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Liste des commentaires

Commentaire ajouté par Iludhara 2023-08-15T16:18:56+02:00
Lu aussi

Dur dur dans un roman si court que de s'ennuyer, et pourtant le début m'a bien donnée envie de laisser tomber et de faire passer le livre à mon voisin. Héro paumé, plat, presque insipide et histoire qui peine à se lancer en plus d'un cynisme appliqué à toute chose... Je ne rentre pas dedans.

Et pourtant, il y a quelque chose qui marche et qui marche même drôlement bien dans cette retraite de chasseurs tous inconnus de notre protagoniste, dans cette nature étouffante et dangereuse et pourtant belle, dans ces longues routes isolées et ces quelques bicoques esseulées.

J'aurais voulu que le même soin soit appliqué au personnage principal, à ces moments d'épiphanie comme à son enquête et aux révélations qui suivent. Dommage que le bât blesse de ce côté-ci. Pas de quoi être convaincue, du coup, mais je retiens le nom de l'auteur et je ne manquerai pas de le suivre dans des romans plus axés nature-writting !

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Commentaire ajouté par NajaZi 2020-09-08T15:53:38+02:00
Argent

Un cauchemar blanc

David, « écrivain-nègre » de métier, écrit un livre pour le gouverneur Kearny. Avant de boucler le livre, il est convié à rencontrer Dick Karlson, un célèbre alpiniste et ami du gouverneur. Dès le départ, David trouve Dick imbu de lui-même et abject. Il décide d’expédier au plus vite cette rencontre pour s’éloigner de ce personnage mégalomane. Bien sûr, rien ne va se passer comme prévu….

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Commentaire ajouté par Irene-Adler 2020-08-17T21:44:57+02:00
Argent

Aux premiers abords, David McCae, écrivain new-yorkais, ne donne pas envie d'aller boire un verre en sa compagnie.

Il est sans saveur, n'aime que la ville, rechigne à aller en Alaska (on ne peut pas lui en vouloir pour ça).

David est un personnage sans relief, plat, édulcoré. C'est ballot parce que ça donne envie de déposer le livre et d'aller voir ailleurs.

Comme son roman "Denali" (lu il y a 1 an pile-poil) m'avait emporté, j'ai persévéré, sans savoir où le roman allait n'emmener puisque je n'avais pas été lire le résumé.

Heureux les lecteurs/trices persévérant(e)s, ils/elles seront récompensés !

Alors que David continuait de me courir sur le haricot, j'ai commencé à m'intéresser au récit et quand il a basculé totalement, il m'était impossible d'en ressortir et je suis allée jusqu'au bout d'une seule traite.

Quand une interview vire au cauchemar et se transforme en récit de survie, ça vous change un homme et le David va en sortir transfiguré. Mais seul, horriblement seul contre tout le reste puisque personne ne le croit.

Il lui faudra encore quelques embrouilles pour sortir vraiment de sa coquille et comprendre ses erreurs et puis tenter de les réparer.

Ce roman, c'est la renaissance d'un homme après un séjour sur une terre sauvage, brutale, froide, hostile où la Nature est toute puissante et les ours aussi. Pourtant, même en rogne, un ours sera toujours moins démoniaque qu'un humain quand ce dernier a décidé que vous le gêniez et que vous deviez avoir une bonne leçon.

L'inconvénient c'est que la transformation de David le-sans-saveur en David attaquant-le-Goliath-machiavélique va un peu trop vite et que cela pose la question de la vraisemblance. Dans la vie réelle, on ne galérerait bien plus longtemps et nous n'aurions pas fini de ramer. David devait avoir la baraka collée à ses basques.

Au moins, je ne pourrai pas me plaindre que le récit était trop long et qu'on a fait durer le plaisir juste pour avoir des pages de plus.

Le juste milieu qui satisfait les lecteurs n'est pas facile à atteindre et si je me permets de juger, je ne sais pas ce que je ferais, moi, à la place de l'auteur, pour rester dans le réalisme. Sans doute pire…

Un roman policier qui commence platement, avec un personnage sans saveur et qui explose à un moment donné en un roman de survie, d'aventure, de nature writing, en quête de la vérité, en forme de rédemption tout en essayant de reprendre le contrôle de sa vie qui est en train de changer de manière irrémédiable.

Malgré mon bémol sur la vraisemblance du récit et sa rapidité, c'était un bon moment de lecture, même si ce roman n'arrive pas à la cheville de "Denali" au niveau de l'intensité des émotions et de la narration.

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Commentaire ajouté par Cornelie 2020-08-09T20:30:38+02:00
Or

Il faut s'accrocher car le début peut sembler long, mais nous entraîne de façon subtile en Alaska, où bientôt va débuter une chasse à l'homme dont le héros ne sortira pas indemne.

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Commentaire ajouté par Cornelie 2020-08-09T20:27:23+02:00
Or

Sincèrement touchée par ce polar qui se déroule presque entièrement dans un milieu hostile, sauvage et inhospitalier. Le héros le découvre bien malgré lui. Citadin tranquille, il part en Alaska à la rencontre d'un alpiniste chevronné pour l'interviewer. Tout ne se passe pas aussi bien qu'il l'aurait voulu. Il est confronté au climat, rude et âpre, et aux hommes de cette contrée, qui le sont tout autant.

J'ai particulièrement apprécié la fin.

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Commentaire ajouté par F-D-L 2020-06-11T14:44:27+02:00
Pas apprécié

Longtemps, je me suis astreint à terminer tous les livres dont je commençais la lecture ; j’y ai renoncé depuis.

C’est ce qui vient de se produire, à la quarantième page du livre « Terres fauves » de Patrice Gain. C’est au dessus de mes forces que de lire du « sous Sylvain Tesson », ; mais quel ennui ; sans saveur, ni odeur, insipide au possible.

Peut-être que je laisse passer un roman exceptionnel, mais je n’ai plus envie d’attendre le milieu d’un livre pour trouver un éventuel intérêt à celui-ci.

Michel.

https://fureur-de-lire.blogspot.com

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Commentaire ajouté par Julie-176 2020-05-31T13:39:14+02:00
Lu aussi

Grâce au Grand Prix des Lectrices Elle, j’ai lu le livre « Dans la gueule de l’ours » de James McLaughlin (vous pouvez retrouver ma chronique sur le blog si cela vous intéresse) et ainsi découvert un genre littéraire, encore peu connu, le nature-writing. « Terres fauves » est un digne représentant de ce genre, je trouve.

Même s’il est classé dans la catégorie « polar », comme le nom de ce genre l’indique, la nature occupe une place prédominante dans le récit et détient à elle seule le rôle d’un personnage. Patrice Gain nous emmène en Alaska, où il nous livre de nombreuses descriptions de cet environnement encore sauvage.

David McCae est écrivain à New York et termine son dernier livre sur les mémoires du gouverneur de l’Etat de New York, candidat à sa réélection. Afin de compléter son manuscrit, il doit rencontrer un célèbre alpiniste, proche dudit gouverneur et ce, dans les terres reculées de l’Alaska. Alors que son séjour ne se passe pas vraiment comme prévu, il se retrouve seul, isolé de toute population et doit alors apprendre à survivre.

Son personnage principal, l’écrivain David McCae est l’anti-héros par excellence car suite à la rupture avec sa compagne, il est rempli de doute et est au début de l’histoire, assez inconséquent. Par la situation dans laquelle il se trouve et au fil des pages, il doit puiser au fond de lui-même et c’est alors qu’il se révèle dans cette ambiance oppressante.

J’ai trouvé que le côté « roman noir » est mis un brin de côté par rapport à tout ce qui entoure le nature-writing. C’est un peu dommage que l’enquête en elle-même n’est pas plus abordée et laissée un peu pour compte. J’aurais aimé que cela soit plus approfondi. J’ai envie de mettre cela sur le fait qu’il ne s’agit que du troisième ouvrage de l’auteur et qu’au fil de ses écrits, cela pourra être mieux ciselé.

Malgré cette petite entorse, Patrice Gain a su me faire croire à son récit, tout lecteur pourrait d’ailleurs penser qu’il a été écrit par un auteur anglo-saxon. J’ai aimé la façon dont l’auteur décrivait ses paysages si inhospitaliers mais pourtant si envoûtants. C’est une réelle invitation à la découverte de cet état des Etats-Unis que Patrice Gain nous fait, même si son côté hostile est mis en exergue.

Je ne connaissais pas du tout ce bouquin avant le Prix des Lecteurs mais encore une fois, ce fut une plaisante découverte.

Lu dans le cadre du Prix des Lecteurs 2020 des éditions du Livre de Poche, présélectionné pour le mois de mai.

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Commentaire ajouté par Root 2020-05-26T14:37:26+02:00
Lu aussi

Fraîchement plaqué par sa femme, David McCae n’a envie de rien, et surtout pas d’écrire le fichu bouquin du gouverneur. Fichu bouquin qui exige qu’il se rende en Alaska – on se plaindrait de moins – pour s’entretenir avec un « ami » du gouverneur Andrew Kearny, un alpiniste de renom qui l’aiderait à enjoliver les mémoires du sieur Kearny qui souhaite redorer son blason à l’approche de la présidentielle. Son éditeur ne voulant rien savoir, David prend sur lui et s’exile pour rencontrer Dick Carlson, qui s’avère aussi accueillant que le paysage. Porté sur la bouteille et les femmes (ses troisièmes noces se sont achevées comme les deux précédentes), Carlson semble ne pas pouvoir s’empêcher d’être odieux. Grossier, sans gêne, il est toutefois loquace, et David pourrait en découvrir plus que ce qu’il est venu chercher…

Résigné à faire ce qu’on lui demande, David accepte de se rendre à Ravencroft, un morceau de terre isolé par les eaux et accessible uniquement en hélicoptère, pour recueillir les confessions du vieil homme. Sauf qu’au lieu de retrouver Dick Carlson comme il le pensait, David est abandonné là sans moyen de communiquer avec la civilisation ni de la regagner. Dans une nature hostile sous le joug du règne animal, il va devoir lutter pour sa survie, et il est difficile de prédire qui sortira gagnant de ce combat…

L’atmosphère est oppressante dès le début. Le moral en berne du héros, taciturne et défaitiste, commence à planter le décor. Généralement, c’est le genre de personnage qui me plaît, et David McCae n’a pas fait exception à la règle. J’ai donc apprécié la première partie du roman, particulièrement sa rencontre avec le détestable Dick Carlson. Dans le rôle de l’antagoniste, l’alpiniste est plutôt bon et l’ambiance froide, sombre, brutale soutient son acrimonie. Aurais-je trop espéré de ce duo ? L’enchaînement d’événements dramatiques peu vraisemblables et trop prévisibles dessert l’intérêt que présentaient les personnages. L’extrême des situations gomme la dimension psychologique que j’aurais aimé voir creusée, et point alors ce que tout lecteur redoute : la lassitude. C’est toute une part du récit qui s’essouffle pour laisser place à l’aventure seule, qui n’a pas suffi à combler mes attentes. Ai-je été induite en erreur par le résumé ? Terres fauves semble diviser, et je vous souhaite de lui trouver les qualités que peut-être, je n’ai pas su apprécier.

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Commentaire ajouté par lilyanne 2019-03-15T21:38:25+01:00
Or

Intense c'est le mot qui décrit le mieux ce livre. A découvrir

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