Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
713 811
Membres
1 008 320

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

Graves sortit précipitament de son sac de couchage et sauta sur ses pieds. À un moment ou à un autre durant la nuit, il avait dû descendre au rez-de-chaussée, car il était couché par terre près de la causeuse ou je dormais. Mon coeur battit à tout rompre

Afficher en entier

Chapitre 38

Cependant, certaines choses ne se réparent pas. Certaines choses se cassent et parfois, elles restent dans cet

état.

Vous n'avez plus qu'à

recoller les morceaux en espérant que ça tiendra.

Afficher en entier

CHAPITRE 21 page 249

Trouver la Schola de Houston n'était pas difficile. Il me suffisait de m'arrêter avant d'entrer dans la ville pour acheter un plan, un sac de bonbons à la menthe, des arachides et du fil dentaire. J'ai ensuite rapidement fabriqué un pendule de fortune avec un bonbon à la menthe emballé et le fil dentaire en mangeant les arachides et en buvant du chocolat chaud. Le pendule m'indiqua l'emplacement — dans la partie nord de la ville, un terrain dans un quartier chic, si j'en croyais l'oscillation dans les doigts de ma main droite. C'était assez restreint comme location, et j'étais sûre de pouvoir la trouver à partir de ce point.

C'est exactement ce qui se produisit. Mais ce fut une autre affaire de s'en approcher suffisamment près et de suivre les sirènes pendant qu'une colonne de fumée noire s'élevait. Il y avait des embouteillages partout, et la circulation se faisait à pas de tortue, ce qui me permit de bien observer.

La bonne nouvelle était que la Schola de Houston était encore là en quelque sorte.

Afficher en entier

CHAPITRE 16 page 198

Moins de dix minutes plus tard, nos affaires étaient emballées et le téléphone sonna de nouveau. Christophe souleva le combiné avant la fin de la première sonnerie et le porta à son oreille. Son visage resta impassible.

Recroquevillé près de la fenêtre, Graves était toujours inconscient. Ash se balançait légèrement d'avant en arrière en l'observant.

Christophe reposa doucement le combiné.

— Ils vont l'amener.

Nous devons y aller.

— Je ne pars pas sans... commençai-je, mais il me bouscula en passant près de moi et fut soudain devant la porte. Les verrous claquèrent, et elle s'ouvrit, et une paire familière d'yeux bleus semblables à ceux d'un chat nous regarda par-dessus son

épaule.

Nathalie marqua un temps d'arrêt et se précipita à l'intérieur de la pièce. Ses longs cheveux raides foncés tombaient sur ses épaules, ses yeux bleus étaient parsemés des paillettes brillantes jaunes des loups-garous, et je me raidis prête à recevoir sa colère, ou pire — sa déception.

Afficher en entier

CHAPITRE 14 page 174

L'air conditionné était silencieux, et la pièce était une véritable glacière. Ça n'avait pas d'importance. Propre et sèche, je me blottis sous l'édredon, les draps blancs formant un nuage autour de moi, l'oreiller bien moelleux et les genoux pliés vers le haut.

C'était vraiment confortable.

Graves était affalé

dans un fauteuil près de la fenêtre, les jambes détendues et la tête tirée si loin en arrière qu'on aurait dit qu'elle allait tomber. Un éclat vert vacillait de temps en temps entre ses paupières. Ash était recroquevillé sur le sol, sous un édredon provenant de l'autre lit, dans le coin le plus éloigné de la porte.

Christophe était assis en tailleur sur le sol au pied du lit situé le plus près de la porte, le dos bien droit et la tête baissée comme s'il était plongé dans une méditation profonde. Le fusil gisait devant lui, son baril bleui brillant légèrement dans l'obscurité. Ses malaika étaient posées de chaque côté de lui. Il aurait dû paraître ridicule.

Mais ce n'était pas le cas.

Afficher en entier

CHAPITRE 13 page 161

Lorsque je revins des toilettes, la table avait été débarrassée, un nouveau verre de Coke diète m'attendait et Christophe étudiait un autre menu avec une expression sérieuse et critique. Il ne leva pas les yeux lorsque je pris place sur ma chaise en priant Dieu pour ne pas avoir contrevenu aux bonnes manières. Dans les toilettes en marbre luisant comme un lac, il y avait même des bonbons à la menthe dans un emballage brillant présentés dans un bol en verre.

Nous avions parlé

longuement des prochains jours de voyage et des dispositions à prendre. Si je pensais à ça — aux prochaines étapes —, tout le reste semblait réalisable.

Surtout depuis que Christophe se comportait comme papa. Il me posait des questions sans me faire paraître stupide, prenait des décisions assez

équitables, mais définitives et il écoutait mes objections et mes suggestions.

Il n'y avait pas beaucoup de méchanceté dans les deux. Grand-mère aurait apprécié ça chez Christophe.

Cette pensée provoqua un pincement sous mon sternum.

Afficher en entier

CHAPITRE 11 pages 138

C'était une autre Subaru, mais bleue, et d'un modèle plus récent que celle que nous avions volée. Vitres électriques, fermeture des portes centralisée, beaucoup d'espace de chargement, et une odeur subtile de vanille diffusée par l'assainisseur qui pendait au rétroviseur. L'aube était grise dans l'est, le monde entier se levait, et nous allions connaître une autre journée de chaleur caniculaire. Vous pouviez le dire rien qu'à la façon dont vos vêtements collaient sur vous dès que vous mettiez le pied dehors.

Je ne savais pas si

Christophe avait dormi. Je m'étais recroquevillée dans le lit situé le plus loin de la porte et j'avais sombré dans une obscurité si profonde que je n'avais pas la sensation d'avoir rêvé. Quand j'avais fermé les yeux, Christophe était debout et regardait par la fenêtre. Quand je les avais ouverts, il était assis

à la table et écrivait sur le bloc au format légal. Une grosse montre argentée brillait à son poignet, et la fenêtre était éclairée par les premiers rayons du soleil. Il avait levé les yeux et vu que j'étais éveillée.

Afficher en entier

Chapitre 8 page 106

Il ne semblait pas avoir plus de seize ans. Aucun d'entre eux ne semblait être plus âgé, mais la façon dont les traits pleins de méchanceté de leurs visages se tordaient ne permettait pas de leur donner un âge. Leurs yeux étaient noirs d'une paupière à

l'autre, et leurs froides auras chasseresses heurtèrent le mur de chaleur qu'était mon aspect. Des filets de vapeur explosèrent alors que je bondissais, et les malaika tourbillonnèrent en émettant un sifflement qui couvrit le craquement du tonnerre. J'atterris en faisant gicler des éclaboussures de boue sous mes chaussures de sport et en dérapant, mais sans mal, sur les genoux, et traçai un long sillon dans le champ alors que je glissais, basculant en arrière sous les coups de griffe tandis qu'ils essayaient de transpercer la carapace de toxicité et de déchirer ma gorge. Du sang de vampire se répandit et libéra des fumées acides lorsqu'il rencontra l'air froid et humide. La vapeur se transforma en silhouettes aux dents acérées, et je me remis sur mes pieds en faisant un bond en avant. De la boue gicla, et l'herbe vola lorsque je me tordis sur le côté, mon pied se libérant brusquement et allant frapper un autre vampire avec un grand craquement.

Afficher en entier

Chapitre 8 page 103

Idiote. Garde le soumis avec toi, il peut servir de chair à canon.

Mais si tu veux vraiment qu'il obéisse, fais ceci.

Afficher en entier

Traverse la chaussée, pas à pas, en te penchant. Attrape-le, soulève son bras pour bloquer l'articulation afin qu'il ne puisse pas se débattre, et bascule sa tête en arrière. Il y aura une belle gorge, avec une belle veine jugulaire proéminente. Enfonce tes crocs. Et au moment où son cœur s'arrêtera, tu sauras qu'il ne verra plus jamais une jeune fille déambuler dans les allées du supermarché. Il est à toi. Ta puissance. Le sang coulera dans ta gorge et il sera doux et fumeux, et...

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode