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1783. Après avoir pris part à la Guerre d’Indépendance, le jeune et fougueux Ross Poldark quitte l’armée britannique et l’Amérique pour retrouver les siens.C’est un homme blessé qui rejoint ses falaises de Cornouailles. Là, il trouve le domaine familial en déshérence : son père vient de mourir et Elizabeth, sa fiancée, a rompu sa promesse pour en épouser un autre…Se repliant sur lui-même, il décide de relancer le domaine. Agriculture, élevage, prospection minière, il se bat sur tous les fronts. Et se lie même avec ses fermiers et ouvriers – quitte à se brouiller avec ses proches et l’aristocratie locale.Un jour, lors d’une foire aux bestiaux, il prend la défense d’une fillette de treize ans, Demelza, qu’il ramène chez lui et engage à son service comme domestique.Les années passent, Demelza s’épanouit. Et ce qui devait arriver… Quitte à choquer une fois de plus les bien-pensants, Ross n’écoutera que son cœur.
Il se dit : "Si seulement nous pouvions arrêter la vie pour un moment, je choisirais celui-ci. Là, au sommet de la colline, avec la poussière qui tourbillonne aux confins du domaine et Demelza qui marche et respire à mes côtés."
Toute l'existence était un cycle de difficultés à résoudre et d'obstacles à surmonter. Mais en ce soir de Noël 1787, seul le présent intéressait Ross. Il pensa : "Je n'ai ni faim, ni soif, ni désir. Je n'éprouve ni inquiétude ni remords. Devant nous, dans le futur immédiat, nous attendent une porte ouverte, une maison chaude et des fauteuils confortables, la sérénité et la tendresse. C'est cela que je souhaite."
C'est la première fois, maniaque de séries télévisées que je suis, que j'apprécie plus la version filmée que les livres dont elle est adaptée !
J'ai lu ce tome en anglais, mais je ne crois pas que ce soit le problème, car le niveau est relativement facile.
Je pense que l'origine de cette nette préférence est que la télé apporte une autre dimension. Le bruit et la couleur des vagues, la magie des paysages de Cornouailles, des acteurs éblouissants, des premiers rôles jusqu'à Prudie et Jud, la musique très romantique, les galops échevelés de Poldark sur son cheval noir (Darkie/Seamus) le long de la falaise.
Il ne manquent que les odeurs et la sensation du vent sur la peau.
Ajouté à cela, la touche magistrale de la BBC, je n'ai aucune envie de lire les autres tomes.
Note à ceux/celles qui ajoutent des extraits : prière de vérifier votre orthographe et votre ponctuation avant de valider. Merci.
J’ai eu envie de lire cette saga après avoir visionné la série Poldark. Si l’adaptation télévisée couvre les années 1783-1800 et les aventures d’une génération, la saga littéraire prolonge jusqu’en 1820 et nous raconte le destin de la génération suivante. Seconde remarque : la VF (en livres) ne concerne que la première génération (à peu près comme la série télévisée).
Pour ce premier tome, j’ai voulu lire en même temps la VO et la VF, car l’anglais est un peu littéraire et la traduction aurait été bienvenue. Eh beh, gros coup de gueule sur la VF : elle a sabré plus de la moitié de la VO ! Des scènes entières ont disparu, d’autres sont tronquées, et des paragraphes par-ci par-là ont été coupés. Un scandale. Ce caviardage efface toute la richesse du récit et des descriptions, et elle supprime des pensées des personnages. Or, l’histoire est en partie « psychologique » : pour vous donner une idée, l’auteur est connu pour le roman Pas de printemps pour Marnie, qui n’a aucun sens sans la psychologie de l’héroïne. Bref, les romans de Poldark sont à lire en VO et surtout pas en VF.
C’est une saga familiale historique, avec son lot de tragédies, de bonheurs, d’amours contrariés et de drames en tout genre. Elle se distingue grâce à son cadre documenté : la Cornouailles de la fin du XVIIIe siècle avec une terre peu fertile, des mines d’étain ou de cuivre où le travail est harassant, et des classes sociales marquées. La multitude de personnages ajoute un fort intérêt à l’histoire, l’auteur ayant approfondi leurs psychologies (bis repetita).
Le premier tome couvre les années 1783 – 1787 et se déroule en Cornouailles, dans cette terre du bout de l’Angleterre, très dépendante du travail de la terre et de la mer. Ross Poldark revient chez lui, après quelques années en tant que soldat anglais lors de la guerre d’indépendance américaine. Son père Joshua, qui vient de mourir, était le second fils d’un propriétaire terrien, et avait donc hérité d’une fortune et de terres beaucoup moins importantes que son frère aîné Charles, l’oncle de Ross. Ross retrouve une maison mal entretenue, un petit domaine et une mine presque à l’abandon. Pire, Elisabeth, la jeune fille qu’il devait épouser, va se marier avec son cousin Francis, le fils de Charles qui a reçu une plus grosse part de l’héritage (je vous l’ai dit : pas de saga familiale sans amour contrarié). En résumé : Francis a la fortune et la femme, Ross est seul dans un manoir décrépi. Pour oublier, Ross s’enfonce dans le travail, répare sa maison et s’acharne à exploiter la terre avec deux vieux serviteurs qui sont restés là. De plus, il étudie les plans de la mine quasi abandonnée dont il a hérité, alors que Francis gère une mine rentable.
Un jour, Ross (qui a 23 ans au moment des faits) sauve et recueille une fille de 13 ans qui était maltraitée par son père. Rassurez-vous, rien ne se passera pendant des années ! Ou plutôt, si : Ross est un maître juste mais exigeant. Demelza apprendra peu à peu le travail pour tenir une ferme et les champs, auprès des autres serviteurs, mais sa personnalité solaire lui permettra, insensiblement, de prendre une place de plus en plus importante. Tandis que les gens chuchotent des ragots à son sujet (une jeune fille seule chez un petit propriétaire terrien ?), elle a honte de ses origines sociales, alors que Ross n’en a que faire (Ross, malgré son manque crucial d’argent, appartient à la gentry britannique, et il a le droit au nom de gentleman). Le sentiment d’infériorité de Demelza la poursuivra longtemps.
Ross est un personnage complexe et attachant : né dans la gentry, il accorde peu d’importances aux préjugés de sa classe envers les plus pauvres, d’autant plus qu’il est lui-même contraint de travailler dur pour faire fructifier sa terre et sa mine. Les relations compliquées qu’il a avec son ancien amour Elisabeth, son cousin Francis et Demelza sont passionnantes à suivre. Le lent flétrissement du couple Elisabeth/Francis est très bien exposé, parallèle à la chute de Francis qui s’enfonce insensiblement dans les dettes de jeu.
En parallèle, le roman offre une galerie impressionnante de personnages et beaucoup d’autres intrigues : les mineurs, les aristocrates appauvris, les banquiers qui sont les nouveaux riches de l’histoire, et j’en passe. L’auteur rend vivante cette société disparue, où les classes sociales étaient infranchissables. Il décrit sans fard la pauvreté avec des familles impuissantes à nourrir leurs enfants, la maladie qui frappait ceux qui étaient dénutris, et la cruauté d’une partie de l’aristocratie envers les pauvres qu’ils méprisent. Il esquisse la fin des mines de Cornouailles, prises en étau entre les banques et les sociétés de fonderies qui entraînent dans la misère de familles entières. Les trames secondaires sont riches de relations complexes entre les personnages dont l’évolution est convaincante et traitée avec sensibilité. Les éléments historiques solides et instructifs ajoutent à l’intérêt du roman.
En dehors de l'écriture qui est correcte, j'ai beaucoup moins aimé le roman que la série. Il me semble qu'il manque des passages entiers. Ce n'est pas l'édition originale de l'auteur et je pense que c'est à cause de ça.
Les + :
- Belle histoire d'amour
- Bon contexte historique
Les - :
- Trop condensé par rapport à la série
- On cerne difficilement les émotions des personnages
Après ne pas avoir apprécié la série j'ai voulu donner une chance au livre, malheureusement c'est une déception pour moi, le livre et la série sont très ressemblants. Je ne comprends pas pourquoi les personnages secondaires et leurs problèmes prennent autant de place tandis que l'histoire de Ross et de Demelza est délaissée, on ne voit de leur histoire que des moments très précis mais pas d'intermédiaire, c'est dommage...
J'ai beaucoup apprécié ce 1er tome. J'avoue faire partie des personnes qui ont vu la série avant de lire les livres,j'avais donc peur d'être déçue, mais finalement pas du tout ! J'ai beaucoup apprécié suivre la vie d'autres personnages en même temps que celle de Ross et Demelza. Les personnages sont vraiment bien travaillés, l'histoire est vraiment intéressante que ce soit le développement du milieu minier ou bien les relations entre les personnages. J'ai vraiment hâte d'attaquer le second tome !
Je l'abandonne pour le moment car pour l'instant je m'ennuie. Grande fan de la série, le livre n'a pas réussi à me transporter. J'y reviendrais peut-être plus tard mais pour l'instant je préfère me concentrer sur d'autres lectures.
Résumé
1783. Après avoir pris part à la Guerre d’Indépendance, le jeune et fougueux Ross Poldark quitte l’armée britannique et l’Amérique pour retrouver les siens.C’est un homme blessé qui rejoint ses falaises de Cornouailles. Là, il trouve le domaine familial en déshérence : son père vient de mourir et Elizabeth, sa fiancée, a rompu sa promesse pour en épouser un autre…Se repliant sur lui-même, il décide de relancer le domaine. Agriculture, élevage, prospection minière, il se bat sur tous les fronts. Et se lie même avec ses fermiers et ouvriers – quitte à se brouiller avec ses proches et l’aristocratie locale.Un jour, lors d’une foire aux bestiaux, il prend la défense d’une fillette de treize ans, Demelza, qu’il ramène chez lui et engage à son service comme domestique.Les années passent, Demelza s’épanouit. Et ce qui devait arriver… Quitte à choquer une fois de plus les bien-pensants, Ross n’écoutera que son cœur.
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