine et ne laisse pas le suspens s'essoufler une seule fois. Contrairement à Qui ment ?, nous sommes plus centrés sur l'enquête que sur la romance, et ça fait quand même vachement plaisir .
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☆ j'ai beaucoup aimé les personnages du roman, chacun a ses petits secrets à lui, et ça crée une bonne ambiance mystérieuse du début à la fin : en tant que lecteur on doute de tout le monde, on ne sait pas vraiment à qui faire confiance et c'est impossible de savoir qui est le coupable, alors que normalement dans un thriller, on a toujours un personnage en particulier qu'on suspecte d'être le meurtrier.
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☆ les plotwists. J'ai adoré les plotwists. Même si je me suis bêtement spoilée en feuilletant les pages, j'ai vraiment pas vu certaines choses venir .
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☆ Se taire ou mourir ? n'a pas été un coup de coeur, plutôt une très bonne lecture avec au menu : des rebondissements, une romance qui prend pas la place sur tout, et des personnages attachants ! Bon, même si je suis habituée aux histoires fantasy avec beaucoup de descriptions et de blabla, j'ai plutôt bien accroché au style d'écriture assez ado et simple de l'autrice. Mais je recommande ce thriller !
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date : 03-07-2020
Du coup, go go résumer mon impression sur Damien en plusieurs points :
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☆ avant d'aller plus en profondeur, je dirais que dans l'ensemble j'ai beaucoup aimé l'histoire. Les personnages de Damien, Luc et compagnie sont plutôt attachants, c'est très plaisant de lire l'histoire à leur côtés.
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☆ au début je ne savais pas trop quoi penser de l'histoire : je ne savais pas trop où l'autrice voulait m'emmener, et je n'arrivais pas totalement à adhérer au langage très cru du roman, mais plus le temps passait, plus le caractère de Damien se faisait plus mâture, donc forcément ça s'est reflété sur la plume de l'autrice - j'ai beaucoup aimé relevé ce point en tout cas .
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☆ certaines rebondissements sont trop prévisibles à mon goût : dès les premières pages passées et les bases de l'intrigue passées, j'ai deviné dans les grandes lignes le détournement ultime de situation - ça c'est parce que je lis trop de fantasy avec des cliffhangers :(
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☆ l'histoire était EXTREMEMENT addictive. vraiment. je me souviens qu'un soir, ma tablette avait 2 %, qu'il était environ 1 heure du matin, MAIS JE CONTINUAIS A LIRE. c'est un des points positifs le plus gros selon moi .
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☆ le plus gros avec les relations entre chaque personnage bien sûr. L'amitié Luc-Damien. Damien-Mike-Luc-Fred-Serge. Damien et sa mère. Damien-Abby. j'adore la manière unique qu'utilise Damien pour aimer chacun de ses proches .
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☆ pour résumer en quelques mots : une lecture proche du coup de coeur !
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Il y a une petite heure je viens de tourner la page finale de "The Winner's trilogy : the Kiss", et je peux déjà vous dire qu'elle me manque déjà...
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☆ D'abord, les personnages : j'adore Kestrel, même si tout au long de la trilogie je ne l'ai pas forcément associée à une stratège hors paire, son côté réfléchi a été plus marqué dans ce tome-ci. Arin, je l'aime un peu plus, même si ce n'est pas forcément le personnage auquel on s'attache immédiatement.
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Gros coup de coeur pour Roshar par contre : je suis folle de son humour aux contours sombres. C'est un personnage complexe qui dissimule ses secrets et ses sentiments derrière des plaisanteries - beaucoup mieux que Keefe Sencen en tout cas -, et j'ai adoré qu'il ne soit, à la manière d'Helene Aquilla, ni blanc ni noir.
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☆ Ensuite, pour revenir à l'histoire dans son ensemble, j'ai trouvé qu'il y avait une énorme différence entre le premier et ce dernier tome. Fini le blabla parfois inutile et ennuyant, place aux stratégies et aux complots. Je ne veux pas spoiler, mais j'ai apprécié grandement l'ambiance tendue que dégage ce roman.
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☆ Certes, je n'ai pas pu m'identifier sentimentalement aux personnages, ou même comprendre les émotions qu'ils traversent - je n'accroche pas forcément au style de l'autrice et cela joue un rôle dans mon appréciation pour l'histoire -, mais cela ne m'a empêchée d'apprécier le récit et d'être triste à la fin de l'histoire.
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☆ Le seul soucis que je reprocherais à l'oeuvre est, comme je l'ai mentionnée, la plume de l'autrice : parfois je trouve qu'elle complexifie les choses (descriptions, parfois dialogues...) alors qu'elle aurait pu l'écrire plus simplement et d'une manière bien meilleure. Mais bon, peut-être que c'est en rapport avec la traduction !
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J'ai terminé il y a peu le septième tome de Gardiens des cités perdues, et comme d'habitude j'ai des étoiles dans les yeux et l'esprit encore auprès de Sophie à Havenfield. Et tout ce que je peux vous dire en plusieurs points (fini les avis de 67 paragraphes), c'est...
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☆ que durant les 300 premières pages du roman pas grand chose se passe (en dehors du fameux événement dangereux présenté dans le résumé). C'était clairement ennuyeux, et à cause de ça j'ai laissé traîner le roman depuis février.
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☆ même si je suis quelqu'un qui aime lire de la romance pour alléger un récit fantasy, j'ai trouvé qu'il y en avait TROP, on est plus axé sur les sentiments de Sophie et Fitz qu'autre chose..
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☆ les monologues de 10 lignes. Je. Dis. NON.
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☆ j'ai trouvé certaines révélations arrivant beaucoup trop tard par rapport à la longueur de l'histoire. Je veux dire, on a un livre de 760 pages, on apprend quelque chose qui on espère se passera dans les prochains chapitres, mais qui arrivera malheureusement vers la fin du livre. Je trouve ça assez en décalage personnellement.
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☆ les points négatifs sont passés, maintenant ceux positifs : même si les 300 premières pages étaient aussi barbantes qu'un cours de musique, elles étaient assez riches en explications et découvertes sur plusieurs points de l'intrigue, qui je pense sont des bases pour le récit futur.
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☆ le fameux événement du résumé. J'en suis folle, il a été magnifiquement décrit dans les moindres détails, c'était assez gore mais trés immersif, que ce soit dans la scène ou dans les sentiments de Sophie.
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☆ je passerai 67 ans à résumer ce pourquoi j'adore gdcp et pourquoi cette histoire restera à jamais dans mon coeur. LISEZ CETTE SAGA.
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☆ ... en plus y a Keefe quoi ...
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date : 10-06-2020
On parle aujourd'hui d'un livre qui a su frôler le coup de coeur.
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Je ne connais Elle Seveno que de nom. Je n'ai jamais lu l'une de ses oeuvres, mais heureusement j'ai eu l'occasion de pouvoir lire l'un de ses récents livres paru en mars. Et clairement je n'ai vrrrrrraiment pas été déçue. :D
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J'ai beaucoup aimé suivre les (més)aventures épiques de Vine, notre protagoniste. J'avais peur au début du roman d'avoir affaire à la fille niaise et débile sur les bords qu'on retrouve un peu partout dans les YA (Je sUis pAs CoMme lEs aUtrEs fiLles nié nié), mais contre toute attente, j'ai beaucoup aimé son personnage à elle. Les chapitres de son point de vue reflètent même le caractère que l'autrice nous présente : déterminée, réfléchie et courageuse - impulsive selon la situation.
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Sa romance avec "Le Prisonnier" comme elle l'appelle est tout aussi bien construite : on part sur une histoire d'amour qui ne part pas dans tous les sens, rationnelle et surtout pas cringe - heureusement pour moi, les romans wattpad me hantent encore aujourd'hui. J'ai beaucoup apprécié la collision entre leur deux caractères très semblables ; leur relation met du temps à arriver, et c'est un détail que j'ai apprécié voir dans l'histoire.
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Pour en revenir à l'histoire en général, j'ai beaucoup aimé l'univers présenté dans les classiques de la SF : des extraterrestres qui viennent envahir la Terre pour la coloniser. J'ai trouvé l'univers très bien présenté et construit, l'autrice ne laisse rien au hasard et essaye de nous immerger un maximum dans son imagination.
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Toutefois, l'histoire aurait été un coup de coeur si la forme et les personnages secondaires avaient bénéficié d'un peu plus d'attention de la part de l'autrice.
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Je m'explique : pour la forme, j'aurais adoré voir plus de descriptions en rapport avec les paysages et détails. Les péripéties s'enchaînent agréablement, la plume est très fluide à lire, mais je ne pense pas que l'autrice s'est arrêtée un moment pour décrire quelque chose autre que les sentiments, et je trouve ça très dommage pour un univers aussi bien développé.
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Ensuite, pour les personnages secondaires, je n'ai pas aimé le fait qu'ils ne sont qu'au dernier plan du récit. On ne connait leur nom qu'après un long moment dans l'histoire, et je serais incapable de les décrire physiquement si on me le demandait, encore moins au niveau des personnalités. Vine les considère comme ses "amis", mais je n'ai pas l'impression qu'elle soit très proche d'eux. L'histoire aurait pu bénéficier d'un souffle nouveau si on était plus focalisé sur l'entraide et la survie en groupe que sur la romance.
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Pour conclure en quelques lignes, j'ai envie de dire que Suprêmes a été une très bonne lecture pour moi. J'ai beaucoup aimé cette lecture, et j'ai hâte de voir la suite des événements dans le prochain tome - surtout après une fin pareille !
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Je regrette de ne pas avoir commencé cette saga plus tôt. Vraiment.
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Le truc, c’est que j’ai l’impression d’avoir en mains tous les points positifs que j’aime retrouver dans un roman fantasy. D’abord, on a l’univers parfois retrouvé un peu trop souvent dans certains livres imaginaires, mais qui est si bien développé et incroyable que l’on s’en rend pas compte la première fois.
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Puis l’intrigue, la quête du héros : avec Feyre, on vit avec elle son aventure, ses émotions et ses doutes. J’aime son humour et le sarcasme dont elle fait preuve, c’est un personnage attachant dont j’ai eu du mal à me détacher à la fin du livre. Il y a eu une réelle évolution entre la Feyre du tome 1 et celle du tome 3, et ça fait franchement plaisir.
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En général, l’histoire n’a connu aucun temps mort. Du début à la fin on est emportés dans les péripéties qui s’enchaînent rapidement et les révélations à couper le souffle. J’ai adoré les scènes de combats et d’actions, je m’étais vraiment cru dans la bataille avec le gang bang de Velaris :D
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Mon avis est certes plus court que d’habitude, mais je sais que si l’allonge je vais non seulement avoir un pavé de 4 km à écrire, MAIS AUSSI PARCE QUE DANS UN SENS IL N’Y A PAS ASSEZ DE MOTS POUR DÉCRIRE A QUEL POINT JE SUIS AMOUREUSE DE CE LIVRE, il est GÉNIAL !
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Bref. Faites moi plaisir et lisez Un palais d’épines et de roses en buvant du chocolat chaud. Votre bonheur augmentera de 10% à chaque fin de chapitre, je vous le garantis ;^;
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Coup de foudre pour le troisième tome de la série Grover Beach !
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Clairement je m’attendais PAS DU TOUT à ce que ça m’en plaise autant - et dieu sait à quel point je peux être exigeante quand je le veux -, pourtant, passé les premiers chapitres, j’ai dévoré en trois jours ce roman-ci.
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Sam est une héroïne qui, tout comme Lisa, n’a rien d’une vierge effarouchée : elle est comme moi et toi, et désire tout ce qu’il y a de meilleure dans la vie d’une adolescente : des amis, une vie rythmée, du rire et un copain/copine. J’ai adoré les différentes facettes de sa personnalité, ses choix, ses envies, ses sentiments, ainsi que ses ressentis face à telle ou telle chose. À la fin du roman, j’ai eu du mal à me détacher de d’elle et des autres personnages tout aussi géniaux. Même Anthony, que je détestais pourtant de toute mes forces au début, a fini par gagner mon cœur au milieu du roman - et entre accessoirement dans la liste de mes bookboyfriends ehe.
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Et si l’histoire est principalement une romance, on a aussi droit à des drames familiaux, bien qu’ils n’occupent pas la majeure partie de l’histoire.
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Mais ce que j’ai surtout adoré, c’est l’ambiance High School et jeunesse dans laquelle j’ai été embarquée. J’ai été conquise par elle, elle et ses personnages tout aussi géniaux - je sais que je m’en répète mais VOILÀ j’ai adoré T-T
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Mon avis est certainement pas long et je le reconnais, mais d qui est surtout pas court est l’affection toute particulière que je tiens à cette histoire toute douce et fluffy - j’ai essayé de jouer avec les phrases jugez pas ce paragraphe.
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Je viens de voir sur booknode qu’effectivement il y a un tome 4, 5 et 6. Je croise donc les doigts pour qu’une traduction se fasse pour le reste de la saga ;-;
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Ce livre est un grand grand coup de cœur !
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Si j’ai été assez mitigée concernant ma lecture du premier tome, le second s’est avéré être un coup de cœur. Dès le début j’ai été embarquée comme pas possible dans le tourbillon conflictuel qui oppose les Valoriens face au reste des nations (des dramas queens ces valoriens) que ce soit dans la cage dorée où séjourne Kestrel aux côtés de la cour et boit du thé à la camomille tous les jours, ou bien avec Arin, gouverneur de la péninsule d’Herran avec la volonté de fer de libérer Herran (quel brave homme). Chaque point de vue a un grain - ou même tout un seau - qui sache se différencier de l’autre, de sorte qu’on plonge dans le monde calculé et manipulateur de Kestrel, ou bien le courage et la détermination d’Arin à chaque chapitre entamé.
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Et cette plume ? Est-ce que j’ai besoin de préciser à quel point elle est géniale ? Je dois avouer que dans le premier tome je trouvais que l’auteure nous balançait tout un tas de détails à la figure, et donc rendait le récit assez lourd à suivre. Mais ici je suis agréablement surprise de constater que cette fois-ci j’ai su plus amplement aimer ce style fin et précis, avec lequel j’ai adoré lire l’histoire.
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Ensuite, je pense que j’ai été légèrement déçue de l’enchaînement des péripéties - « je pense », parce que c’est quelque chose que j’ai pas forcément remarqué durant ma lecture. Comme au premier tome, certains événements se mettent en place - trop - lentement et ralentissent le cours du récit.
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Ce ne sont pas des longueurs inutiles, c’est tout le contraire je dirais, mais j’aurais bien voulu que l’histoire se fasse un peu plus rythmée à un moment. Mais bon, ce n’est paaaaaas quelque chose que j’ai souligné aux premiers abords.
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Pour finir, Arin. Arin. Arin. Arin. Arin. Pire qu’un moustique le vendredi soir lui. Déjà que dans le 1 il m’avait passablement énervée comme pas possible avec ses sautes d’humeur et ses colères d’ado prepubère - mais je l’aime quand même, hein -, cependant ici il m’avait un chouïa fait chier. Je ne veux pas dire pourquoi sinon ça en reviendrait à spoiler (spoil = œuvre du diable), mais certains de ses décisions m’ont saoulée comme pas possible et donnée envie de le gifler bien comme il faut.
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Sinon pour le reste des personnages, je. les.a.dore. Tous (sauf l’empereur parce que l’empereur c’est beurk). Après la boucherie qu’a été ce second tome, je ne peux qu’espérer que, non, Jess ne va pas mourir. Que Verex aussi. Le général Trajan également. Et Roshar hein évidemment. Avec son tigre bien sûr. SANS OUBLIER MA CHÈRE KESTREL - l’une des figures littéraires féminines les plus fortes je dois dire. Je l’adoooooooooooooooore.
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Bref.
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Troisième tome, I’m coming.
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In.cro.yable. Wow.
Ça a été quelque chose, ce livre. Quelque chose de très très grand, en tout cas. Cela fait environ deux bonnes heures que je l’ai terminé, deux bonnes heures durant lesquelles j’avais vu envie de me mettre à la seconde dans le tome 3.
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Parce que si le premier tome a été plus une introduction à la saga qu’autre chose - bien qu’il soit également un énorme coup de cœur -, A court of mist and fury (ça le fait plus classe en anglais) a mis la barre plus haute que la taille de la taille de la tour Khalifa - si si jte jure (meme ça ne dépasse toujours pas Une Braise sous la cendre oups - Je vais me faire incendier je crois).
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Dans ce tome, le rythme ne s’essouffle pas une seule minute, que ce soit en termes de révélations et d’actions. Le fil conducteur de l’histoire est net, précis, on ne se perd pas une seule fois au cours du récit - sauf peut être vers la fin où les révélations se sont enchaînées de manière drastique, bien que je les aie totalement « absorbées » dans ma tête après un certain temps.
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Les personnages qu’on nous introduits ont chacun une personnalité propre : Mor est la figure féminine séductrice et attentionnée, mais demeure un atout dangereux pour ses ennemis lorsqu’elle use de ses pouvoirs et de son courage, Amren est elle la rusée du groupe, mystérieuse, ingénieuse, et difficile à proprement cerner - trait que j’ai fortement apprécié. Cassian est le feu d’une cheminée, alors qu’Azriel est le froid qui le suit. Puis on a Rhysand, notre prince préféré des ténèbres et des étoiles.
On déteste certains personnages qu’on aimait pourtant dans acotar, puis on en adore d’autres une fois dans le second tome, et cette dernière règle n'échappe pas à Rhysand en particulier. Il est mystérieux, drôle et sympathie, mais surtout loin du connard arrogant qu’il était dans Acotar.
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Feyre noue avec chacun de ces personnages une relation unique et propre à chacun. On ne laisse personne de côté, et personne ne s’isole, de sorte à ce que l’on ait un groupe soudé face aux pires dangers.
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Beaucoup de mystères et de non-dits planent sur le récit tout au long du récit, et bien que les révélations de fin ont été enchaînées avec un peu de brusquerie, j’avais plus qu’envie de découvrir la suite des péripéties dans le tome suivant.
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J’ai encore un million de choses à dire sur acomaf, mais trop peu de temps devant moi pour un si long paragraphe à écrire et développer correctement - et surtout un peu la flemme. :D
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Pour résumer en trois simples mots la merveille lecture que fût Un palais de colère et de brume : LISEZ CE LIVRE. LISEZ LE.
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Ou commencez la saga, c’est encore mieux. :DD
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Ce livre est un vrai coup de cœur, un assez important, même !
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Dès le début, j’ai rapidement été immergée dans l’univers de l’Autriche, principalement grâce à sa plume qui se lit très facilement, et l’univers très intéressant - quoiqu’assez typique en prenant du recul - dans lequel le côté des immortels est mystérieux, prenant et intrigant.
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L’héroïne, Feyre, est juste à tomber par terre : dès les premières pages je l’ai appréciée, par son immense courage, dévouement et caractère. Et tout au long de ma lecture, j’ai vu sa personnalité prendre plus de profondeur et s’ouvrir à moi, la lectrice, pour constater que non, elle n’est pas invincible, non, elle ne fait pas partie de ces héroïnes multi tâches, et oui, elle reste humaine. Même si certains de ses choix ont été assez impulsifs et irréfléchis, j’ai plutôt trouvé que cela renforçait son état d’esprit de tête brûlée. Bref, je l’ai adorée. Un peu comme tous les personnages d’acotar: Lucien, Tamlin, Alis, Rhysand (oui, même lui, j’ai beaucoup apprécié son côté sassy et calculateur), Elain, Nesta (je les aime ces deux là <3)... je les ai tous adorés !
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La romance semble plutôt bien construite, et monte dans un crescendo de sentiments, d’un point de départ truffé de haine jusqu’à la passion la plus dévorante. Au final, même si je suis quelqu’un qui a parfois peu d'affinités avec la romance, j’ai trouvé Tamlin et Feyre plutôt mignons et attachants.
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Mais si l’histoire reste très bien racontée, l’univers dans lequel elle se déroule ne l’est pas tout autant : j’avais plutôt l’impression de rester majoritairement en surface, et que l’autrice s’attardait beaucoup trop uniquement sur les Fae, et non pas sur les autres races d’immortels de Prythian, bien qu’on ait eu droit à la découverte du bogge, de l’attor ou des nagas, mais qui sont plus des antagonistes que les participants du monde des immortels.
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Mais à part ça et autres détails négatifs assez superflus, j’ai beaucoup aimé ce premier tome qui me laisse encore le cœur battant et des étoiles dans les yeux. Tome 2, prépare toi à me recevoir !
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Quelle jolie découverte est The Curse ! J’ai vraiment beaucoup aimé cette lecture - que je recommande à tout le monde -, de par son univers intéressant, ses personnages à forts caractères et la plume de l’autrice haute en détails et figures de style, même si ça s’avérait être assez exagéré et gâchait la fluidité de l’écriture.
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Kestrel est un personnage intéressant, qui sort du lot des héroïnes qu’on pouvait rencontrer jusque là ; non pas qu’elle soit le genre de protagoniste féminin chiant à souhait et se disant BaDaSs parce qu’elle sait balancer deux ou trois répliques tirées d’un Wikihow « Comment clasher votre interlocuteur », mais c’est une manipulatrice, une stratège hors pair plutôt téméraire sur les bords, mais qui a un coup d’avance sur son entourage. Et même si je l’ai trouvée froide par moment, je n’ai pas pu m’empêcher de l’apprécier énormément ! C’en est de même avec Arin ; même si au début du roman il me saoulait avec ses sautes d’humeur excessives dignes de celles d’un gamin pré pubère, c’était plutôt vers la fin que j’avais commencé à l’apprécier.
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Mais bon, le gros point faible de ce roman reste surtout les temps morts qui m’ont assez ennuyée durant ma lecture. Je m’étais attendue à beaucoup d’actions, de coups de bluffs et de manipulations. Et c’est ce qui est arrivé, heureusement... vers la seconde moitié de récit, et encore on avait encore eu quelques temps morts avant d’entrer dans le vif du sujet.
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Mais malgré ces soucis assez récurrents dans The Curse, The Winner a été une excellente lecture pas loin du coup de coeur, et dont j’ai hâte de commencer le second tome, qui promet nombre de révélations et de rebondissements selon les dires de mon entourage sur Bookstagram !
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date : 16-03-2020
Bon, avant de commencer, on est tous et toutes d’accord pour dire que les livres de Cat Clarke sont beaucoup trop sous côtés ? Parce que déjà que j’en entends pas parler des masses sur Bookstagram ou carrément sur booknode, alors qu’en plus ils sont super bien écrits...
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Cat Clarke a ce truc. Bon, je sais, je répète ce genre de phrase dans chaque 56% de mes chroniques, mais Cat Clarke a ce truc. Elle a le don de rendre ses histoires vivantes, humaines. Aucun côté nunuche, aucun côté trop sombre, et un énorme côté réaliste. C’est à dire qu’aucun personnage n’est trop lisse, aucun sentiment n’est exagéré et tout est calculé pour faire craquer le lecteur - la frustration est l’arme favorite de cette chère autrice comme certains ont pu le constater.
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J’ai beaucoup aimé suivre les ressentis d’Alice après le meurtre de Tara. Certains disent que son personnage n’est pas assez approfondi, mais moi je trouve que justement, sa personnalité n’est pas assez mise en valeur à cause de sa torture mentale et ses hallucinations causées par les récents événements. Je suis plutôt attachée à elle, j’ai bien aimé le fait qu’elle reste humaine, qu’elle pense aux autres et pas uniquement à soi. Des fois j’avais très envie de la prendre dans mes bras juste pour la consoler, sa situation aurait pu normalement me faire détester Alice, mais elle s’en était tellement voulu que ça en était devenu touchant... par contre j’ai pas du tout aimé Cass, sa meilleure amie. C’est vraiment l’un des pires personnages du livre : peureuse, inconsciente, méchante, irresponsable... détestable du front jusqu’aux orteils. COMMENT Alice a pu sociabiliser avec un machin pareil au juste ?!
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Ensuite, même si une bonne partie du roman a été assez pauvre en péripéties, j’ai beaucoup aimé les révélations et développement de certains autres personnages - notamment celui de Danni et de Polly. Vraiment, je tiens encore à souligner ici l’effort considérable de l’autrice à ni noircir ni blanchir les personnages du roman. Je le dis et je le répète, mais je les trouve humains, et c’est ce qui fait qu’ils sont compliqués à cerner - un peu comme cette bonne vieille Polly, Tara, ou même Alice.
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Mais globalement, j’ai énormément aimé lire ce joli Cat Clark truffé de frustrations avec sa pas si jolie fin ouverte, et j’espère pouvoir me procurer très prochainement l’un de ses autres romans.
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In. Cro. Yable.
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Guys, c’est vraiment l’unique et seul mot qui puisse décrire dans son entièreté le troisième tome de la Passe miroir - spectaculaire étant réservé pour l’entièreté de la saga. Bien que j’ai une légère préférence pour le tome 2, j’ai suradoré le troisième volet de la série.
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Christelle Dabos nous livre ici un nouvel univers, une nouvelle arche d’un nouveau souffle à découvrir, explorer, plonger à l’intérieur. J’ai beaucoup aimé le fait qu’une certaine liberté d’expressions y soit restreinte, et de ce fait que l’on voie l’étendu du pouvoir de Dieu sur le monde. J’ai aimé l’originalité croissante de l’histoire, avec les esprits de famille Hélène et Pollux qui n’ont rien à voir avec Farouk, j’ai aimé à apprécier certains personnages comme en détester d’autres (koukou Medianna), et par dessus tout, j’ai aimé me plonger dans la plume de Christelle Dabos. Babel n’a rien a voir avec Le Pole, et Le Pôle n’a rien à voir avec Babel. L’autrice donnait une véritable âme à Babel, et si jamais elle nous emmenait dans d’autres arches, je suis persuadée qu’elle en ferait de même.
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La construction de l’histoire est bien menée, ça y a aucun doute. Par contre, à l’échelle de la saga, je reste un peu mitigée. C’est vraiment au tome 2 qu’on nous livre l’histoire principale avec les esprits de familles, Dieu et la déchirure. Et c’est perturbant. C’est perturbant par le fait qu’on se retrouve avec un tas d’informations qu’on comprend mais qui restent assez compliqué à tout assimiler. Comme si on arrivait à pas joindre les deux bouts. Et malheureusement, ce fut mon cas durant ma lecture de La mémoire de Babel ; je comprenais, mais tout était comme sans dessus dessous, et ça reste dommage étant donné que l’imagination de l’autrice est extrêmement vaste.
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Pour en revenir à l’histoire en elle même, j’ai beaucoup aimé rencontrer de nouveaux personnages, et essayer de cerner leurs caractères - et ça a été assez difficile avec Octavio et Elizabeth, ou encore le Sans Peur.
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Mais globalement, La mémoire de Babel a frôlé le coup de coeur, si ce n’en est déjà pas un. Hâte de commencer La tempête des échos !
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date : 13-03-2020
Lorsque j’ai découvert que toute la trilogie du joyau était disponible chez mon libraire, j’ai vrrrrraiment pas hésite à la prendre, et une semaine après, j’ai enfin pu installer La joyau sur mon étagère spéciale pile à lire. Bon, elle y restée pour une durée de plus de deux mois, mais une fois que je m’étais décidée à la commencer, j’ai vraiment pas regretter d’avoir lu cette histoire !
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Le truc, c’est que le Joyau a ce truc - quelle belle phrase j’ai écrit wow. Il a ce petit côté très malsain que j’affectionne tant le un peu celui qu’on retrouve dans une Braise sous la cendre, avec un dominé et un dominant (ici Violet et la duchesse du Lac), un bon cadre fantasy/fantastique avec une héroïne qui a rien demandé à personne, le tout doublé de violences et de rébellion. Génial, n’est-ce pas ?
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Bref, je m’égare. Pour commencer, j’ai plutôt bien aimé le personnage de Violet ; je l’ai trouvée très téméraire et tête brûlée, tellement que ça en devenait agaçant à force qu’elle choisisse des décisions qui puissent nuire à son entourage. Aussi, le fait qu’elle accorde tout de suite maintenant sa confiance à Lucien est incroyablement naïf de sa part, j’avais envie de la baffer à chaque fois qu’elle se lançait naïvement dans un sentier plutôt dangereux. Mais j’arrive pas à comprendre ce qu’elle peut bien trouver à Raven, sa meilleure amie ; leurs caractères sont presque complètement différents et Raven est juste insupportable avec son entourage, même si j’ai bien aimé sa relation avec elle vers les dernières pages, c’était plutôt adorable de voir le dévouement de Violet envers Raven.
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Pis Ash... Ash... déjà, je m’attendais à ce que vers les 50 premières pages on doit tout de suite plongée dans leurs histoire d’amour torturée, passionnée et interdite... qui n’arrivera pourtant SEULEMENT et UNIQUEMENT vers exactement la page 244. Euh. C’est. Quoi. Cette. Arnaque. Y’a clairement erreur sur la marchandise, surtout que leur ôôôô belle et grande histoire d’amour a juste l’air d’être brouillon et brusque. C’est décevant, j’ai envie de dire.
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Surtout que certains personnages comme ce bon vieux Ash sont beaucoup trop lisses. Mais mis à part ça, j’ai passé un très bon moment de lecture malgré ces erreurs. La fin est plutôt surprenante, j’espère pouvoir me procurer au plus vite le tome 2 suivant !
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Car si Le joyau reste quand même un roman avec des erreurs, il n’en demeure pas moins très prenant. J’ai beaucoup aimé l’univers présent tout au long du livre, ainsi que le système assez malsain des mères porteuses arrachées de leurs chez soi. Amy Ewing a su m’immerger rapidement dans son imagination, avec les soirées mondaines, les complots et son lot de surprises - quoiqu’elles restent peu nombreuses. Les personnages ont vraiment une personnalité propre, bien développée et plutôt attachante - sauf pour Ash. J’ai eu quand même du mal à cerner la duchesse, et j’ai plutôt bien apprécié cet effet là - ça m’a rappelée une Braise sous la cendre UwU.
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Bref, je recommande ce livre !
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date : 03-03-2020
Nil a ce truc. Vous voyez très bien de quoi je parle, on pense presque tous et toutes à la même chose quand on dit cette fameuse phrase.
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Parce que oulala, du début à la fin, j’ai vraiment été impressionnée par l’ambiance qu’a imposé Lynne Matson tout au long du récit : angoissante, mystérieuse, lourde, pesante...
On ne peut jamais déterminer qui parmi les personnages va mourir aujourd’hui ou demain. Si l’un va réussir ou non. Ou au contraire, échouer et mourir. Et c’est vraiment ce truc là qui démarque Nil des autres romans qu’on rencontre.
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Mais pour être honnête avec vous, je ne croyais pas vraiment aux premières pages que Nil aurait été un roman à frôler le coup de coeur. Bien que l’univers imaginé par l’auteur soit incroyablement bien pensé, d’un style qui rejoigne celui de Suzanne Collins avec Hunger Games, j’avais trouvé que la première moitié du roman avait été particulièrement... sirupeuse.
Beaucoup trop même, et je mâche pas mes mots. La romance entre Charley et Thad avait semblé assez exagérée sur les bords, brusque et amenée d’une manière assez praline. Les premières pages de Nil m’avaient enchantée, éblouie et je m’étais préparée avec l’idée de refermer ce livre avec un éventuel coup de coeur... hélas, la romance et le peu d’actions gâchent l’histoire selon moi.
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Mais en revanche... la seconde moitié de Nil a été géniale. J’avais vraiment tout ce que j’avais espéré retrouver dans tout le roman : morts crèvent-cœur, théories, angoisse, courses contre la mort, de l’action, des moments de joie, des moments de larmes... j’ai adoré ! Si tout le roman était basé sur la même construction que celle de seconde moitié, il n’ y a aucun doute que Nil aurait été un coup de coeur absolu.
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Reste à savoir si le tome 2 sera quant à lui un coup de coeur, on reprend l’histoire cette fois ci avec le point de vue de Rives... et bon sang qu’est-ce que j’ai hâte de me procurer ce deuxième volet !!
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Tout d’abord, je remercie les éditions Cyplog de leur envoie que j’ai fortement apprécié.
D’habitude, je ne suis pas vraiment fane des histoires reprises sous le point de vue d’un personnage autre que le héros du récit, mais Grover Beach tome 2 : Ryan Hunter a plutôt été un agréable moment de lecture.
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Encore une fois, Anna Katmore nous livre un roman dans un cadre adolescent sans prise de tête et rapide à lire, de part ses péripéties entraînantes et même addictives sur les bords, et ses personnages attachants possédant chacun une personnalité bien développée - quoique parfois stéréotypée.
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L’histoire met également en scène des situations amusantes, surprenantes et agréables à découvrir. J’ai bien aimé suivre le récit du pont de vue du très mystérieux Ryan Hunter, qui se dévoile être quelqu’un de possessif (un peu trop même) jaloux sur les bords, mais il n’en demeure pas moins adorable envers Lisa et son entourage. Le truc c’est que j’avais peur qu’il ne soit un de ces bad boys made in china, mais Ryan est vraiment tout le contraire de ce cliché ; il est serviable et attentionné, et même si j’avais quelque fois une très forte envie d’entrer dans l’histoire et lui donner une énorme gifle à cause de ses remarques disons... déplacées envers la gente féminine (sexiste est un assez grand mot, voyez vous), il reste quand même un personnage intéressant.
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De plus, le fait que l’autrice ajoute des passages qui n’étaient pas présents dans le premier tome est plutôt surprenant et ajoute du peps à l’histoire, et je salue Anna Katmore sur ce point là !
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Christelle Dabos a ce quelque chose. Non mais, ce quelque chose là, vous savez, celui qui laisse jamais le lecteur indifférent durant sa lecture.
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Parce que je viens tout juste d’achever ce second volet de la merveilleuse saga qu’est la Passe Miroir, et mise à part la fin qui m’a plus que confuse avec toutes les révélations qui viennent, tous les nouveaux personnages qui rentrent dans la danse (notez que c’est l’unique point négatif que j’ai relevé), eh bah, j’ai vraiment tout adoré, du début à la fin. Mais vraiment tout.
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On va se la faire rapide rapide ; les personnages ? Oh mon dieu, j’ai adoré Berenilde, que je trouve plus mature et beaucoup moins stupide. Roseline, Archibald (je t’aime Archibald), Farouk, Renard, Gaëlle, la mère Hildegarde, Ophélie, Thorn... qu’est-ce que je les ai aimés ! Surtout la relation entre Ophélie et Thorn, j’ai juste craqué devant ce ship.
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Les péripéties, j’ai aussi aimé. Beaucoup aimé. Énormément d’intrigues, de suspens concernant les disparitions au Clairdelune. Et le fait que l’étranger étrange (pas besoin d’explications, ceux qui ont lu le livre comprendront uwu) entre dans l’histoire avec son - énorme - grain de sel pour ajouter sa touche dans le roman et approfondir celui-ci, j’ai apprécié ! Même si comme je l’ai dit précédemment, j’ai quand même été un peu perdue concernant les révélations qui lui sont liées...
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Mais globalement, j’ai passé un très bon moment de lecture qui frôle le coup de coeur - ou même qui est un petit coup de coeur - que j’hésite à placer en catégorie diamant. Difficile de ne pas y succomber, mais je sais au fond que l’or est parfaitement la liste adéquate pour ce livre !
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Non mais, qu’est-ce que j’ai aimé ce sixième tome ! Y’a tellement de choses que j’ai envie de dire dessus, et juste avec la première phrase de cette critique, vous comprendrez qu’elles sont - presque - toutes mélioratives !
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Dès le début, on est projetés là où nous a laissés Shannon Messenger dans Projet Polaris, et j’avoue que ledit début est vraiment intéressant, explicatif et immersif dans les scènes. Et je tiens vraiment à souligner ce point étant donné que les premiers chapitres du précédent tome étaient juste imbuvables pour moi et chiants sur chiants à lire, et heureusement que l’autrice a amélioré ce point là - sinon une saga bien aimée aurait vite perdu sa place dans mon coeur de lectrice.
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Ensuite, même si on a affaires à quelques longueurs, l’histoire n’en reste pas moins interessante : j’ai adoré le fait que du début jusqu’à la fin on ait tout un tas de questions concernant les événements de l’histoire. Est-ce que les agissements de ce personnage sont-ils justifiés ? Pourquoi les Invisibles ont-ils fait ça ?
Et même si certains passages à venir semblent assez prévisibles, l’histoire n’en reste pas moins super !
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Puis les personnages ! J’ai particulièrement eu envie de câliner Sophie tout au long des 761 pages, du fait qu’elle avait déjà pris extrêmement chère du début jusqu’à la fin, ce qui m’a valu bien entendu un moment d’émotion plutôt - et agréablement - intense durant les dernières pages du roman. Keefe aussi, je l’ai encore plus aimé dans ce volet. Si dans les précédents je l’aimais bien mais sans plus, là j’ai carrément eu un coup de foudre pour lui, même si à certaines reprises son humour un peu lourdeau m’avait un peu agacé, mais globalement, j’ai juste suradoré le fait qu’il se montre de plus en plus attentionné envers Sophie durant sa période de tristesse, ce que j’ai trouvé a-do-rable.
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En revanche, j’ai quand même repéré plusieurs points négatifs dans ce tome, et parmi eux le peu de présence de la part de certains personnages. J’ai déjà trouvé que Fitz, Biana et Dex n’étaient pas vraiment vraiment présents dans l’histoire, tout comme Alden et Della, qu’on voit de moins en moins souvent à mesure qu’on avance dans les tomes. Ensuite, si j’ai trouvé l’histoire très bien racontée, j’ai quand même ressenti beaucoup de confusion quand j’ai fini par tourner la dernière page de l’histoire. Vous savez là, quand l’auteur empile les péripéties et révélations en un tas haut de 56 mètres, et que d’un coup vous n’arrivez pas à vous y retrouver dans cet empilement et comprendre correctement tout ça ? C’est ce qui m’est arrivé à la fin de Nocturna, et je trouve ça quand même bien dommage.
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Mais globalement, Nocturna a été une très très agréable lecture, un petit coup de coeur assez juvénile que j’hésite quand même à placer en catégorie or sur Booknode, étant donné que malgré le fait que j’adore GDCP, je trouve que la saga perd quelque chose à mesure que j’avance plus en profondeur dans l’histoire de tome en tome, et encore une fois je trouve ça extrêmement dommage. Peut être que c’est cette étincelle de curiosité qui était présente au début, mais qui a finit par disparaître maintenant que l’on connaît très bien l’univers ?
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Déception pour ma part...

Et c’est assez surprenant je dois dire, étant donné que c’est attribué à Cinder, le roman très célèbre de la grande Marissa Meyer, qui fait toujours un carton sur les réseaux sociaux.
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Pourtant, Cinder a vraiment tous les éléments d’un livre Young Adult que j’aime retrouver dans un roman : de la romance, un univers riche et développé, une héroïne sarcastique et des enjeux bien amenés. J’aurais du l’adorer, le chouchouter, le mettre en liste de diamant comme tout Booknode, mais bizarrement, le courant n’a pas bien passé entre moi et cette science fiction...
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Tout d’abord, je dois souligner en premier lieu que Cinder a été une lecture laborieuse ; si au début j’étais curieuse et excitée de découvrir l’histoire, mon enthousiasme est redescendu bien bas. J’avais l’impression de ne pas plonger suffisamment bien dans l’univers, de lire sans comprendre les lignes - que j’ai du bien entendu relire et relire, ce que je DÉTESTE faire -, et de ne pas avoir pu m’intéresser intégralement à Cinder, malgré son caractère sassy que j’aime pourtant bien retrouver chez les héroïnes YA. En plus de ça, je ne me suis pas intéressée tant que ça aux personnages ou à l’histoire, que j’ai trouvé à certains moments prévisibles et beaucoup trop détaillée. M’enfin, vous connaissez ce sentiment là, quand l’autrice dissimule quelques détails au début pour les remettre sur le tapis à la fin, et ainsi surprendre le lecteur ? Beh là, j’avais plus l’impression que l’autrice exagérait ÉNORMÉMENT avec ces détails ; elle les rappelait beaucoup trop de fois à des moments où il ne le fallait vraiment pas, histoire que lecteur ne découvre pas le gratin.

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En bref, Cinder est une petite déception pour moi que j’ai abandonné en cours de route. Mais bon, ce n’est pas pour autant que je l’abandonne, puisqu’il restera tranquillement sur mon étagère pour quelques années, histoire que je puisse faire avec une relecture et ne pas abandonner de vue les Chroniques Lunaires.
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Bon, je dois l’avouer, c’est vraiment réticente que j’ai commencé à lire les premières pages de Changement d’équipe ; je n’aimais pas spécialement les histoires qui se passent au lycée, surtout si c’est une histoire d’amour. Et contre toute attente, Grover Beach a été une jolie surprise, une bonne surprise, même.

Notre héroïne, Lisa Matthews, est tout le contraire de ce que je pensais découvrir en elle : réfléchie, mature et déterminée. J’ai bien aimé suivre ses aventures sentimentales à ses côtés au cours de l’histoire, même si toutefois j’aurais bien voulu que l’autrice ne reste pas en surface sur certains côtés de sa personnalité. Lisa est une jeune fille drôle, expansive et extravertie, et j’aurais aimé qu’on entre de façon plus antérieure dans ses pensées et sentiments. Mais globalement, Lisa n’est pas le personnage cliché que je m’attendais à retrouver (=vierge effarouchée avec un QI égal à celui d’un lave vaisselles), et c’est un bon point positif à souligner !

C’en est de même avec Ryan Hunter ; comme Lisa, je l’ai trouvé très mature, un ptit gentleman et pas un de ces badboys Wattpad à la made in china. Peut être qu’il est un poil cliché et parfait, mais je l’ai beaucoup apprécié, même si sa relation amicale avec Anthony aurait pu être mieux développée et plus mise en profondeur, étant donné qu’on la rztriuve assez en surface à certains passages de l’histoire où l’on devrait la voir.

Ensuite, je dois avouer que malgré ces côtés positifs de l’histoire, je dois avouer que certains personnages, principaux comme secondaires, restent clichés - exemple de Chloé, la bimbo blonde et méchante. On se concentre uniquement sur les trois personnages principaux - Lisa, Tony et Ryan -, alors que les secondaires sont quasi inexistants. Si on avait par exemples les amies filles de Lisa plus présente dans l’histoire, le roman aurait pu avoir un côté plus attachant, mais hélas, le récit est un poil trop court...

Mais globalement, j’ai beaucoup apprécié lire Grover Beach, et j’ai hâte de lire bientôt le second tome pendant les vacances, narré du pdv de Ryan !
Je recommande à tous ceux qui veulent passer un agréable moment sans prise de tête.
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Ashes falling for the sky fait parti des romans que l’on voit pratiquement partout sur les réseaux sociaux, et il n’en a fallu pas vraiment pour me convaincre de me lancer dans les aventures émotionnelles des très célèbres Sky et Ash.

Alors... contrairement à la majorité des gens qui ont lu ce livre, je n’ai pas eu un énorme coup de coeur pour les personnages comme la plupart des gens, ou encore une énorme crise de larmes me saisissant à la toute dernière page du roman. Enfin, ça ne veut pas dire que je n’ai pas su apprécier les protagonistes, la plume des deux auteurs ou les différents points sensibles abordés au cours du récit, bien au contraire. Je n’ai juste pas su apprécier l’histoire à la manière des autres.

J’ai l’impression de ne pas avoir pu suffisamment entrer dans l’ambiance du roman, et me mettre complètement dans la peau des personnages pour ressentir leurs émotions, et j’avoue que ça a plutôt un côté assez frustrant. Pourtant, l’histoire est plutôt surprenante et touchante à plusieurs reprises. J’ai vraiment ressenti un tourbillon d’émotions qui alternent entre la colère, la joie et la tristesse au cour de ma lecture. Je ne compte pas le nombre de citations poétiques et recherchées que j’ai dénichées dedans.

Sky est touchante à sa manière, et même si je l’ai trouvée un peu ridicule au début de l’histoire (voire même un peu vers la fin), j’aime beaucoup sa personnalité ensoleillée et le fait qu’elle se délaisse de son rôle de petite fille sage. Pareille pour Ash, j’ai adoré le fait qu’il soit mature et ne soit pas un de ces badboys made in china ; pas une seule fois je ne l’ai vu se ramollir comme du caramel et ressortir une déclaration d’amour niaise à souhait. Je l’ai trouvé aussi touchant que Sky l’est, et pour être honnête, j’ai préféré un ptit peu plus découvrir et suivre le point de vue du très mystérieux et inaccessible Ash Walker.

Pour finir, Affts n’a pas été un coup de coeur comme je l’espérais, mais plus une lecture très agréable à découvrir que je recommande à tout le monde. Hâte de lire le second et dernier tome !
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date : 05-02-2020
Caraval, c’est un peu le genre de livre qu’on voit circuler partout sur toutes les plateformes : Instagram, Booknode, Babelio... et dans certains cas, soit on aime, soit on déteste.

Mon cas a été bien sûr le premier, sinon je ne l’aurais pas classé en catégorie diamant, ou vanté ses qualités sur mes storys Instagram. Parce que le truc avec Caraval, c’est que même après avoir que tu aies tourné la dernière page du livre, ton subconscient est toujours en compagnie de Scarlett et Julian dans l’univers étoile du jeu de Caraval.

J’ai été éblouie par l’univers que nous a façonné Stéphanie dans cette fantasy. Mystérieux, intense, surprenant, sensuel... tout ce que j’aime dans un monde imaginaire. Tout est riche en couleur et en descriptions, à tel point que par moment, on a juste envie de sauter dans l’univers pour voir de nos propres yeux les charmes et beautés de Caraval.


Puis il y’a Scarlett. La Scarlett trop effrayée de prendre des initiatives pour ne pas se faire punir par un père tyrannique et malveillant, mais la Scarlett prête à tout pour protéger sa petite sœur Tella. J’ai trouvé leur relation vraiment attachante, bien décrite, et à de nombreux moments j’ai même eu le coeur serré devant leur dévotion que ressent chacune pour l’autre. On a une jolie évolution psychologique qui fait bien plaisir chez Scarlett ; d’une fille craintive elle devient courageuse et plus dévouée que jamais.

Du côté de Julian, j’avais un peu de mal avec ce personnage. Je n’ai pas ressentis un réel attachement envers lui, et sa relation avec Scarlett ne m’a fait ni chaud ni froid. En fait, son personnage en général ne m’a pas plus marquée que ça - sauf peut être vers la fin. M’enfin, je m’explique : oui, il est beau et musclé, oui, il est gentil, oui, il est drôle, mais non, je n’arrive pas à trouver son caractère originale, du fait que c’est le genre de personnage qu’on retrouve dans presque TOUS les YA, et ça a vraiment un côté embêtant, puisque j’ai l’impression que si je n’avais pas chipoté dessus, j’aurais pu davantage l’apprécier lui et sa relation avec Scarlett.

En revenant sur Scarlett et les zones d’ombres de son personnage - ou même de toute l’histoire en général -, j’ai trouvé celle ci un peut trop indécise par moment, pas assez précise et sûre d’elle pour faire ses choix.

Ensuite, je trouvais que le style de l’autrice était assez froid. M’enfin, je suis plus quelqu’un qui préfère une narration interne qu’une omnisciente, mais dès fois je trouvais que si l’histoire se déroulait du point de vue en « je » de Scarlett, j’aurais peut être pu rentrer encore plus dans l’histoire et mieux l’apprécier.

Mais globalement, Caraval est un petit - gros - coup de coeur, bien sûr truffé de quelques soucis (à certains moments je ne savais pas où l’autrice voulait en venir dans certaines péripéties, et certaines de ses idées sont assez floues, pas assez bien expliquées), et je compte bien sûr me procurer le second tome que j’ai très très hâte de commencer !

Pétition pour une traduction du tome 3 en français :
https://www.mesopinions.com/petition/autres/traduction-publication-francais-dernier-tome-saga/79069
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En tournant la première page de Nos âmes tourmentées, je savais inconsciemment que ce livre allait être un petit coup de coeur, le genre de bouquin qui nous faisait passer en quelques minutes des rires aux larmes, et des larmes aux rires. Et ça a heureusement été le cas, Bookstagram n’a pas menti sur la qualité de ce livre là !

Pour commencer, j’ai tout d’abord envie de préciser que la « New Adult » n’a JAMAIS été mon genre de prédilection - j’ai eu une mauvaise expérience avec After, pour ce que ce soit plus clair. Tout ce qui est sucré, praline, chocolat blanc et nunuche, c’est définitivement pas pour moi, le genre de chose que je ne toucherais même pas avec un bâton tellement j’en suis allergique. Pourtant, Nos âmes tourmentées faisait parti des derniers arrivages de ma librairie chouchoute, et en passant à côté, j’ai étonnamment eu l’impulsion soudaine de vouloir tenter le pas dans ce vaste monde qu’est la New Romance, et quelques heures plus tard je commençais sous mon plaid cette grosse brique. Et en fin de compte... j’ai adoré. Vraiment. J’ai. A.Do.Ré.
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Du début à la fin, j’ai pris un immense plaisir à suivre Azalée et toute la bande à travers son parcours émotionnel. Elle a tout du personnage féminin que j’aime retrouver dans un livre en général : fort, intelligent, drôle et charmeur. Il y’a une réelle évolution psychologique en elle, un caractère fort qui ne se laisse jamais marcher dessus. Et putain qu’est-ce que ça fait du bien d’avoir un personnage aussi bien développé, ça commence à devenir rare dans certains romans.
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Ensuite, pour en revenir à l’histoire en général, j’ai envie de dire que je ne pensais pas autant m’attacher au cadre et à l’ambiance de Charleston. J’ai l’impression que l’univers s’est faufilé discrètement vers mon coeur pour prendre une place considérable quand je m’y attende. Faith, Chestnut, Andrew, Josh, Alyssa, Alec, les moments de rires, de larmes, Charleston... ça va me manquer, ça.

Et la plume de l’autrice ? Mon dieu, qu’est-ce qu’elle est parfaite pour ce type de récit ; percutante, fraîche, vivante, sensuelle, féministe. Ça a été en partie à cause de ça que j’ai eu tout au long de ma lecture un mal fou à lâcher pour un moment ce bouquin, si on ajoute en plus de ça les péripéties prenantes dans lesquelles on est plongé, et les moments plus que touchants qui m’ont particulièrement émue jusqu’aux larmes et que je ne suis pas prête d’oublier.

En conclusion, je dirais que Nos âmes tourmentées a été une très belle lecture et découverte pour moi, bien sûr pas facile dès fois, du fait que certains sujets abordés sont assez sensibles et délicats - mais terriblement bien introduits et développés -. Si jamais vous hésitez à vous lancer dessus, foncez, vous ne le regretterez pas !
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La première fois que j’ai lu et terminé le premier tome de Gardiens des cités perdues, je savais que cette série allait finir par gagner une place dans mon coeur de lectrice. Puis j’ai lu Exil, le second volet de la saga, puis j’ai enchaîné avec Everblaze, Les Invisibles, puis enfin Projet Polaris.
Chacun d’eux est unique, touchant à sa manière, incroyable. Shannon Messenger ne s’épuise jamais, n’a jamais connu un seul fléchissement dans l’écriture de Gardiens des cités perdues.

C’est ce que je me suis toujours et encore répétée à chaque fois que je lisais un des tomes, jusqu’à ce que je lise Projet Polaris. Ça m’a surprise, je dois dire, autant qu’en bien qu’en mal.

Vers les 135 premières pages, j’avais l’impression que je me forçais à les lire, un peu à la manière des haricots dégueulasses que la surveillante m’obligeait à manger en maternelle. Pourtant, beaucoup d’événements importants s’étaient produits, assez pour captiver mon attention en soit. Mais je l’ai pas apprécié. Vraiment pas. J’avais l’impression que l’autrice s’éparpillait dans ses explications et n’arrivait pas à nous faire comprendre correctement ce qu’elle voulait... nous faire comprendre (j’ai pas trouvé comment mieux expliquer ça jpp), surtout que ça se confond avec certaines longueurs du récit - parfois excessives et qui m’ont donné envie de sauter des pages. Gros et unique bémol de ce roman, en fin de compte.

Parce que finalement, j’ai sur-adoré suivre les aventures et questionnements de Sophie, bien que ce livre soit un peu plus tranquille et calme que les précédents. Beaucoup de suspens et de mystère, personne ne sait vraiment à qui faire réellement confiance, et l’écriture quasi nickel de l’autrice est incroyablement fluide et agréable à lire.

Keefe m’a énormément manqué, j’avais l’impression que le même grain de folie qu’on retrouve dans les 4 premiers livres n’était plus présent dans celui ci.

Et cette fin ? CETTE FIN ?!?! J’ai lâché des tonnes et des tonnes de larmes, je me l’étais déjà spoilée accidentellement, mais je ne savais pas que ça allait me toucher autant !! T^T

Mais pour conclure, Projet Polaris reste un très très très bon tome, même si ce n’est pas celui que je préfère le plus.

6 ème tome, me voilà !
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