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True power can't be taken.
Afficher en entierEt si, depuis le début, je ne me battais pas contre Cardan ? Et si je me battais contre moi-même ?
Afficher en entierMontre ta puissance en paraissant impuissante.
Afficher en entiercontrairement à ce que j'attendais, cardan ne semble pas inquiet du tout.
il le devient quand je pose mes lèvres sur les siennes.
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Afficher en entierJe suppose qu’elle avait beaucoup à perdre.
Moi aussi, j’ai beaucoup à perdre.
Et alors ?
Afficher en entier"La vie des mortels n'est qu'un long simulacre ! Si vous n'étiez pas capable de vous mentir à vous-mêmes, vous vous trancheriez la gorge pour abréger votre misère."
- Valerian
Afficher en entierSubitement, je réalise qu'il ne m'accorde pas de sursis. Il ne m'a pas libérée parce qu'il veut m'épargner. Il veut que je me poignarde volontairement. Que je lui prouve ma dévotion par le sang. Il pourrait de nouveau m'ensorceler, mais il ne le fera pas. J'hésite. Bien sûr que j'hésite. Tout ceci est absurde. Affreux. Ce n'est pas ainsi qu'on prouve sa loyauté. Ça n'a pas de sens.
Afficher en entierThey talk about honor, but what they really care about is power
Afficher en entier- On m’appelle le Cafard, se présente-t-il d’une voix mélodieuse qui contraste avec son apparence.
Il s’incline puis penche la tête vers Dain.
- À son service, poursuit-il. Comme toi, j’imagine. Tu es la nouvelle, c’est ça ?
Je confirme d’un signe de tête et lui demande :
- Il faut que je te dise mon nom, ou est-ce que je dois me creuser la tête pour trouver un bon pseudonyme ?
Le Cafard sourit, ce qui l’enlaidit encore plus.
- Je dois t’emmener faire la connaissance de la troupe. Ne t’en fais pas pour ton surnom. C’est nous qui te l’attribuerons. Tu crois vraiment qu’une personne saine d’esprit aurait voulu qu’on l’appelle le Cafard ?
- Génial, dis-je avant de soupirer.
Afficher en entierDepuis que je suis rentrée à la maison, chancelante et en sous-vêtements, je m'efforce d'étouffer mes sentiments au sujet de ce qui s'est passé.
Si je commence à m'écouter, j'ai peur de ne pas le supporter. J'ai peur que l'émotion soit une vague qui m'entraîne vers le fond.
Ce n'est pas la première expérience pénible que j'ai endurée et que je relègue loin de mon cerveau. Cest ma façon de tenir. S'il y en a une autre, je ne la connais pas.
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