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« Je voulais que tu saches que mon bonheur, c'est à toi que je le dois. »Ce sont les paroles de Monji, décidé à tout dire à sa femme plongée dans le coma. Comme lui, ceux qui fréquentent le café Funiculi Funicula espèrent y réparer le passé. Une tasse de café leur permettra de voyager dans le temps et d'adresser à l'absent le message d'amour qu'ils n'ont pas su formuler à l'époque. Ainsi, Hikari qui se sent coupable de n'avoir pas répondu à la demande en mariage de son petit ami, disparu depuis ; Michiko, hantée par le souvenir de son père qu'elle a rejeté ; Sunao, qui pleure son chien adoré ... Sauront-il dire au revoir à leurs aimés et, ce faisant, se réconcilier avec eux-mêmes ? Car pour honorer la mémoire des absents, il faut d'abord trouver la paix en soi.
– Je ne suis pas sûre de mériter d’être heureuse. Je t’ai dit des choses horribles. Pendant tout ce temps, tu t’inquiétais pour moi, mais je ne m’en rendais pas du tout compte et je n’en faisais qu’à ma tête…
Je t’ai demandé de partir. Si je ne l’avais pas fait, tu serais peut-être encore en vie. Je ne pensais qu’à moi.
– Et pourtant…
– Ne t’en fais pas pour ça, la coupa Kengo. Je suis ton père. Tu auras beau mal me parler, tout ce qui m’importe, c’est que tu ailles bien.
J'avais déjà eu l'occasion de lire le premier volet de cette série (celui-ci est le quatrième). J'avais plutôt apprécié ma lecture, même si ce n'avait pas été un coup de coeur. Encore une fois, la couverture est belle et inspirante. Le roman se lit très facilement et mérite d'être découvrrt pour son originalité. L'écriture est simple, mais efficace et poétique. Toutefois, même si j'ai passé un moment agréable, je n'ai pas non plus été transportée par la manière dont ont été traitées les différentes histoires, même si les thèmes sont intéressants.
Résumé :
« Je voulais que tu saches que mon bonheur, c'est à toi que je le dois. »
Ce sont les paroles de Monji, décidé à tout dire à sa femme plongée dans le coma. Comme lui, ceux qui fréquentent le café Funiculi Funicula espèrent y réparer le passé. Une tasse de café leur permettra de voyager dans le temps et d'adresser à l'absent le message d'amour qu'ils n'ont pas su formuler à l'époque. Ainsi, Hikari qui se sent coupable de n'avoir pas répondu à la demande en mariage de son petit ami, disparu depuis ; Michiko, hantée par le souvenir de son père qu'elle a rejeté ; Sunao, qui pleure son chien adoré ... Sauront-il dire au revoir à leurs aimés et, ce faisant, se réconcilier avec eux-mêmes ? Car pour honorer la mémoire des absents, il faut d'abord trouver la paix en soi.
Est-ce que je recommanderais ? Pourquoi pas ? Que vous ayez lu les tomes précédents ou pas, ce court roman peut être lu indépendemment. C'est une lecture agréable et facile, sans être toutefois exceptionnelle.
Allez je vous en ai assez parlé, on retrouve encore une fois le petit café où on voyage dans le temps!
Comme ses grands frères, ce livre se compose de 4 chapitres.
1 chapitre = 1 histoire différente
Je suis revenu au café Funiculi Funicula cette fois, comparé au précédent qui se trouvait ailleurs.
L'histoire se passe 1 an après le 1er tome.
Quoi vous dire de plus que pour les précédents, j'ai adoré la douceur de ces histoires. J'irai même jusqu'à dire que j'ai retrouvé dans celui-ci le bonheur des 2 premiers. Le 3eme bien que tout aussi bien m'a moins marquée.
Avec celui-ci j'ai retrouvé pleinement ce que j'avais apprécié dans le premier.
Les histoires touchantes, douces, sensibles. La beauté des personnages, des événements, des lieux.
Comme ses grands frères, ce livre est une pure merveille.
N'hésitez plus à continuer si vous avez lu le premier, et n'hésitez plus à commencer le 1er si vous l'avez.
Un quatrième tome à la hauteur des 3 précédents. Un récit toujours plein de douceur, de bons sentiments, de résilience et d'introspection... bref une série à découvrir si ce n'est pas encore fait....
Avec ce quatrième et dernier tome de la série "Tant que le café est encore chaud", il est temps de quitter cette dernière. Toujours basé sur le même principe au fil des tomes, selon la particularité du café Funiculi Funicula, celle de pouvoir remonter le temps pour les clients afin de parler à une personne pour combler des regrets, des chagrins, des remords ou finalisé un deuil, il est vraie qu'une certaine forme de redondance peut apparaître et créer un sentiment de lassitude. Les quatre chapitres, toujours plus ou moins indépendants, mettent les femmes à l'honneur. Ces histoires portent des motifs douloureux et difficiles et je les ai trouvé variées et originales. Ce sont de jolies petites leçons de vie, aussi tendres qu'émouvantes, qui permettent de réfléchir, de faire une petite introspection, sans être pour autant moralisateur et de toucher différemment le lecteur. On retrouve la plume simple et épurée de l'auteur qui donne un sentiment de sagesse et d'apaisement dans ces histoires douloureuses. Un dernier tome qui nous fait vivre un nouveau moment réconfortant et hors du temps l'espace d'un instant.
Encore une lecture marquante avec un tome 4 auquel on a sacrément du mal à dire au revoir... Chaque histoire est profondément humaine et touchante, on peut aisément s'y reconnaître et elles nous font autant pleurer qu'elles nous remettent du baume au cœur. Bref, je ne peux que chaudement vous recommander la découverte de cette saga !
Résumé
Savourer le présent jusqu'à la dernière goutte :
c'est ce que propose le café des au revoir.
« Je voulais que tu saches que mon bonheur, c'est à toi que je le dois. »Ce sont les paroles de Monji, décidé à tout dire à sa femme plongée dans le coma. Comme lui, ceux qui fréquentent le café Funiculi Funicula espèrent y réparer le passé. Une tasse de café leur permettra de voyager dans le temps et d'adresser à l'absent le message d'amour qu'ils n'ont pas su formuler à l'époque. Ainsi, Hikari qui se sent coupable de n'avoir pas répondu à la demande en mariage de son petit ami, disparu depuis ; Michiko, hantée par le souvenir de son père qu'elle a rejeté ; Sunao, qui pleure son chien adoré ... Sauront-il dire au revoir à leurs aimés et, ce faisant, se réconcilier avec eux-mêmes ? Car pour honorer la mémoire des absents, il faut d'abord trouver la paix en soi.
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