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Mon téléphone vibra à nouveau. L’attrapant pour retarder mes exercices obligatoires, je souris en voyant les appels manqués de Neelan. Et de Safina. Ainsi que les messages de six autres de mes problèmes à crocs.

-Tu viendras, que tu le veuilles ou non.

-Kyros serait vraiment content que tu sois là. :) :)

-Il y a quelque chose dans sa maison que tu devrais voir avant que je donne l’info aux paparazzi.

-Plus tu diras non, pire ce sera.

-Ne viens pas.

Le meilleur message était celui de Deirdre :

- Est-ce que tu refuses en permanence parce que tu as besoin d’attention ?

— Je crois que je tombe amoureuse d’elle, annonçai-je à la pièce.

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— Pourquoi est-ce que les hommes portent des hauts qui montrent leurs tétons ? Je ne comprends vraiment pas. Vous pensez que les femmes apprécient le spectacle ? Parce que ce n’est pas le cas. Personne ne paierait pour voir ça. Je veux dire, montrez-nous un peu de dorsaux et de pecs, pourquoi pas, mais laissez vos tétons en dehors de ça, à moins que vous ayez entièrement retiré votre T-shirt ou que vous soyez capables de donner le sein.

Neelan me lança un regard noir.

— Est-ce que ma critique de tes goûts vestimentaires a heurté tes petits sentiments ? lançai-je.

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Le débardeur de sport de Neelan me heurta en pleine face. Je le récupérai puis le reniflai.

— Beurk, tu as fait du sport dans ce truc ?

— C’est mon musc naturel.

— Répugnant, marmonnai-je.

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Gerome entra dans la pièce.

— Basil !

Je lançai un regard noir au vampire qui gérait l’industrie du divertissement pour les Sundulus. C’était lui qui avait appelé Kyros et m’avait embarquée dans cette histoire, même si c’était la grande bouche de Neelan qui avait réellement causé tout ça.

— Ne m’appelle pas comme ça, dis-je froidement alors qu’il me soulevait pour me serrer contre lui. Il me reposa, puis commença à me traîner dans le manoir qui rivalisait en taille avec ma propre maison.

— N’importe quoi. Je t’appelle Basil, et tu peux m’appeler…

— Germe, l’interrompis-je.

— Je pensais plus à quelque chose du genre « Rome ». Libérant ma main, je balayai les alentours du regard à la recherche de Francesca, en vain. On était dans une grande cour intérieure ouverte. De larges escaliers montaient vers un point invisible depuis ma position.

— Eh, Germe, je peux t’emprunter ton T-shirt ?

— J’aime pas ce surnom.

— Pourtant ça te va si bien, protestai-je la main tendue, attendant son T-shirt. Et pourquoi pas Prince Germe ?

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— Merci, murmurai-je.

Gina hocha la tête. Je souris gentiment.

— Maintenant, dégage, ordonnai-je. Je n’aime pas être réveillée au milieu de la nuit.

Elle se remit rapidement de son choc et rigola doucement.

— Je pourrais vous apprécier, déclara-t-elle.

— Également, répondis-je avant d’y réfléchir. Dommage qu’on ne soit pas du même côté.

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— Allez les confronter en face à face, avec vingt d’entre nous en renfort.

Et merde.

— J’espérais vraiment que tu ne me dirais pas ça, soufflai-je.

Je baissai les yeux vers mon ensemble de nuit violet en dentelle et soie assorti de sa robe de chambre.

— Voulez-vous vous changer ? proposa Laurel.

Je soupirai.

— Rien ne crie plus « J’en ai rien à faire de votre menace » que de se montrer en pyjama.

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J’empruntai l’explication d’Angelica :

— Une souris penserait qu’on est magiques en nous regardant.

— Une souris ? répéta-t-elle, dubitative.

— Une souris, insistai-je en hochant la tête.

— C’est carrément pas toi qui as pensé à ça.

Un rire remonta dans ma gorge.

— Je suis tellement contente que tu sois là, Tom.

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Il reprit une gorgée, savourant sa boisson comme je savourais un mojito à la fraise.

J’aurais bien eu besoin d’un mojito à la fraise pour supporter tout ça. Ou cinq.

— Tu as soif ? s’enquit Kyros, un éclat dans le regard. De quoi ?

— Pas ton sang, déjà.

Un grondement emplit l’air entre nous.

— Ce n’était pas une insulte, homme à crocs, soupirai-je. Je vais juste aller me chercher de l’eau…

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Je repoussai mes longues oreilles de lapin en arrière. Rory apparut à côté de moi et remit la capuche en place sur ma tête.

— Quitte à porter ça, autant y aller jusqu’au bout, déclara-t-il. En plus la capuche cache tes cheveux.

— Mes cheveux ressemblent à ça parce que je viens de me réveiller, répliquai-je en le repoussant avec un regard noir.

— Si tu le dis.

Je plissai les yeux en direction de ses cheveux et lançai : — Au moins je n’ai pas encore de cheveux blancs, le vieux.

Il prit une profonde inspiration et s’éloigna en sortant son téléphone pour utiliser l’appareil photo comme miroir. Madame Tailleur pouffa et je lui lançai un regard narquois. Rory était superficiel avec un S majuscule.

— Est-ce que la combinaison a une queue ? ricana Neelan.

— Je ne suis pas montée pour être interrogée sur ma grenouillère, rétorquai-je en tapant du pied. Il fait froid dans ma chambre et cette tenue me tient chaud.

— Oh, elle tape du pied, comme Panpan dans Bambi.

— Tu as regardé Bambi ? lançai-je à Gerome en me tournant vers lui. Il referma la bouche aussitôt.

— Pourquoi elle a le droit de taper du pied, alors que, moi, je me fais engueuler quand je le fais ? se plaignit Francesca après avoir croisé les bras.

Parce que tu es une sale gosse.

Je posai mes mains sur mes genoux et lui souris comme à un enfant de trois ans.

— Je n’aurais pas dû faire ça. C’est une très mauvaise habitude, déclarai-je.

Francesca feula en sautant sur ses pieds.

— C’est gênant que tu décides de porter ça, intervint Deirdre depuis sa place, les mains croisées derrière la tête. Tu es une femme adulte, mais tu ressembles à une enfant.

— Merci pour ton intervention, Deirdre, répondis-je avec un faux sourire. Elle hocha majestueusement la tête.

— Elle a bel et bien une queue, annonça Neela, qui était apparemment passée derrière moi. Une petite queue poilue. Une main tira l’arrière de ma combinaison.

— Lâche-moi ! m’exclamai-je en me décalant. Il me suivit et on tourna en rond jusqu’à ce que j’aie le bon sens de me tenir immobile.

Il n’y avait que quelques personnes saines d’esprit dans cette pièce et, gardant mon calme, je m’adressai à l’une d’entre elles :

— Pourquoi m’a-t-on fait venir, Angelica ?

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Réveillée en sursaut, je roulai dans le lit et cherchai la chose hurlante à tâtons. Je l’attrapai, les yeux fermés.

— Mademoiselle Tetley ? demanda une voix.

La sonnerie stridente qui m’avait réveillée avait disparu. Magie.

— Cape d’invisibilité. Un petit rire me répondit.

— Je vous laisse un moment pour vous réveiller, dit la voix.

— Économies de soleil, déclarai-je en me frottant les yeux.

D’autres rires. Des gens écoutaient. Une minute. Bordel. J’étais dans mon lit, mon téléphone – que j’avais judicieusement appelé la Bête – à la main. Comment… ? Clignant des yeux, j’observai mon portable avant de le porter à mon oreille. À qui étais-je en train de parler ?

— Angelica ?

— Oui, mademoiselle Tetley. Désolée de vous appeler si tôt. Quelle heure était-il d’ailleurs ? Je plissai les yeux en direction de la violente lumière bleue émise par mon réveil.

— Bordel Angie. Il est deux heures du matin !

— Je me suis excusée. Je retombai sur le dos, rebondissant sur le matelas.

— Vos excuses étaient suffisantes pour un appel à sept heures du matin, grognai-je. Il va me falloir plus que ça, à cette heure.

Putain de vampires.

— Comme quoi ? demanda-t-elle.

— Faites preuve de créativité. Vous devriez en être capable. En tout cas elle l’était quand elle jouait l’entremetteuse.

— Hmm… Je garderai ça en tête, fit-elle. Pourriez-vous venir au niveau soixante-six ?

— Les humains dorment la nuit, grognai-je.

— Un jour vous m’avez dit que vous étiez un oiseau de nuit.

— Votre ouïe sélective est incroyable.

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