Subaru, danse vers les étoiles, tome 8

Résumé

« Se lever le matin sans savoir ce qu’on va danser dans l’après midi … Ce doit vraiment être amusant ! »

Priscilla surprend, Priscilla déconcerte. La grande star de la danse, dès les premières pages, semble penser de la même manière que Subaru, avec la même légèreté et une soif d’amusement et d’originalité tout aussi forte. Elle se reconnait dans la force de Subaru, son comportement dynamique et si singulier. D’ailleurs, la personnalité de Priscilla semble tout autant décalée que celle de Subaru : sa capacité à basculer de la plus grande subtilité, d'une intelligence hors du commun pour tomber dans une naïveté sans égal est tout bonnement stupéfiante. Serait-ce le propre du génie que de vivre dans un monde en complète discordance, un univers qu’il faudrait totalement repenser pour qu’il soit enfin en adéquation avec l’esprit des deux danseuses ? Pendant que l’on s’interroge longuement sur la personnalité très floue de Priscilla, alors que l’on arrivait déjà pas à s’habituer à celle de Subaru, voilà que le manga vient combler nos attentes. En effet, on voulait plus de difficultés, un challenge pour la reine de la scène, qui elle-même commençait à adopter un air blasé face à son talent, comme si plus rien ne la stimulait. Et là, Priscilla arrive à pic : ni tiré par les cheveux, ni trop facile, cet aspect de la narration apporte un véritable souffle d’air frais sur la série. Quelque chose de nouveau commence pour Subaru …