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Extrait ajouté par louloute2594 2019-08-02T16:27:50+02:00

"Le temps perd ses aiguilles au milieu du bonheur et je perds mon âme au milieu de ses yeux pendant que les minutes passent trop vite et que nos corps ne se lassent pas de se retrouver."

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Extrait ajouté par Folize 2019-08-25T12:19:21+02:00

Il congédie l’homme d’un regard froid en se tournant vers moi, l’air plus qu’agacé. Ses yeux flous se posent sur moi avant qu’il ne se penche contre mon oreille en posant les mains sur mes hanches.

- Je savais qu’on allait avoir affaire à quelques mecs louches, mais ça commence à faire beaucoup.

Il écarte une nouvelle fois les mèches de mon front, les yeux rêveurs.

- Tu es beaucoup trop mignon pour ces mecs, ils bavent tous. On va remédier au problème. Si tu es d’accord.

Je… qu’est-ce qu’il a dit ? J’ai lâché après « je savais », et simplement intercepté le « tu es trop mignon ». Moi ? Je suis « mignon » ? Et c’est Milan qui dit ça ? C’est bon, ma vie est faite et elle a été merveilleuse. Je peux maintenant mourir sans regret. Et on marquera sur ma pierre tombale : « Milan a déclaré qu’il était mignon, il nous a quittés en bandant ». Parce que c’est clairement le cas. On peut trouver ça pathétique… mais moi, je trouve ça agréable et sensationnel. Je veux bien bander tous les jours, simplement pour saluer ce genre de phrase.

Mais celui qui me trouve « officiellement » mignon me regarde toujours intensément, attendant une réponse… Sauf que je n’ai absolument aucune espèce d’idée de ce qu’était la question. Je ne sais déjà plus où donner de la tête. Entre son regard, son corps, ses doigts sur mon crâne, l’alcool, la musique, la nuit… Alors… Au hasard…

- Oui ?

Il hoche la tête avant de la plonger dans mon cou et de déposer sur ma peau une série de baisers troublants. Une vague d’émotions monte de mon cœur jusqu’à ma gorge et je retiens un gémissement de surprise et de bonheur.

(...)

Je ferme les yeux en essayant de m’accrocher à ce moment, sans comprendre plus que ça. Ses lèvres sont douces, chaudes, sensuelles et encore plus addictives que dans mon imagination. Comme s’ils avaient répété ce geste toute leur vie, mes bras s’enroulent au cou de mon beau rêve pendant que les siens font de même autour de ma taille. Ainsi enlacé, je m’envole au milieu d’un monde que je n’aurais jamais espéré : le sien. Son parfum, sa peau, sa langue qui chatouille mon épiderme, faisant naître une onde sournoise de frissons qu’il ne peut ignorer… Mon cerveau me semble lourd et brûlant, et mes doigts s’agrippent à son t-shirt pour me retenir dans ce moment encore un peu

(...)

Sa bouche dévore ma peau et ses doigts remontent sur ma joue, l’effleurant, la caressant, en finissant de me transcender. Je ressens son corps contre le mien, je frôle la peau de sa nuque, me laissant transporter par la douceur et tout ce qui explose en moi. Il interrompt ce doux traitement, me laissant pantois et rêveur. Ses lèvres se posent sur mon oreille :

- Tu devrais être tranquille comme ça…

Impossible qu’il arrête. Une panique m’assaille durement, me ramenant sur terre. J’ouvre un œil et croise le regard de Chloé qui me sourit machiavéliquement. Et les mots sortent tout seuls.

- Non. Ennemie en vue.

Oui. OK, j’en redemande. Et pour une raison moyennement valable puisque Chloé a vu ce qu’elle devait voir et que ça devrait suffire. Mais tant pis. Parfois, toutes les excuses sont bonnes. Milan ravale un rire.

- OK. Alors on met le paquet.

Oh oui… le paquet…

Non, mais, Emeric, reprends-toi d’urgence. Ce n’est qu’une manœuvre tactique.

La main libre de Milan remonte de mon dos à mon visage, passant sur mon ventre et mon torse, langoureusement, puis se pose sur ma joue, tandis que ses yeux, animés d’une flamme que je découvre chez lui mais qui me fait déjà fondre, trouvent les miens.

Il dégage les boucles tombant sur mon front et mes yeux.

- Le problème chez toi, c’est ça.

Il dépose un baiser sur ma joue gauche, près de mon nez.

- Et ça.

Il embrasse mon autre joue.

- Et alors… ça…

Ses lèvres se posent sur mon nez.

- Tes taches de rousseur sont affolantes. Normal qu’ils craquent tous. Je suis fan…

Bon Dieu ! Il va me faire crever. Je tente un air détaché.

- Ah oui ?

Ma pauvre phrase se termine dans un étranglement de gorge qui me lâche au pire moment.

— Oui.

Il réitère ses baisers. Je crois que tout l’intérieur de mon corps, y compris mes neurones - et même surtout mes neurones - viennent de « s’auto-carboniser ». Fini, le Emeric. Je ne suis plus qu’un organisme informe et inutile devant lui, prêt à pleurer, à jouir, à rire, ou à « m’autocombustionner » encore s’il continue son petit jeu.

Ses lèvres reviennent à mon oreille, me laissant entrevoir par-dessus son épaule les deux nanas machiavéliques qui nous servent de copines.

- Et là ? Encore des regards menaçant ta sécurité physique ?

Je plisse les yeux.

- Est-ce que ceux de Chloé, ça compte ?

- Double !

- Et Elsa ?

- Bordel ! Attends.

Il embrasse une dernière fois mon nez en souriant.

- Ça, c’est le petit bonus pour service rendu… Viens.

- Oui, où tu veux, quand tu veux, pour toujours…

Mais non ! J’ai bien prononcé cette phrase ? Réellement ?

Heureusement, il n’a pas l’air de l’avoir entendue. Il attrape ma main et m’entraîne vers les escaliers qui mènent à la plage.

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Extrait ajouté par Karine89 2021-03-28T15:04:41+02:00

Ma mère m'a toujours dit que j'étais un mec ultra têtu et borné. Eh bien, elle peut se réjouir, car elle a totalement raison. Milan en est le parfait exemple. Il est passé sur mon cœur et s'en est emparé sans le vouloir, sans que je cherche à m'échapper, et cet état de fait perdure depuis des années. Trois ans au moins, voir plus. Et c'est compliqué. Parce que ma vie sentimentale est mise entre parenthèses depuis lors, et que je n'essaye même pas de m'extraire de cette addiction qui me tue en dominant mon existence.

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