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A Montréal, l'été fait irruption comme un danseur de rumba. Soudain, tout n'est plus que frou-frou et coton de couleurs vives, exhibition de cuisses et de peau luisante de sueur. Fête dionysiaque qui commence en juin et ne s'achève qu'en septembre

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Je ne méditais plus sur le type qui s'était fait sauter la cervelle. J'y avais pensé plus tôt. Pour l'instant, j'en rassemblais les morceaux.

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Fantastique! Quel mot formidable. Le même mot en anglais n'avait pas autant de force.

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- Regardez ça.

Ils sont venus me rejoindre.

- Tout est classé par sujet, dans l'ordre alphabétique... Puis dans chaque catégorie, par auteur et là encore par ordre alphabétique. Puis pour chaque auteur, par année de publication.

- Tout le monde ne fait pas ça?

Ryan et moi l'avons regardé. Bertrand ne lisait jamais.

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Pourquoi personne ne me prenait au sérieux ?

Pourquoi est-ce que je devenais vieille, mangeais des plats surgelés devant une télévision que je ne regardais même pas ? Quand Birdie est venu se nicher dans le creux de mes genoux, ce simple petit contact a déclenché les larmes que je retenais depuis ma conversation avec J.S. J’ai pleuré dans la taie d’oreiller que nous avions achetée à Charlotte avec Pete. Ou plutôt, que j’avais achetée pendant qu’il s’impatientait à côté de moi.

Pourquoi mon mariage avait-il échoué ?

Pourquoi est-ce que je dormais seule ? Pourquoi Katy était-elle si mécontente ? Pourquoi ma meilleure amie prenait-elle une fois de plus aussi peu d’égards pour moi ? Où était-elle ? Non. Il ne fallait pas penser à cela. Je ne sais pas combien de temps je suis restée ainsi éveillée, à ressentir le vide de ma vie, l’oreille tendue pour entendre la clé de Gabby tourner dans la serrure.

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— Les fantasmes réalisés par ces types sont incroyablement élaborés et spécifiques à chacun. Ils peuvent exiger des lieux donnés, une succession précise d’événements. Certains sadiques sexuels ont besoin de réactions particulières de leurs victimes, si bien qu’ils écrivent le script, obligent la victime à dire certaines choses, à accomplir certains actes, à porter certains vêtements. Mais Tempe, ces comportements ne concernent pas seulement les sadiques sexuels. Ils caractérisent un grand nombre de troubles de la personnalité. Ne te bloque pas dans l’optique d’un sadique sexuel.

Ce que tu dois chercher, c’est une signature, la Carte de visite que ton tueur est le seul à laisser. C’est comme ça que tu pourras le pincer, peu importe comment les psychiatres le classeront par la suite.

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— Je ne sais pas. Je ne sais vraiment pas. Il est possible que vous ayez raison. Quatre femmes assassinées en deux ans, découpées, démembrées ou les deux à la fois. Peut-être une cinquième. De possibles similitudes dans les mutilations. La pénétration avec des objets. Mais c’est tout. Jusqu’à présent, rien d’autre de commun. Peut-être que tout est lié. Peut-être que non. Peut-être qu’on a un wagon de sadiques en liberté qui opèrent séparément.

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— Je suis sérieux, Brennan. Cet enculé a de la bouillie pour chien dans le cerveau. Ce qui implique que vos petits numéros, c’est terminé. Sa remarque m’a exaspérée, et je n’avais déjà pas vraiment besoin qu’on me pousse dans cette voie. Je me trouvais vulnérable et dépendante, et j’avais horreur de ça. Il a écopé de mes frustrations.

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Une femme, âgée de vingt-quatre ans, a été retrouvée assassinée et affreusement mutilée hier après-midi à son domicile dans l’est de la ville. La victime a été identifiée comme Margaret Adkins, sans profession, mère d’un petit garçon de six ans. Mme Adkins avait parlé au téléphone avec son conjoint à 10 heures le matin même. Le corps, sauvagement battu et mutilé, a été retrouvé par sa sœur aux environs de midi. Selon la police, il n’y avait pas de signes d’effraction et on ignore toujours comment l’agresseur s’est introduit dans l’appartement. Une autopsie a été menée par le Dr LaManche au Laboratoire de médecine légale. Le Dr Temperance Brennan, une anthropologiste judiciaire américaine, spécialiste des lésions du squelette, a notamment examiné les ossements de la victime à la recherche d’éventuelles traces de couteau..

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Entre le creux des racines d’un peuplier blanc pointait le coin d’un autre sac. Des boutons d’or s’éparpillaient tout autour, lançant leurs pauvres vrilles à l’assaut des herbes folles. L’image de ces fleurs d’un jaune éclatant semblait sortie directement d’un livre de Beatrix Potter, leur fraîcheur contrastant brutalement avec ce que je devinais du contenu du sac.

Le pied de l’arbre était jonché de brindilles et de feuilles. Prenant appui d’une main, j’ai dégagé assez de plastique pour avoir une bonne prise, et j’ai tiré doucement. Cela n’a pas cédé d’un pouce.

J’ai enroulé le plastique autour de ma main et tiré plus fort. Le sac a bougé. Ce qu’il y avait dedans n’était pas léger.

Les insectes bourdonnaient autour de ma tête. La sueur dégoulinait le long de mon dos. Mon cœur tambourinait comme la batterie d’un orchestre d’heavy metal.

Encore une autre secousse et le sac est venu à moi. Je l’ai traîné assez loin pour regarder ce qu’il y avait dedans. Ou peut-être surtout pour l’éloigner des fleurs de Mme Potter.

J’avais peu de doutes sur ce qu’il renfermait. Lorsque j’ai dénoué le haut, l’odeur de putréfaction était suffocante. J’en ai déplié les bords et j’y ai plongé les yeux.

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