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Extrait ajouté par azilishr 2022-04-05T22:16:19+02:00

Et s'il nous fallait vraiment prier?

Non. Il s'est trompé pour les monstres, il se trompé là encore. Il tente de me contrôler avec sa fichue religion.

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Extrait ajouté par leclipsa 2018-08-25T22:57:04+02:00

Il faisait chaud dans le cercueil. Maintenant que j’en ai brisé le couvercle, que je suis sortie de ma coquille, je me retrouve prostrée dans une pièce glacée, secouée de frissons. J’ai triomphé du piège, c’est vrai, mais je n’en suis pas moins seule, épuisée et pétrifiée par la peur. Où sont mes parents ? Pourquoi ne sont-ils pas ici avec moi ? Et d’ailleurs, où suis-je, exactement ? Je ne reconnais pas les odeurs qui flottent autour de moi. L’air est sec, vicié, même. L’endroit sent… la mort.

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Extrait ajouté par leclipsa 2018-08-25T22:56:25+02:00

Soudain retentit le cri déchirant du métal qui se tord et cède sous la pression. Le combat enfin terminé, le couvercle qui m’a tant résisté ressemble à une coquille brisée : aussitôt, je me redresse, je suis debout, je suis dehors… Et je tombe. Mon atterrissage, brutal, soulève un lourd nuage vaporeux, une épaisse poussière que mes poumons avides inspirent à grandes bouffées. D’abord, le sol ondule et tangue autour de moi. Il y a de la lumière partout, si éclatante qu’elle me brûle les prunelles malgré mes paupières closes.

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Extrait ajouté par leclipsa 2018-08-25T22:54:46+02:00

une étincelle de rage s’embrase en moi, me fait oublier la souffrance, me donne la force de redoubler d’efforts. Je tire, je pousse, je soulève, je tords… Je refuse de baisser les bras. Je concentre toute mon énergie sur ma main droite : tu peux le faire, vas-y ! La peau de mon poignet se déchire contre le métal rugueux –tant pis, je dois absolument me dégager ! Tire, pousse, tord, arrache, plus fort, toujours plus fort jusqu’à en secouer le cercueil lui-même.

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Extrait ajouté par leclipsa 2018-08-25T22:51:20+02:00

Pas âme qui vive pour me répondre. Je hurle à m’en déchirer la gorge. Quelqu’un m’a forcément entendue, on va me venir en aide ! J’attends. Toujours pas le moindre bruit. Quand je finis par essayer de relever la tête, mon front heurte une surface solide. Voilà pourquoi ma voix sonnait si étrangement : une planche est placée juste devant mon visage ! Non, pas une planche… un couvercle ! Je tâtonne : sous moi et de chaque côté de mon corps, une espèce de capitonnage. Je suis dans un… Oh non, non, non… Suis-je dans un cercueil ?

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Extrait ajouté par leclipsa 2018-08-25T22:50:14+02:00

Un éclair de douleur me réveille en sursaut. La vive souffrance disparaît aussi vite qu’elle est apparue, sous la forme d’une violente piqûre à la base du cou. Aurais-je été mordue ? Non… ce n’était qu’un rêve. Un cauchemar, peut-être.

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Extrait ajouté par Jolin 2016-11-07T20:55:49+01:00

Depuis que je suis réveillée, j'ai du mal à contrôler mes émotions. Une seconde, je suis heureuse, souriante, et la suivante, tristesse, paranoïa et envies de meurtre prennent le dessus. Je n'étais pas ainsi avant, j'en suis persuadée.

PAGE 318

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Extrait ajouté par ilovelire 2016-02-27T01:31:59+01:00

Nous sommes les Renaissants.

Nous sommes en route pour Omeyocan.

Nous volons.

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Extrait ajouté par ilovelire 2016-02-27T01:29:53+01:00

Autour de moi s'alignent bout à bout onze autres cercueils, disposés en deux rangées parallèles séparées par une longue allée recouverte d'un gris lisse et intact. L'épaisse couche de poussière qui enveloppe les sarcophages camoufle les angles et aplanit les reliefs.

Je me trouvais dans le dernier cercueil de la rangée de gauche. Tous les détails m'apparaissent soudain clairement : la tombe s'orne de gravures complexes qui représentent des hommes au large nez et coiffés d'énormes couvre-chefs primitifs. Des pyramides trapues aux milliers de marches côtoient des versions simplifiées du soleil et des chats gigantesques aux yeux disproportionnés, dont les babines retroussées dévoilent des gueules pleines de crocs.

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Extrait ajouté par ilovelire 2016-02-27T01:29:42+01:00

Je jette un coup d'œil à ma tenue : chemise blanche à col boutonné, jupe courte en tweed noir et rouge, chaussettes noires qui me montent jusqu'en haut des mollets. Pas de chaussures. Je me sens à l'étroit dans mon corsage, dont les manches s'arrêtent à peu près au milieu des avant-bras. La cravate, rouge, s'orne de fines broderies : de petits symboles jaunes et noirs brodés en cercle, au milieu duquel est cousu à l'aide de fil blanc le mot « MICTLAN ».

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