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Ce n'est pas mon préféré d'Amélie Nothomb, mais ça reste une bonne lecture! J'aime beaucoup l'humour avec lequel elle raconte des évènements parfois tragiques, y compris pour parler de l'environnement de travail japonais, particulièrement rude pour les femmes.

Une lecture que j’ai trouvé originale et sympathique sans être révolutionnaire. La plume est très entraînante, pertinente, et c’est ce qui m’a incitée à poursuivre ma lecture jusqu’au bout.

J’avoue avoir beaucoup apprécié la façon dont était décrit la psychologie d’Amélie, son caractère et ses interactions avec tous les employés ou employeurs de l’entreprise. Ils étaient tous reconnaissables grâce à un trait de caractère, une manière de parler, de se tenir ou de marcher… L’autrice a su les rendre réels.

Là où ça a un prêché un peu plus de mon côté, c’est sur les allusions voire propos grossophobes sur Monsieur Omochi à chacune de ses apparitions. J’ai trouvé facile de toujours partir de son obésité pour cracher sur son comportement certes répugnant, mais qui n’a aucun lien avec son poids que la narratrice aime critiquer à longueur de pages.

Autrement, le livre se lit très vit et est très intéressant sur la culture japonaise et surtout la façon d’être perçue par une Belge. J’ai passé un moment agréable.

En jetant un œil aux bibliothèques de ma maman, je suis tombée sur cet unique livre d'Amélie Nothomb. On me l'avait conseillé et je voulais donner une deuxième chance à l'auteure alors, pourquoi pas ? Je n'ai absolument pas regretté !😍

D'un point de vue interne, l'auteure raconte son stage dans une entreprise japonaise, Yumimoto, où elle y sera pendant un an. Elle est l'une des rares femmes employées dans la société et, malheureusement pour elle, ça ne se passera pas comme elle l'aurait souhaité... 😬

J'ai appréhendé cette lecture. J'avais lu son premier titre Hygiène de l'assassin qui m'avait laissée perplexe mais Stupeur et tremblements m'a carrément happée dès les premières pages. De sa plume fluide et captivante, l'auteure raconte ses déconvenues dans cette firme japonaise, ses déceptions et pourtant avec une touche d'humour qui m'a absolument convaincue. Elle met le doigt sur la culture et la bienséance japonaises et pour moi qui ai beaucoup d'admiration pour le pays du Soleil-Levant, j'ai trouvé ça triste et scandaleux. Mais que pouvons-nous dire, nous, pauvres Occidentaux ?🥺

J'ai ressenti de la peine et une grande compassion pour Amélie-San qui a été sans cesse rabaissée, et trahie par sa supérieure qu'elle estimait. Bien que l'auteure décrive Mademoiselle Mori (sa supérieure) d'une beauté inégalable, je n'ai pas pu m'empêcher de la haïr. J'avais pensé que la solidarité féminine l'emporterait et mon expérience personnelle me confirme pourtant que non. Mais la force de la jeune femme est là : elle ne se plaint jamais et se plie à toutes les lubies sadiques de sa supérieure. Elle encaisse et néanmoins sait répliquer quand elle le juge nécessaire. J'ai été époustouflée 😲

Par ailleurs, l'auteure a su insuffler dans ces moins de 200 pages un suspense que je ne m'attendais pas à trouver et qui m'a tenue en haleine. J'ai été incapable de lâcher cette lecture. Je voulais savoir quels autres écueils Amélie-San allait rencontrer et surmonter et, naïvement, j'ai espéré qu'on lui présenterait des excuses pour tous les torts qu'elle avait subis 🙄

Le seul point négatif que je soulèverai, c'est la grossophobie que j'ai décelée lorsqu'elle parlait de Monsieur Omochi, le vice-président de la société. Alors, certes, je sais que j'y suis plus sensible que certains, mais conjuguer « obèse » avec « Diable » et le faire passer pour une personne infecte, m'a fait hérisser les poils. Peut-être ce Monsieur existe-t-il vraiment et qu'il était vraiment infect, c'est la description qu'en a fait l'auteure qui m'a gênée 😫

Heureusement, ça n'a pas gâché ma lecture.

En conclusion, je ne regrette pas d'avoir laissé une 2e chance à la célèbre Amélie Nothomb et je compte bien poursuivre ma découverte 🥰

Vraiment excellent ! Une formidable biographie sur une partie de la vie de mon autrice préférée. Quel plaisir de lire et relire ce livre, tantôt drôle que méchant !

Je l'ai dévoré en quelques heures. Une fois ouvert, impossible pour moi de le lâcher ! C'était mon premier Amélie Nothomb (je voulais en lire un parce qu'elle a lu le mien hihi). Eh bien je peux vous dire que je n'ai pas été déçue ! Ce récit est très intéressant, écrit avec une belle plume travaillée et des mots recherchés. J'ai vraiment adoré découvrir l'univers d'Amélie-San ( même si j'ai trouvé sa "fascination" pour Fubuki un peu étrange).

Ce fut pour moi une lecture très agréable et rapide.

L humour l emporte dans ce livre court, que j ai lu d une seule traite !

Pas le temps de s ennuyer ni de trop réflechir...!!

Heureusement que ce livre est court... Je n'ai vraiment pas été transcendé par cette lecture... J'ai passé mon temps à râler dans ma tête contre tout ce qui se passe, contre tout les personnages, Amélie y compris, qui ne réagit pas et se laisse faire... Mais après tout ce qui est expliqué quant aux mœurs du Japon, on peut comprendre, un peu...

Heureusement, Amélie Nothomb nous raconte cela avec pas mal de pointes d'humour, ce qui à rendu cette lecture plus supportable.

Complexité de la vie sociale japonaise et du monde des entreprises nippones.

Une galère que l'auteure affronte avec beaucoup de tenacité et de courage! Une histoire surprenante et enrichissante.

Heureusement c'est un Nothomb donc c'est plutôt bref. Si ç avait été un 500 pages je ne l'aurais pas fini. Alors certes un pan de la société et du monde du travail japonais est dépeint et cela revêt un certain intérêt, certes il y à des passages drôles quand elle est dame pipi, mais c'est plat, c'est plat... Ça ne décolle pas, j'ai même décroché 2 ou 3 fois. Pas le meilleur Nothomb.

Un tableau terrifiant de la culture d'entreprise au Japon. Ce récit autobiographique est écrit avec beaucoup d'humour et d'autodérision.