Lucinda n'est pas bien grande, elle a le cul rond et les hanches larges des femmes de sa condition, mais ce sont ses seins qui font le plus se retourner les hommes, deux globes d'albâtre qui enflent à chacune de ses respirations, surmontés de pointes rosées étalées au-delà du raisonnable en leur centre parfait. Les hommes paieraient pour les tâter. Les hommes tueraient pour les baiser. Les hommes se damneraient pour les posséder à jamais.

TOP 10 des différentes utilisations du préservatif féminin:

1. Sac de courses en plastique recyclable, toujours chic pour vos sorties au supermarché
2. Épuisette pour les après-midi pêche aux moules ou aux bigorneaux sur vos plages normandes préférées.
3. Passoire à thé ou filtre à café, très pratique les dimanches après-midi à la campagne, quand tous les magasins sont fermés.
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« Il faut qu’on parle, Caïn, lui dit-elle d’une voix qui se voulait assurée.
— Et moi qui pensais que tu n’en avais qu’après mon corps de rêve, se moqua-t-il.

Elle sourit pour oublier la solitude dans laquelle les avait laissés, Kingsley et elle, le seul homme qui ait jamais pu les maîtriser d’un claquement de doigts. Mais elle n’allait pas baisser la garde et se permettre de penser à lui. Ni aujourd’hui ni plus jamais.

Nous n’avons pas encore abordé le sujet de Noël tous les deux, et je n’ai aucune idée de ce qu’il envisage. Je sais que j’irai de toute façon chez mon père, mais j’ignore si Marc voudra se joindre à nous.
— Vous devez être très fier de Sophia, monsieur Blackwell, lâche Tanya avec un grand sourire. Après tout, c’est aussi votre élève.
— Je suis immensément fier, répond Marc. Mais j’ai toujours su qu’elle avait un immense talent.
Je sens son pouce caresser la paume de ma main. Un frisson me parcourt, et je retiens mon souffle. Les joues empourprées, je lui intime du regard de ne pas s’emballer. Il m’adresse en réponse un haussement de sourcils qui signifie clairement « je fais ce que je veux ».

SMS du xx/xx/xxxx, 22h12
Bon, tu l'auras voulu: je me pends
SMS du --/--/----, dix minutes après, 22h23
Hé oh!!! Je me pends, je te dis!
Bon, je sais, j'ai juré sur la tête de mon chat (que je n'ai pas, c 'est ça l'astuce) que je ne répondrais jamais. Mais là, quand même, il y a urgence: il se pend. Et puis quand on dit "jamais", eh bien on finit toujours par le faire, finalement. C'est le principe.
Rien qu'une petite réponse, ça ne peut pas faire de beaucoup de mal.
"Pends-toi en silence, je dors là." Voilà, c'est envoyé. Parfaitement inoffensif et très bien répondu: froideur, distance, rejet. Mais humour. Parfait. Je me sens en veine SMSesque, là. Faut en profiter.

La semaine s’écoule doucement, agréablement, une routine s’installant dans mes actions. Quand je me lève le matin, je prends une douche chaude, chose à laquelle je ne suis absolument pas habitué, et je reste sous l’eau une quinzaine de minutes avant de commencer à me savonner. Je mange devant une série, du riz, et je termine mon épisode, me mettant toujours en retard. Je m’habille rapidement pour sortir en courant, croisant divers voisins dans l’ascenseur et à l’entrée de l’immeuble. En cours, je n’écoute que d’une oreille, désintéressée, et quand je rentre je travaille et je me divertie, jusqu’à minuit, quand je me couche, tournée vers ma vue. J’ai l’impression de vivre un rêve, indépendante, ne répondant plus à mes parents, loin de mes frères et loin de terres connues, je prouve que je peux me débrouiller seule. Puis le bruit commença.

Je sais pour ma part que ce n’est plus là l’objectif de Laurianne. Elle a fait souffrir, maintenant elle veut faire jouir. Et elle sera aussi exigeante dans ce domaine que dans l’autre. Déjà ses doigts glissent vers l’entrejambe de Sabine, qui hoquette toujours entre pleurs et réminiscences de douleurs. Laurianne s’attarde à peine sur le sexe de Sabine, elle file directement vers son anus, introduit aisément deux doigts dans l’orifice encore distendu, y découvre avec bonheur ma semence épaisse qui commence déjà à perdre de sa tiédeur.

Mademoiselle, mon désir
Rendez-vous ce soir, 8h, mon chauffeur viendra vous chercher.
M.V

Le Dr Carlisle Cullen, père adoptif de la fratrie, est loin de se concevoir, avec ses semblables, comme un monstre, mais plutôt comme un membre d'une espèce évoluée capable de résister aux attraits du sang humain. Les armoiries familiales témoignent de la bonne opinion qu'il se fait de sa famille. "Il s'agit d'un blason représentant l'immortalité, le danger et le courage", explique Cathernie Hardwicke. Wendy Chuck, la chef costumière, en a dessiné l'ébauche - finalisée par Cynthia Nibler, en charge des accessoires. Chacun le porte à sa façon: Rosalie en pendentif, Alice, attaché autour du cou, Edward, Jasper et Emmett, incrusté dans un bandeau de cuir noué au poignet, et le médecin, sur une bague.

- Tout ce que je dois faire, c'est t'exciter... avec de nouvelles expériences, pas vrai? Dans ce cas, Nana,... t'es-tu... déjà promenée en laisse?

DÉCORS DE RECHANGE
Lorsqu'on devait tourner une scène dans la chambre de Bella ET dans le couloir, on s'installait dans la vraie maison à St Helens. Nous avons également reconstitué cette chambre près du terrain de base-ball pour avoir un décor de rechange s'il y avait trop de soleil pour tourner en extérieur. C'est ici que nous avons tourné le plus de scènes intimes.

Quelques cris étouffés se firent entendre.
Puis il y eu un rire nerveux.
Seule la lumière de la cheminée éclairait un peu la pièce, projetant d'étranges ombres sur les murs.
La voix de Justine résonna dans l'obscurité.
- Vous vous demandez sûrement si c'est encore une surprise, dit Justine en riant. Mais c'est notre mère Nature qui nous envoie cet orage! Nous ne pouvons pas rêver d'un meilleur moment pour être plongés dans l'obscurité... ça va être formidable pour le prochain jeu... si vous avez le courage de jouer, bien sûr.
- Oui! hurla Ricky.
- Assieds-toi, Ricky! cria quelqu'un.
Terry regarda sa montre en plissant les yeux. Il était trois heures. Il s'était produit tant de choses que le temps était passé à toute vitesse. Il avait du mal à réaliser que dans quelques heures à peine, la soirée serait finie.

Ma main qui frissonne, puis chaque doigt qui s'éveille et se déplie sur le drap chiffonné, un à un, lentement. Ils caressent comme les touches d'un piano les rais d'ombre et de lumière projetés par les persiennes sue nos deux corps assoupis. L'image est tellement belle. Si seulement il était possible de la prolonger tout l'été, si nous pouvions rester ainsi, sans bouger, telles des cuillères lovées l'une dans l'autre...
Voilà mon premier éveil de femme mariée et maître de son destin. "Mariée". Je souffle sur la nuque de Louis, là où éclot la plus timide des roses tatouées qui recouvrent son épaule. Je parcours la plante grimpante d'un index curieux. Je le chatouille un peu, et il entrouvre à son tour les yeux, esquissant un sourire satisfait.

- Parce qu'une intrigante choisirait toujours l'homme le plus faible. Plus il est faible, plus il sera facile à manipuler.
[...]
- Qu'est-ce qui vous fait croire que Kastor est plus faible que moi? Vous ne le connaissez pas.
- Mais je commence à te connaître, toi.

- Quand tu entendras mes voeux, je parie que tu vas pleurer.
Bras dessus, bras dessous, nous reprîmes le chemin du restaurant.
- Peut-être bien, mais je te parie dix mille dollars que tu pleureras la première.
Ce fut le pari le plus idiot que j'aie jamais tenu.