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Liste des extraits

- Ne bouge pas ,lâcha-t-il après une minute de silence.

- Tu fais mon portrait ?!

- Garde aussi la bouche fermée.

- C'est obligatoire pour me dessiner ?

- Non,mais je préfère quand tu la boucle.

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-Je ne te reluque pas Hulk... grognais-je en balançant mes jambes hors du lit.

Infirmière-super-jolie se poussa, suivie du sombre crétin.

-Comment elle m'a appelé?

-Hulk.

-Hulk ?!

-Oui, tu sais... le super héros qui se transforme en géant vert quand il pète les plombs.

On pouvait assassiner du regard?

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-oh, je voie. C'est donc pour mon bien que tu t envoies Barbies pruneau! ironisai-je

-Barbie pru...?

-Oui,elle me file la colique

Je ne m attendais pas du tout a cet enorme rire franc.

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"Tu pansais à moi ?" s'enquit-il avec une certaine lenteur.

Oh la ! Bas sign.

Je n'aimais pas du tout ce petite ton arrogant de mâle suffisant.

"Oui,mais tu sais,il m'arrive aussi de penser a mon dentiste,ça ne veut rien dire" répliquai-je.

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-Et toi,tu sais parler aux femmes !

-Femmes ? répéta-t-il avec un drôle de rictus.

Il prit son temps pour me détailler de la tête aux pieds,s'attardant un peu trop sur ma poitrine......assez inexistante.

Autant appeler un chat,un chat.

Ce qui me fît rougir.

-Ouais à vue d’œil t'es encore loin de ce qui se rapproche d'une femme....."Bébé" t'irait mieux.

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— Je t’ai marquée, lâcha Koran, comme si cela expliquait tout.

Je fus prise d’un fou rire hystérique.

— Oh, la belle affaire ! ironisai-je, en désignant sa tanière de la main.

Après avoir suivi des yeux mon geste, le méta reposa son regard sur moi. Une expression typiquement masculine tirait ses traits

— Bon sang ! Tu es jalouse de Gina alors tu te jettes dans les bras de cette sous-merde ?! Je te pensais plus intelligente…

— Koran, tu peux bien t’envoyer le club des majorettes, suivi de celui des bigotes en goguette, sans oublier celui du troisième âge au grand complet : je m’en contrefous ! L’important, là, ce n’est pas que j’ai vu Cahl, c’est qu’il a affirmé que mon père était en danger et être le seul à pouvoir m’aider… Vu cette discussion stérile, je dois avouer qu’il n’a pas tort ! criai-je, hors de moi.

La bouche du méta n’était plus qu’une mince ligne furieuse et ses prunelles deux lacs sombres.

— Cahl est un menteur. Manipuler les gens est pour lui aussi naturel que tuer, c’est pour dire. Il a compris, je ne sais comment que ton père est ta « corde sensible »…

— Il lit dans mon esprit. D’une certaine façon, tout comme toi ou Erwan, l’informai-je en retirant encore une sorte de satisfaction, surtout devant son visage décomposé.

— Impossible… chuchota-t-il, livide.

J’eus un sourire mauvais.

— Vu sa précision à suivre le déroulement de mes pensées et y répondre sans que je prononce un seul mot, je ne crois pas non. On fête ça au champagne ? Un troisième prétendant au « trône »… Faut marquer le coup, là.

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– C’est une mauviette qui a un balai coincé là où le soleil ne brille jamais. Ou alors il n’éprouvait rien de sincère envers toi.

– Dixit celui qui voulait forniquer avec une nana en imaginant le visage d’une autre ! fis-je, acerbe.

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Finalement je cédai à la tentation puis me retournai vers lui.

Il était presque allongé sur la table et je faillis carrément cogner mon nez contre le sien.

Mes yeux rencontrèrent ses prunelles.

Deux lacs sombres, brillants. Fascinants. Inquiétants.

Erwan esquissa un sourire langoureux avant de… m’embrasser ?!

Non.

Ce mec... ne venait-il pas encore de poser ses lèvres sur les miennes ?!

Qui plus est… en plein cours de maths et devant une vingtaine d’élèves ?!

Et moi, qui me laissais faire en espérant que ce baiser dure très longtemps ?!

Je devais rêver.

– Monsieur Granit ! l’interpella sévèrement Radom. Je vous prierai de tenir vos hormones en laisse dans ma classe. Et si cela vous est impossible, vous connaissez la sortie.

Comme pour la première fois sous le préau, Erwan prit son temps avant de s’écarter de moi.

J’étais aussi sonnée qu’un peu plus tôt dans la matinée.

Le coup de ballon sur mon crâne devait m'avoir sérieusement entamé les neurones.

– J’adore ton odeur, Bébé, ronronna Erwan. On dirait celle d’un petit chiot. C’est trognon.

Il fixa mes lèvres d’un regard indécent.

Le voyou se permit même de caresser ma mâchoire de l’index.

– Erwan s’est trouvé un nouveau joujou ! ricana Gina, depuis le fond de la classe.

– T’es jalouse parce que je suis le seul qui ne t’ait pas fait chanter à la lune, Gina ?

plaisanta le jeune homme sans la regarder.

La grande blonde cracha de fureur.

– Prends pas tes rêves pour la réalité !

Je rougis.

Nous avions attiré l’attention de tous les étudiants présents. Même le professeur ne pipait mot, avec une certaine lassitude, néanmoins.

– Oh, Bébé… Tu rougis ! T’es trop adorable ! Miam ! s’esclaffa Erwan.

Puis il se leva souplement.

– Vous avez raison, monsieur ! Je vais me tirer parce que je suis incapable de me tenir. Il serait fâcheux que je m’adonne à une séduction active à même ce bureau.

Excitant, certes. Mais je suis encore un gentleman.

Je rougis de nouveau sous l’insinuation.

Le voyou s’arrêta à mon niveau, me lécha la bouche d’un coup de langue puis s’en alla en sifflotant.

Sur le seuil de la porte, il fit une espèce de révérence théâtrale avec un chapeau imaginaire puis sortit sous les acclamations de quelques mâles.

C’était quoi ce bled de barjots dans lequel nous venions d’atterrir mon père et moi ?

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_ Est-elle jolie? ça doit être un sacré canon pour surpasser Gina, plaisantai-je.

Ce à quoi il rit aux éclats.

_ Si seulement cela ne dépendait que de cela! Hélas, le physique n'est pas ce qui te fait choisir ton âme sœur... Du moins, pas uniquement, précisa-t-il.

Je fis semblant d'être choquée.

_ Quoi? Ton âme sœur est un boudin?!

Koran me fixa intensément durant plusieurs secondes avant de reporter son attention sur la route.

_ Non, dit-il lentement. Elle n'est pas moche. Elle a juste cette beauté qui grandit à chaque fois que tu la regardes.

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J’allais reculer d’un pas, mais le méta de la meute Stanton resserra sa prise sur mes cheveux. Le tiraillement sur mon cuir chevelu me fit mal.

– Ne choisis pas trop vite ton mâle loup, petite métisse…

Cahl pencha légèrement son visage vers le mien jusqu’à ce que ses lèvres frôlent les miennes. Nos regards rivés l’un à l’autre, je pouvais quasiment compter chaque paillette d’or dans ses prunelles chaudes.

– Si tu es sage, je te laisserai entrer dans ma tête. Prouve-moi que tu es digne de confiance… souffla-t-il.

– Et si je n’en éprouve pas l'envie ? murmurai-je.

Le méta rit doucement.

– Tôt ou tard tu viendras vers moi, ce n’est qu’une question de temps.

– Jamais ! Cette fois-ci, il s'esclaffa franchement tout en s’écartant afin de regagner sa limousine.

– Ne serait-ce que pour sauver ton papa, ma petite métisse ! lança-t-il, joyeusement.

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