Ajouter un extrait
Liste des extraits
Je ne voulais pas que tu t’inquiètes, dit-il sur la défensive. Hunter... s’est dit qu’il fallait mieux que je t’en parle en personne, ajouta-t-il.
— Oh, oui, c’est ce qu’il a fait, hein ? Et toi, tu as pensé qu'attendre une heure avant ton départ était la meilleure manière de m’annoncer la nouvelle ? Où pars-tu ? Pendant combien de temps demeureras-tu absent ? Que suis-je censée faire pendant ton absence ? Ah ! Je n’arrive pas à croire que tu aies attendu une heure avant ton départ pour me dire tout ceci ! gronda-t-elle avec colère.
Saber se tourna et la regarda prudemment tandis qu’elle le contournait pour sortir dans le jardin d’un pas lourd. Poussant un soupir, il la suivit. Il se gratta la poitrine quand il la vit lever la main et se frotter impatiemment la joue.
— J’aurais dû t'en parler plus tôt, admit-il. C'est juste que... je n’avais pas envie que cela t’empêche de venir.
Taylor renifla et lui lança un regard noir.
— Je vais peindre ta maison en rose pendant ton absence, dit-elle.
Un air de dégoût passa sur le visage de Saber.
— En rose ? répéta-t-il avec une expression incrédule.
— L’intérieur et l'extérieur, répondit-elle avec un hochement de tête rebelle.
— Ah, Taylor, je croyais que nous étions d'accord pour utiliser des couleurs plus naturelles, lui rappela-t-il.
— Je vais aussi apprendre à coudre et j’accrocherai des rideaux de dentelle aux fenêtres, ajouta-t-elle, lui adressant un regard perçant.
Saber déglutit.
— Les fenêtres s'assombrissent déjà automatiquement. D’ailleurs, je ne pense pas que la dentelle couvre assez... Cela dit, si c’est ce que tu désires, je pense qu’on peut les installer, s’empressa-t-il d’ajouter lorsque ses lèvres se pincèrent.
— Je crois que des nains de jardin seraient d’un bel effet, énonça-t-elle.
Je ne voulais pas que tu t’inquiètes, dit-il sur la défensive. Hunter... s’est dit qu’il fallait mieux que je t’en parle en personne, ajouta-t-il.
— Oh, oui, c’est ce qu’il a fait, hein ? Et toi, tu as pensé qu'attendre une heure avant ton départ était la meilleure manière de m’annoncer la nouvelle ? Où pars-tu ? Pendant combien de temps demeureras-tu absent ? Que suis-je censée faire pendant ton absence ? Ah ! Je n’arrive pas à croire que tu aies attendu une heure avant ton départ pour me dire tout ceci ! gronda-t-elle avec colère.
Saber se tourna et la regarda prudemment tandis qu’elle le contournait pour sortir dans le jardin d’un pas lourd. Poussant un soupir, il la suivit. Il se gratta la poitrine quand il la vit lever la main et se frotter impatiemment la joue.
— J’aurais dû t'en parler plus tôt, admit-il. C'est juste que... je n’avais pas envie que cela t’empêche de venir.
Taylor renifla et lui lança un regard noir.
— Je vais peindre ta maison en rose pendant ton absence, dit-elle.
Un air de dégoût passa sur le visage de Saber.
— En rose ? répéta-t-il avec une expression incrédule.
— L’intérieur et l'extérieur, répondit-elle avec un hochement de tête rebelle.
— Ah, Taylor, je croyais que nous étions d'accord pour utiliser des couleurs plus naturelles, lui rappela-t-il.
— Je vais aussi apprendre à coudre et j’accrocherai des rideaux de dentelle aux fenêtres, ajouta-t-elle, lui adressant un regard perçant.
Saber déglutit.
— Les fenêtres s'assombrissent déjà automatiquement. D’ailleurs, je ne pense pas que la dentelle couvre assez... Cela dit, si c’est ce que tu désires, je pense qu’on peut les installer, s’empressa-t-il d’ajouter lorsque ses lèvres se pincèrent.
— Je crois que des nains de jardin seraient d’un bel effet, énonça-t-elle.
Afficher en entierTaylor demeura figée contre le mur. Elle espérait que le garde n'allait pas se tourner et s’engager dans le petit couloir où elle s'était dissimulée dès qu’elle l’avait entendu arriver. Elle frissonna, espérant également qu’il n’y avait pas de petites bêtes effrayantes qui se dissimulaient avec elle dans l’étroit passage.
Elle était épuisée, mais la peur lui donnait la force de continuer. Il lui avait fallu une bonne heure, voire plus, pour sortir de la tour inférieure. Jusque-là, aucun de ses ravisseurs ne semblait d’être rendu compte qu’elle s’était échappée. Il leur suffirait de jeter un œil au toit de la petite tour pour supposer qu’elle avait fait une chute mortelle !
Afficher en entier