L’Exposition Universelle se prépare, avec elle, le Tout-Paris prend part à la démesure. Provinciaux et badauds s’extasient des progrès scientifiques et techniques, le monde, lui, a l’œil braqué sur « La ville dans la ville ».
Au cœur de la capitale, la communauté surnaturelle évolue parmi les humains. De jour, les Féériques enchantent le Vieux Paris tandis que la nuit, les Maléfiques, prennent part aux dérives des bas-fonds.
Dans cette ambiance survoltée, Octave Cinib est nommé à la Sûreté générale, en qualité d’auxiliaire.
L’inauguration des festivités est le point de départ d’une série de meurtres macabres et d’une enquête fastidieuse pour Octave et son supérieur, Clotaire de Belleville. Au gré de leurs investigations, ils feront des rencontres : scientifiques, sorcières, buveurs, elfes… jusqu’à la jolie danseuse du Moulin Rouge ; alors ils comprendront que la frontière entre le bien et le mal est fine et que les apparences sont souvent trompeuses…
Un thriller mêlant steampunk et fantastique, ça donne envie, non ? C'est ce mélange de genres qui m'a attirée vers ce livre en premier lieu et je ne suis pas déçue. L'histoire brosse le tableau d'un Paris du XXe d'un nouveau genre : les surnaturels ont fait leur coming out et se mêlent à la population parisienne. L'intrigue est bien amenée, soulève des questions intéressantes sur l'inclusion des minorités, ici représentées par la population surnaturelle, et les motivations parfois divergentes de ce qui semble pourtant être des alliés. Les circonstances peuvent soudain faire basculer les uns dans un camp et les autres dans l'autre, provoquant quelques justes retournements de situation.
Les amateur·ice·s de thriller n'y trouveront probablement pas leur compte, mais celleux qui aiment les intrigues surnaturelles seront séduit·e·s !
Un récit sordide, glauque et macabre. Une enquête sombre au sein du surnaturel.
Si les protagonistes évoluent dans la Ville des Lumières et qu'on y entrevoit ses lieux mythiques, la majeure partie des actions se déroulent dans ses bas-fond, là où ce qui effraie se cache.
Octave est un enquêteur intéressant, à la fois flegmatique et passionné. Il défend ses idées et ses valeurs faisant fi du quand dira-t-on. L'appréciation du personnage l'est davantage lorsqu'il défend une cause perdue qu'il croit juste.
Les autres individus croisés ne se départissent pas non plus d'intérêt. Dans leurs sombres desseins chaque personnalité se révèle.
La plume est riche. Les descriptions macabres ne manquent pas de mordant. Le tour dans un Paris surnaturel et steampunk. Ce fut une lecture très divertissante.
Une fois de plus, je n'ai pas été déçue par cette nouvelle lecture aux éditions Inceptio. Ils ont le don pour dénicher de petites perles et Symbiose en fait partie ! J'ai été transportée par l'univers et la plume de Camille.
L'action se déroule en 1900, lors de l'Exposition Universelle de Paris. Un Paris un peu particulier où se côtoient toutes sortes de créatures surnaturelles : Maléfiques et Féériques, révélés aux yeux du monde entier, tentent de se faire une place au sein de la société humaine, au cœur de la capitale française. Une série de meurtres macabres secoue alors la capitale lors des festivités, mettant à mal l'équilibre précaire instauré entre toutes les espèces. Il est alors facile d'accuser les Maléfiques, mais Octave, un jeune officier de la Sûreté de Paris est bien décidé à faire toute la lumière sur cette affaire. L'intrigue me tentait beaucoup et je n'ai pas été déçue ! ❤
L'univers est également d'une grande richesse et les descriptions de Camille ont permis de planter un décor aux influences steampunk parfait pour l'histoire. Au fil des pages, je me voyais déambuler dans les rues de Paris, comme si elles prenaient vie autour de moi. Vraiment, l'écriture de Camille est parfaitement maîtrisée et très agréable à lire.
Les personnages sont également haut en couleur, tous très différents des uns et des autres. C'est sans doute ce qui m'a le plus plu. De voir toutes ces trajectoires se croiser, tous ces destins se lier les uns aux autres, tous ces êtres si différents et semblables en même temps.
Entre les lignes, j'y ai lu aussi une formidable histoire sur la liberté, le pardon, le droit de faire des erreurs, la tolérance et l'espoir.
En tout cas, j'ai refermé le livre avec le sourire, même si les dernières lignes de l'épilogue me font peut-être espérer une potentielle suite (mais je vous rassure, l'histoire se termine vraiment). Je vous invite vivement à lire Symbiose. L'imagination de Camille vaut vraiment le détour ! ❤
Retrouvez d'autres chroniques sur mon blog : https://lesfantasydamanda.wordpress.com
--- Mon tout premier roman Inceptionnel ---
Bien que je suive les éditions Inceptio sur les réseaux sociaux depuis un moment, je n’avais pas encore eu l’occasion de découvrir un de leurs titres. C’est désormais chose faite grâce à Camille Salomon qui m’a gentiment proposé son roman Symbiose en service de presse. Un grand merci à elle, ainsi qu’à la maison d’édition pour l’envoi !
En dépit d’une lecture en demi-teinte, je compte bien me pencher à nouveau sur les parutions de la maison d’édition, car je pense que ce one-shot n’était pas fait pour moi, tout simplement. En vérité, mes attentes n’ont pas été comblées. Laissez-moi vous expliquer cela plus en détail…
--- Un thriller fantastique, vraiment ? ---
Il est vrai que l’aspect fantastique est bien représenté. On pourrait même parler d’urban fantasy, puisque le Paris que nous présente l’auteure regorge de créatures en tous genres, bonnes ou mauvaises… voire les deux à la fois ! Ainsi, Féériques et Maléfiques côtoient quotidiennement les humains. Mais si les premiers sont relativement acceptés au sein de la société, ce n’est pas vraiment le cas des seconds qui souffrent de préjugés liés à leur nature. Je ne vous en dirai pas plus, mais sachez que cette partie de l’histoire est une belle réussite, accentuée par la plume délicate de Camille Salomon. J’ai adoré me balader dans ce Paris fantasmé des années 1900 afin d’en apprendre plus au sujet des fées, des sorcières, des vampires et bien d’autres encore !
Quant au steampunk, il apparaît par petites touches, mais ce n’était pas pour me déplaire. Certes, j’en aurais voulu davantage, néanmoins cela n’a pas terni mon plaisir de lecture.
En revanche, malgré un prologue très alléchant, j’émets un doute concernant le côté thriller. Le synopsis promet pourtant une enquête fastidieuse et donc, à mon sens, une bonne dose de suspense. Or, il n’y en a pas, puisque Camille Salomon nous offre les deux points de vue : celui des investigateurs et celui des antagonistes. Très vite, nous sommes informés du complot qui se cache derrière la série de meurtres à l’origine du récit. Alors, certes, il s’agit là d’un parti pris, et je le respecte. Seulement, il ne me convient pas.
--- Des rebondissements de toutes parts ---
Même si l’enquête passe vite au second plan, Symbiose est un formidable condensé d’action. Autrement dit, on ne s’ennuie pas ! Quoique… L’intrigue semble partir dans tous les sens et ce, en dépit d’un fil rouge présent tout au long du livre. Peut-être le rythme était-il trop soutenu ? En fait, j’ai trouvé que l’auteure ne prenait pas le temps de poser les bases de son histoire, ce qui m’a empêchée d’apprécier les différents points de vue et les nombreuses sous-intrigues, notamment celle de la sorcière, probablement la plus intéressante d’entre toutes !
En outre, et c’est probablement le plus agaçant, le héros semble obtenir des réponses très facilement, se hissant bien trop vite au rang de fin détective.
--- Le comportement incohérent des personnages, le cœur du problème ---
C’est le point qui fâche, selon moi. En effet, il m’était impossible de les comprendre et, par conséquent, de m’attacher à eux. Pour étayer mon propos, je vais d’ailleurs vous offrir quelques exemples, mais si vous ne souhaitez pas connaître certains détails de l’histoire, n’hésitez pas à passer au point suivant.
Commençons par Octave. Au début de l’histoire, il est un simple auxiliaire de Sûreté un brin timide, mais prometteur. Très vite cependant, il gagne en assurance, s’oppose à son supérieur, prend ses propres décisions et devient ce héros que l’on attendait. Le hic ? Sa transformation est bien trop soudaine pour être crédible. Et c’est sans compter sa fâcheuse tendance à s’amouracher des belles femmes, alors qu’il n’a, semble-t-il, jamais porté grand intérêt à la gent féminine.
Quant à la sorcière, l’auteure ne cesse de rappeler sa toute puissance alors que, dans les faits, on l’utilise comme simple main-d’œuvre.
Je pourrais également citer le chef de la Sûreté ; d’abord lubrique et coléreux, il fait ensuite preuve de délicatesse envers son auxiliaire et lui accorde toute sa confiance afin de boucler l’enquête. Bref, cela ne m’a pas paru très cohérent. Or, il s’agit là d’un problème que j’ai rencontré avec la majorité des personnages, qu’ils soient principaux ou secondaires…
--- Un dénouement brouillon ---
À un moment donné – j’ignore quand exactement -, j’ai perdu le fil de l’intrigue. Je ne parvenais plus à identifier les motivations des personnages, ni à démêler leurs manigances, d’autant plus que certains ne révèlent leur vrai visage qu’à la toute fin. Dès lors, le récit a pris une direction qui m’a semblé nébuleuse. Résultat : mon intérêt pour le grand final a progressivement diminué. Je peux toutefois affirmer que ce dernier était un peu trop brutal…
Frémissez aux crimes affreux perpétués dans les rues sombres.
Ajoutez-y une femme maléfique et belle comme la nuit, une Bête, des sorcières, une succube, des buveurs de sang, des êtres sylvains, des blobs, des sirènes et autres créatures surnaturelles.
Faites-y entrer un jeune homme, auxiliaire de police, mu par la justice et la vérité.
Saupoudrez d’amour et d’amitié.
Ajoutez-y des savants mystérieux.
Placez l’ensemble dans le Paris de 1900.
Observez les dirigeables qui partent de Notre-Dame.
Admirez les nouveautés de l’Exposition Universelle en écoutant le discours du Président de l’époque.
Secouez-le tout.
Bien fort !
Et vous obtenez Symbiose, écrit par Camille Salomon, un mélange, une symbiose entre un thriller et un fantastique.
Un petit bémol, cependant, vient porter ombrage : quelques longueurs, des descriptions qui auraient pu être écourtées, à l’inverse du ressenti des personnages qui aurait pu être plus développé ; des changements de lieu trop rapides parfois.
Dans l’ensemble, vous l’aurez compris, un bon moment en compagnie des Maléfiques et des Féeriques.
Un côté Steam Punk, un petit goût Jules Verne à bord d’un sous-marin dans la Seine. Laissez-vous embarquer… pour découvrir un univers de littérature young adulte.
Une plume merveilleuse, qui nous emmène avec finesse, détails, engouement, dans le Paris de 1900, tout en mêlant, Steampunk et créatures surnaturels. Une quête pour la justice, pour la vérité...
Des personnages attrayants, hauts en couleur, touchant même.
Bref, j'ai adoré. J'ai été happée par la plume de l'autrice et j'ai adoré du début à la fin !
Je me demande s'il n'y aura pas de suite aux aventures d'Octave et Victorine ? Melle Camille ?
L’histoire se déroule à Paris, en 1900, alors que l’Exposition Universelle est en préparation et doit débuter dans les prochains jours. Toutes sortes de créatures vivent au sein de la capitale. On peut ainsi croiser des fées, des buveurs, des elfes mais aussi des êtres moins connus. J’ai vraiment été charmée par cette ambiance historique/steampunk/fantastique. L’auteure est parvenue à mêler ces trois genres de façon homogène pour créer un décor inédit et surprenant.
Cela peut sembler un peu idiot mais je n’aime pas trop quand les histoires se déroulent en France. Je préfère largement quand le récit prend place dans un autre pays et même encore mieux, dans un autre monde. Toutefois, j’ai réussi à oublier ce petit détail tellement j’étais transportée dans cet autre Paris absolument merveilleux.
Petit à petit, on découvre comment les créatures surnaturelles ont été intégrées au sein du peuple. Finalement, tout n’est pas si rose puisqu’ils n’ont pas tous les mêmes droits ni le même accès aux divers métiers. Il existe des clivages entre humains, féériques et maléfiques. Ceci permet d’apporter une première réflexion sur la différence et l’acception de l’autre quand il n’a pas la même culture ou la même apparence physique que nous. D’ailleurs, le sort réservé à certaines créatures à un moment donné du texte m’a beaucoup fait penser à la rafle du Vél’d’Hiv. Mais l’auteure aborde également de façon plus brève la place de la femme à la fin du dix-neuvième siècle.
Nous suivons principalement Octave Cinib, un auxiliaire à la Sûreté générale chargé d’enquêter sur le meurtre d’une prostituée. Malheureusement, cet acte semble être le point de départ d’une série de crimes macabres. Cette enquête policière apporte donc un autre aspect intéressant à cet univers déjà riche.
J’ai plutôt bien aimé le personnage d’Octave. Il possède une ouverture d’esprit que j’apprécie. De plus, j’ai l’impression que cette enquête lui a permis de se révéler et de devenir un autre homme. Le seul petit bémol selon moi est sa vie sentimentale. Octave s’était toujours interdit de tomber amoureux. Durant le récit, il effectue diverses rencontres et se perd un peu. Il tombe amoureux facilement comme un adolescent pourrait le faire. J’ai un peu levé les yeux au ciel face à ses sentiments envers une première femme puis pour une autre. Ceci reste un petit détail et n’a donc absolument pas gâché ma lecture.
Concernant l’enquête, je possédais, en tant que lectrice, certaines informations qu’Octave n’avait pas. Nous observons l’évolution de l’enquête en même temps que l’avancée des criminels dans leurs objectifs. Ceci apporte une certaine tension dans la lecture, me poussant à tourner les pages et à vouloir avancer le plus rapidement possible. De plus, même si nous avons une vision des deux parties, Camille Salomon parvient à nous surprendre par certaines révélations qui arrivent au fur et à mesure du récit.
Dans l’ensemble, j’ai trouvé que la plume de l’auteure était très agréable et accessible. Elle parvient à garder un bon rythme, alternant parfaitement les moments plus lents ou descriptifs avec les scènes d’action et les rebondissements.
J’ai aussi beaucoup aimé le fait que les personnages ne soient pas que noirs ou blancs dans cette affaire. Certains se rendent compte de leurs erreurs et sont prêts à faire le nécessaire pour changer les choses.
De même, je trouve que Griselda est une protagoniste très intéressante qui délivre de beaux messages. Elle décide de ne pas suivre le chemin qui est tracé pour elle mais de rester fidèle à ses convictions.
Il existe encore de nombreux personnages que je ne vais pas évoquer dans cette chronique mais j’ai vraiment apprécié les rencontrer.
A la fin de cette histoire, j’ai quelques questions qui restent en suspens. J’espère donc que l’auteure pourra écrire un tome 2 prochainement.
Alors par où commencer ? Tout d'abord, j'A-D-O-R-E cette couverture. L’œil est d'ailleurs immédiatement attiré par celle-ci. Elle dégage une aura mystérieuse qui rend bien hommage à l'intrigue de ce roman. Puis vient le résumé qui, à l'instar de la couverture, nous donne immédiatement envie de nous plonger dans cet étrange Paris de la fin du XIXe.
Dès les premières pages, nous sommes plongés dans le meurtre froid et sanglant d'un humain, permettant l'entrée fracassante de deux protagonistes dont celui principal du roman : Octave Cinib et Clotaire de Belleville. Les bases sont alors jetées : dans ce Paris du début du XXe, à l'approche de l'Exposition universelle, surnaturels ( Féeriques et Maléfiques) cohabitent ensemble depuis déjà quelques années. On comprend assez rapidement que même si les êtres surnaturels ont réussi à s'acclimater dans la "Ville Lumière", leur place au sein de la société est encore très difficile à assurer. Les tensions entre les différentes espèces surnaturelles et les humains sont assez fortes. Commence alors une enquête qui va donner du fil à retordre au pauvre Octave.
J'aime beaucoup la manière dont l'auteure à intégrer les espèces surnaturelles dans ce Paris de 1900 : certaines espèces vivent dans le bois de Vincennes tandis que d'autres vivent carrément dans la Seine ! Chaque espèce trouve sa place et s'adapte à un environnement qui répond à ses besoins et à son mode de vie.
L'apparition de certaines célébrités de l'époque permet d'encrer le récit dans un Paris réaliste nous permettant ainsi d'avoir certains repères, notamment l'apparition assez cocasse de Spoiler(cliquez pour révéler)Guillaume Apollinaire.
Le changement régulier de points de vue entre criminels/Maléfiques et Octave/la Sureté générale apporte au récit un rythme qui n'est pas sans déplaire même si au début on se retrouve un peu perdu ( ce qui est normal étant donné que l'on ne comprend pas encore les liens logiques entre les différents protagonistes ).
La fin laisse place à un aspect plus "magique" avec bien plus d'action par rapport au début du roman qui se revêt d'un côté plus policier. De plus, Spoiler(cliquez pour révéler)le happy end est plutôt sympa et nous laisse sur une note positive.
Il y a cependant quelques petits côtés négatifs dans ce roman. Tout d'abord, Spoiler(cliquez pour révéler)on apprend que très tardivement le réel objectif du collège Rasbork ce qui nous empêche de faire un lien entre Raïzel et ces derniers même si la bataille dans leurs locaux marque le tournant définitif dans la guerre humains/surnaturels. De plus, l'histoire dramatique de la famille d'Octave nous est balancée sur quelques lignes seulement ce qui nous empêche de vraiment compatir au sort de ce jeune héros. Enfin, je trouve cela dommage qu'Octave -qui nous apparait de prime abord comme un jeune homme très intelligent mais assez effacé- passe d'une femme à une autre à la fin de l'histoire. Bien que l'on comprenne aisément pourquoi il ne peut pas espérer une quelconque idylle avec Morwenna qu'il vient tout juste d'embrasser, il s'amourache quasi immédiatement de la jeune Victorine de Honfleur. . Néanmoins, tout cela n'enlève en rien l'avis très positif que j'ai à l'issu de la lecture de ce roman.
Enfin, je terminerai en ajoutant que la plume de Camille Salomon est un pur plaisir, du début jusqu'à la fin.
Résumé
Paris, 1900.
L’Exposition Universelle se prépare, avec elle, le Tout-Paris prend part à la démesure. Provinciaux et badauds s’extasient des progrès scientifiques et techniques, le monde, lui, a l’œil braqué sur « La ville dans la ville ».
Au cœur de la capitale, la communauté surnaturelle évolue parmi les humains. De jour, les Féériques enchantent le Vieux Paris tandis que la nuit, les Maléfiques, prennent part aux dérives des bas-fonds.
Dans cette ambiance survoltée, Octave Cinib est nommé à la Sûreté générale, en qualité d’auxiliaire.
L’inauguration des festivités est le point de départ d’une série de meurtres macabres et d’une enquête fastidieuse pour Octave et son supérieur, Clotaire de Belleville. Au gré de leurs investigations, ils feront des rencontres : scientifiques, sorcières, buveurs, elfes… jusqu’à la jolie danseuse du Moulin Rouge ; alors ils comprendront que la frontière entre le bien et le mal est fine et que les apparences sont souvent trompeuses…
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