Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
761 991
Membres
1 201 496

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Tempus Mortuorum (L'ère des Morts) : Sweet Home (Tome 1)



Description ajoutée par JohanDuval 2015-10-28T21:20:13+01:00

Résumé

Selon le calendrier maya, la fin du monde était annoncée pour le 21 décembre 2012. Ce jour-là pourtant, rien de particulier n’était advenu et le monde avait continué d’exister. Plus de sept milliards d’êtres humains avaient ainsi fêté la nouvelle année.

Cependant, rien ni personne n’avait prévu le véritable fléau qui allait réellement survenir, un mois après cette effroyable prédiction. Un fléau que seule la fiction pouvait imaginer, un virus plus dangereux que tous ceux déjà connus. L’espèce humaine allait être foudroyée et une page de l’histoire de l’histoire de la vie sur terre allait se tourner le temps d’une nuit, laissant place à une aube nouvelle, où la mort n’est plus une fin.

La Rochelle, janvier 2013.

Je m’appelle Aidan Caplan. Simple quidam, je n’ai pas été préparé à tout ça, pourtant je vais devoir survivre par tous les moyens pour protéger les miens.

Afficher en entier

Classement en biblio - 10 lecteurs

extrait

« La Rochelle, rue du Rempart des Voiliers,

14h39

[…]

J’actionne la fermeture automatique de la Chevrolet et traverse la cour arborée de la copropriété en courant. Les outils du gardien traînent, abandonnés dans l’allée, mais je ne remarque rien d’anormal. Hormis les hurlements maintenant omniprésents des sirènes et les ronflements des hélicoptères tournant sur la ville, notre immeuble paraît plus ou moins calme. Mais dès lors que j’ouvre la porte en verre du hall d’entrée de notre bâtiment, les cris et le vacarme évoqués par Chloé agressent mes oreilles. Quatre à quatre, je gravis les marches des deux niveaux me séparant d’elle, et avant même d’approcher la clé de la serrure, la porte s’ouvre sur son visage inquiet. Elle referme à double tour derrière moi puis me saute au cou.

— Je t’ai vu par la fenêtre, je guettais ton arrivée depuis ton message.

La petite qu’elle garde, Margaux, s’accroche à la jambière de mon pantalon et me réclame un bisou que je lui donne rapidement. Chloé anticipe l’interrogation qui me vient concernant l’enfant :

— Sa mère m’a appelée pour savoir si tout allait bien. Elle m’a dit qu’elle venait la chercher dès que possible. Et j’ai envoyé un SMS à Zack mais il ne m’a toujours pas répondu, ça m’angoisse.

— S’il est en cours, il n’a pas pu te répondre. Ne t’inquiète pas.

— Comment veux-tu que je ne m’inquiète pas, tu as vu ce qu’il se passe dehors ? s’écrie-t-elle au bord de la crise de nerfs.

[…]

— Oui, j’ai vu ce qu’il se passe dehors……

— Ma mère a appelé, c’est pareil à Besançon.

— Elle va bien ?

— Oui mais elle est terrorisée, elle ne sait pas quoi faire.

— Je n’en sais pas plus…

Je pose mes affaires et me dirige vers les fenêtres. Par celle du petit salon qui donne sur l’entrée secondaire de la cour de la résidence je vois un Scénic de la police garé à cheval sur le trottoir dans le tournant, gyrophare en marche. La voiture est vide. Je retire mon blouson mouillé et le dépose sur le dossier d’une chaise contre le radiateur tout en scrutant le véhicule par la fenêtre.

— Ils sont arrivés il y a une heure environ, sont entrés dans l’immeuble du gardien et depuis plus rien, m’informe Chloé.

Je compose le numéro de David pour tenter de le joindre une dernière fois, mais une fois de plus confronté à son répondeur, je lui laisse un message lui demandant de me rappeler dès que possible.

— Qu’est-ce qu’on est censés faire ? me demande Chloé en étreignant ma main.

— Je ne sais pas, allumons la télé sur une chaîne d’informations.

Je n’ai pas besoin de zapper, la première chaîne sur laquelle nous tombons émet un flash spécial. Un bandeau rouge défile en bas de l’écran conseillant vivement à la population de rester chez elle, et la présentatrice commente d’un air grave les images diffusées en encart sur sa gauche. Des scènes effarantes provenant de chaque coin de l’hexagone mais également de l’étranger défilent, alternant bagarres, émeutes et pillages. Dans certains quartiers de grandes villes, des voitures et des immeubles sont en feu et toutes les forces d’intervention du pays semblent engagées sur le terrain.

Nous nous asseyons sur le canapé et demandons plusieurs fois à Margaux de faire moins de bruit. Chloé pose sa main sur le genou de ma jambe droite qui tressaute convulsivement puis presse ma cuisse tout aussi nerveusement.

La présentatrice porte la main à son oreille, recevant sans doute une nouvelle information qu’elle délivre aussitôt. Summum de l’horreur, on aurait rapporté plusieurs cas de cannibalisme sur le territoire.

La main de Chloé se crispe et je sens ses ongles à travers la toile de mon pantalon. Comme un flash, je revois les quatre hommes penchés au-dessus de celui qu’ils venaient de mettre à terre à force de coups. Je sens une boule se former dans mon ventre et l’appréhension grandit crescendo.

La présentatrice poursuit en ajoutant que le nombre des admissions aux urgences se multiplie de façon exponentielle, notamment pour des morsures humaines.

Chloé détourne la tête vers moi et je sens son regard peser sur mon visage.

— A quoi tu penses ? je lui demande d’une voix mal assurée.

— Je suis sûre que tu le sais mais que tu n’oses pas le dire…

Ce n’est pas que je n’ose pas le dire, je dirais plutôt que je n’ose pas y croire. Obnubilé par le flux d’images qu’on supposerait tout droit sorties des studios d’Hollywood, je n’arrive pas à lui répondre. A côté de nous, Margaux continue de s’agiter pour attirer notre attention.

[…]

Sur la table, le téléphone portable de Chloé vibre et elle se précipite pour y lire le message. C’est Zack qui lui répond, certainement entre deux cours. Mais le bref contenu de son texto est pour le moins étrange. Elle me montre l’écran, incrédule.

— C’est quoi « 302 » ? Qu’est-ce qu’il veut dire ?

Je me lève et me dirige vers le frigo sur lequel est affiché son emploi du temps.

— Je sais ! C’est le numéro de sa salle de cours, je lui réponds alors qu’elle me rejoint dans la cuisine.

— Mais pourquoi ?

— Je ne sais pas, tu lui avais dit quoi dans ton message ?

— Je lui demandais si tout allait bien. Tu crois qu’il a un souci ?

— Je vais aller le chercher… la rassuré-je en la prenant dans mes bras. Ne t’inquiète pas bébé ! Dis lui que j’arrive.

Je récupère mon blouson encore trempé contre le radiateur. J’ai toujours, dans la poche zippée de la jambe droite de mon pantalon, ce tournevis qu’à présent, j’en ai l’intime conviction, je n’arriverai plus à utiliser comme avant, pour ouvrir des coffrets de compteurs.

Au bord des larmes, Chloé me suit comme mon ombre en ne cessant de répéter qu’elle n’aurait jamais dû le laisser retourner en cours après les infos de treize heures. Tombant directement sur sa messagerie, elle lui envoie, les mains tremblantes, un autre SMS pour le prévenir de mon arrivée.

— Tu ne pouvais pas deviner bébé. Arrête de culpabiliser. Je vais le chercher et on revient tout de suite, d’accord ? En attendant, tu n’ouvres à personne.

— Et la mère de Margaux ?

J’hésite une seconde…

— On sera rentrés avant.

Mon assurance me surprend moi-même. Une fois encore, mon corps semble agir de lui-même, ne laissant que peu de place à l’indécision et à l’incertitude dans mon esprit. Je pose sur elle un regard empreint d’une confiance aveugle. Je lui souris comme un gamin devant le cadeau de ses rêves au matin de Noël et lui caresse la joue avant de l’embrasser fougueusement.

En cet instant précis, la peur, qui quelques minutes auparavant me tenaillait encore les entrailles et me faisait trembler comme une feuille, se dissipe peu à peu. Si je frissonne, c’est d’une nervosité toute nouvelle, à la limite de l’excitation. Il suffisait de mettre un mot, aussi absurde ou alarmant soit-il, sur ce qui nous angoisse pour considérer la situation avec plus de calme et de sérénité. L’inconnu étant bien souvent plus terrifiant que la plus sordide des vérités.

J’ai une certitude en tournant le verrou. Lorsque je franchirai cette porte et me retrouverai dehors, je ne serai moi-même quelque part plus tout à fait le même, comme tous ces pauvres gens qui ont perdu pied pour je ne sais quelle raison. Et personne n’en sortira indemne. A partir de maintenant, je pense être convaincu que le monde a changé et qu’il ne sera désormais plus jamais comme avant.

Après un dernier baiser sur les lèvres que Chloé se mord de stress, je m’élance dans les escaliers. En sortant de l’immeuble je me retourne, comme à chaque fois, et lève les yeux vers la fenêtre de la cuisine d’où me regarde, comme à chaque fois, la femme que j’aime. Nous nous faisons un signe de la main et je cours jusqu’à la voiture, rabattant ma capuche sur ma tête. »

Afficher en entier

Ajoutez votre commentaire

Ajoutez votre commentaire

Commentaires récents

Argent

Bon petit bouquin qui se laisse assez facilement lire.

Afficher en entier
Diamant

Tempus Mortuorum, c’est l’histoire d’une famille lambda qui va vivre la fin du monde. L’intrigue prend place à La Rochelle, en Charente Maritime. Aindan bosse à l’agence ERDF et quand il arrive ce jour-là, ses collègues parlent de clients énervés, prêts à en venir aux mains. Rien de très suspect jusque-là, mais quand les hélicos, la police et les ambulances sont tous de sortie, c’est que quelque chose cloche. Les gens passent de énervés à tueurs sanguinaires, et Aindan décide alors de retrouver vite sa famille.

Les jours passent, les personnes meurent, reviennent à la vie et mangent les vivants. Pas de doute, nous sommes en pleine apocalypse zombie ! Aidan et sa famille vont devoir survivre dans ce monde impitoyable. Ils commencent par essayer de trouver des voisins dans leurs immeubles pour rassembler des forces, puis entasser les vivres. S’ils arrivent à faire tout cela, ce serait déjà pas mal, mais c’est sans compter la folie humaine de ceux qui restent. Les zombies ne sont pas les seuls à être dangereux…

Johan Duval pose l’intrigue de Tempus Mortuorum assez rapidement, nous permettant de plonger dans cette histoire incroyable dès les premières pages. Ses personnages, des humains lambda et non des héros nés, sont une vraie bouffée d’air frais dans ce genre littéraire. Ils sont tous très bien travaillés et font vrai. Les émotions sont elles aussi réalistes, les descriptions détaillées mais pas trop (pour ne pas nous perdre), et le suspense est au rendez-vous.

Le gros plus pour moi, bien sûr, est que l’histoire se déroule à La Rochelle, ma ville. On passe par différents quartiers, on va au centre-ville, on s’éloigne très légèrement dans les villes voisines et on termine au pont de l’île de ré. Nos belles rues sont devenues rouge sang, les véhicules s’entassent, les armées de zombies aussi. Et c’est génial !

Sweet Home n’est que le premier tome et pourtant… il s’en passe des choses ! C’est là le point fort de Johan Duval. Il arrive à faire monter la pression et à faire vivre des choses horribles, mais nécessaires, à son personnage principal. L’action est bien là et les multiples intrigues vous tiennent en haleine. On termine le livre dans un suspense incroyable et on réalise que le second volet se déroulera à l’île de ré.

C’est un petit coup de cœur pour moi. J’en ai lu beaucoup des livres de zombies et celui-ci fait partie de mes préférés. L’intrigue a beau être « basique » puisqu’il s’agit d’une apocalypse zombie, elle n’en reste pas moins très bien articulée. L’écriture de Johan Duval est fluide, ses personnages réalistes, les rebondissements sont très intéressants et le lecteur reste captivé jusqu’à la toute fin. Si ce n’est pas là le signe d’un vrai petit bijou livresque, qu’est-ce que c’est ?

Chronique : https://didiconseils.wordpress.com/2022/08/24/des-zombies-a-la-rochelle/

Afficher en entier
Diamant

Absolument génial

Afficher en entier
Argent

Classique mais bien écrit. Le point fort c'est le vécu en temps réel à la première personne. On peut même imaginer une suite au vu du final ;)

Afficher en entier
Lu aussi

On connait tous ces histoires assez classiques, depuis quelques années, de zombies. Entre les séries, les BD et les romans, le sujet se fait une belle place, dans notre quotidien.

Je suis la première à me « jeter » littéralement dessus, sans même, parfois explorer plus avant la dite intrigue. Je suis une fana du genre. « Walking Dead » est LA référence, en terme de série. En film, j’adore « War World Z » et « Je suis une légende ».

Pour ce qui est de livres, j’en ai lu pas mal, mais ceux que j’ai le plus appréciés : « Je suis une légende » de Richard Matheson et « L’homme des morts » de V.M. Zito.

Du coup, quand je tombe sur un livre auto édite, dont l’intrigue fait référence aux zombies, j’achète…Je me doutais bien que l’intrigue ne serait pas beaucoup plus différente de ce que je connaissais déjà, donc j’attendais l’auteur sur le fond et sur sa manière d’appréhender le récit et de planter les différents points, personnages… Et je voulais surtout qu’il me fasse vibrer avec l’exploration de l’être humain, car même si les morts-vivants sont effrayants, face à la menace, l’Homme l’est plus…

L’auteur nous raconte donc en temps réel l’évolution de l’épidémie mais surtout l’organisation d’une poignée d’individus, à travers Dan qui se retrouve face à une situation qui le dépasse et tente de protéger sa famille et les habitants de son immeuble.

J’ai retrouvé beaucoup de référence à «Walking Dead» et c’est vraiment ce qui parfois m’a dérangé au niveau de l’intrigue… Un groupe de méchants qui veut assujettir les plus faibles… Je sais que c’est récurrent, lorsque l’on parle de zombies, mais on sent la grande inspiration et influence de cette série, dont l’auteur n’a pas réussi, à mon sens, à s’affranchir…

Même si j’ai pris plaisir à lire, je n’ai pas été transportée, ni étonnée, je lisais ce que je connaissais, sans surprise mais sans pour autant avoir envie d’arrêter ma lecture.

Même si l’intrigue est assez commune, elle fait son boulot. Les connaisseurs et les fanas du genre, seront malgré tout vite lassés, surtout que l’auteur nous embarque pour un voyage sur 502 pages !

502 pages, qui auraient pu être plus courtes et même si au départ on se prend vite au jeu et qu’on se dit chouette, l’auteur envisage un second tome...

On se lasse des longueurs, répétitions, tournures maladroites. Je me suis carrément sentie au bord du précipice au vu de certaines tournures (demandé-je, crié-je, la rassuré-je) dont l’auteur abuse…

Plus j’avançais dans ma lecture et plus je désespérais de la terminer… Plus j’avançais, plus j’avais hâte de passer à autre chose…Pourquoi le continuer, me direz-vous ? Parce que ce bouquin me faisait "kiffer" depuis sa sortie en 2015 et que du coup j'en étais frustrée ! Donc frustration pour frustration, autant l’être jusqu’au bout et vous faire partager mon ressenti… Même si certains s’en fichent pas mal…

Afficher en entier
Diamant

Merci Kyleblue pour votre petit mot ! A savoir que Tempus Mortuorum est dispo sur Amazon, à l'espace culturel de Lagord (17) et Cultura Beaulieu (17), mais également en me contactant directement via les réseaux sociaux. Je me ferais d'ailleurs un plaisir de discuter directement avec les lecteurs ! N'hésitez pas à me faire des "coucou-commentaires" au gré de votre lecture ! A très bientôt ! Amitiés ! Johan

Afficher en entier

Rencontré lors d'une dédicace à Lagord je verrai si le livre va m'accrocher. L'auteur est très sympathique en tout cas.

J'attend que mon amis amateur de zombie le lise avant de le lire a mon tour.

Pour l'instant les avis sont positif je vois. :)

Dispo en achat que sur Amazon apparemment d'après, les liens ci-dessus, de la page.

Afficher en entier
Argent

C'est l'histoire classique d'une pandémie fulgurante d'origine inconnue qui transforme les êtres humains en zombie, d'un groupe de survivants qui doit trouver comment survivre face à cette marée de morts-vivants et face à la menace toute aussi effrayante qu'est l'Homme.

C'est classique mais efficace et ça fonctionne plutôt bien, mis à part quelques petites longueurs.

Racontée en temps réel, on suit l'évolution de cette épidémie en même temps que Dan, le narrateur, un héros ordinaire qui se retrouve confronté à une situation extraordinaire. C'est bien écrit, avec quelques références contemporaines qui nous rapproche encore plus de Dan et l'angoisse est au rendez-vous.

Encore un auteur qui n'a pas à rougir face à ses confrères anglo-saxons.

J'espère maintenant que le T2 ne se fera plus trop attendre.

Afficher en entier
Diamant

La version numérique de Tempus Mortuorum est actuellement en promotion 3€ au lieu de 6€ sur Amazon et ce jusqu'au 31 janvier inclus ! Profitez-en pour vous laisser tenter !

http://www.amazon.fr/Tempus-Mortuorum-L%C3%A8re-Morts-Sweet-ebook/dp/B016TAVXLY/ref=sr_1_2?ie=UTF8&qid=1453750231&sr=8-2&keywords=tempus+mortuorum+sweet+home

Afficher en entier

Activité récente

Évaluations

Editeurs

Les chiffres

lecteurs 10
Commentaires 12
extraits 1
Evaluations 8
Note globale 7.63 / 10