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Liste des commentaires

Diamant

Ce roman va bien au-delà de la catégorie diamant. Il mérite une place spéciale, une place classée: "je te fais réfléchir, je te fais pleurer, je te donne envie de tout casser, je te donne envie de te battre".

The Hate U Give, ce n'est même pas de l'or en barre. C'est bien plus pur, bien plus poignant. C'est un concentré d'émotions.

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Diamant

J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire au début car on nous présente beaucoup de personnages d'un coup et le fait que l'argot soit retranscrit dans les dialogues m'a un peu déstabilisé. Puis une fois passé un certain cap, j'ai dévoré ce roman ! Celui-ci parle de thèmes durs et actuels tels que le racisme, l'injustice, la révolte... On suit également la vie de famille de l'héroïne, Starr, et je m'y suis fortement attaché. Certaines scènes sont si bien décrites qu'on se croit sur place et j'ai ressenti les émotions que Starr ressent.

C'est le genre de récits qui donnent envie de tout faire pour que les choses changent.

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Diamant

Lu en V.O.

Le Civil Rights Act de 1964 met un terme à la ségrégation aux États-Unis. En 1991, l'apartheid est, enfin, aboli en Afrique du Sud. Ces deux dates sont des tournants majeurs dans l'Histoire et souhaite effacer cette frontière "noir/blanc" pour que chacun ait sa chance. Pourtant en est-il réellement ainsi?

The Hate U Give dénonce justement cet aspect de notre société. Bien que ce ne soit pas toujours connu et que cela ne fasse pas réellement la une des journaux, la discrimination et le racisme persiste notamment dans certaines régions aux États-Unis ; où l'intégration des noirs n'est pas toujours évidente.

Starr est une jeune fille de 16 ans qui vit entre deux mondes : son quartier, le "ghetto", grouille de trafiquants de drogues et de guerres entre gangs, son lycée, quant à lui, est situé dans une banlieue chic radicalement opposé à son quartier. Elle passe alors sa vie à être "deux Starr" comme elle le dit : "Williamson Starr" et la "normale" Starr. Malheureusement, son monde -ses deux mondes- collapse le jour où son meilleur ami d'enfance, Khalil, se fait tuer par un officier de police trop nerveux. Elle est le seul témoin. Sa vie est boulversée, car, pour Starr, vient le moment de se lever et de se faire entendre. La vérité du meurtre doit éclater au grand jour, mais il y a beaucoup plus en jeu : l'équilibre si fragile de sa communauté risque de se briser en éclats, mais aussi, la pression des gangs et le dénie de la police pour le triomphe de la vérité.

Starr, tout au long du roman, va nous apprendre la définition des mots "courage", "honneur", "détermination". Sa progression est fulgurante telle un papillon, Starr va sortir de sa chrysalide, déployer ses ailes et s'envoler pour faire face à un monde qui à cherche enterrer la vérité. C'est quelqu'un que l'on peut admirer et qui, à travers son deuil et sa peur, a su se faire entendre. Sa voix a, bel et bien, été une arme qui a sublimé la vérité.

Le réalisme de ce roman est poignant et lui donne une authenticité flagrante. Le vocabulaire employé est fidèle à la réalité et est tel qu'un vocabulaire employé à l'oral. Les scènes sont d'une précision extrême qui permet une meilleure vision des actions. Les personnages sont vrais et attachant : l'identification se fait avec une facilité déconcertante et très vite on se retrouve se demander : "Et si ça avait été moi?".

Ce roman dénonce la discrimination encore trop présente de nos jours, nous fait prendre conscience que le racisme est toujours d'actualité et donne tout son sens au "#BlackLivesMatter". Nous ne parlons pas assez de ces aspects de la société ou décidons juste que cela n'a pas d'importance. Pourtant, à travers The Hate U Give, nous réalisons la place de tout un chacun dans l'histoire. Les thèmes abordés sont, certes, difficiles mais nous font ouvrir les yeux sur ce qui est mais ne devrait pas être.

La question est alors de savoir si ces deux dates de 1964 et 1991 sont belles et bien des tournants de l'Histoire et la fin d'une ère ou uniquement une étape d'un long processus, qui ne fait que commencer...

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Diamant

Ce livre a été un véritable coup de cœur, un coup de poing même.

L’histoire est bien menée avec des personnages attachants parce qu'ils sont vrais. L'histoire de Starr est toujours d’actualité, malheureusement. C'est pourquoi c'est très important d'en parler. On devrait tous prendre exemple sur Starr, pour le courage qu'elle prend en menant son combat.

The hate U give, est bouleversant. La plume de l'auteur est très belle on pleure et on rit aussi avec Starr, on comprend sa colère, on la vit avec elle.

Tout le monde devrait lire ce livre, pour découvrir cette histoire, et l'importance qu'on peut donner à notre voix.

Le livre va d'ailleurs bientôt être adapté au cinéma, et il me tarde de retrouver Starr sur grand écran, pour revivre son histoire une deuxième fois

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Or

Je viens de terminer ce livre et j'ai vraiment beaucoup aimé. Pour le décrire je dirais : simple mais efficace. Ce n'est pas un de ces livres bourrés d'actions et de suspense, là non on est plutôt dans une immersion, une fenêtre ouverte sur la vie de Starr avec son "ghetto", les gangs, la drogue, la police et les injustices. On suit le parcours d'une adolescente qui tente de combattre la société à la seule force de la parole. A lire !

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Or

J'ai découvert ce livre grâce au film (d'ailleurs excellent, foncez le voir), et je savais que je devais lire le bouquin. Quand j'ai eu l'occasion de l'avoir, je n'ai donc pas hésité. Et j'en suis très heureuse ! Nous suivons Starr, une adolescente noire qui vit dans un quartier difficile, mais qui va dans un lycée où la majorité des élèves sont blancs. Elle doit donc changer sa façon d'être selon les endroits. Puis arrive le drame. Alors qu'elle rentre d'une fête avec un ami d'enfance, celui-ci est tué. Par un policier.

Commence alors le combat de Starr pou s'en remettre, mais également pour obtenir justice pour Khalil.

Et là réside tout le génie de ce roman. Car l'auteure a réussi à évoquer tellement de choses que s'en est impressionnant.

Tout d'abord, évidemment, les policiers qui tuent les Noirs aux USA, et qui, le plus souvent, s'en sortent sans problème. Mais il y a également la violence policière, le racisme -caché ou pas, car il est parfois dans les détails-, le problème des gangs, la disparité sociale. Et Angie Thomas nous révèle ça naturellement, car en tant qu'auteure noire, c'est sûrement ce qu'elle a connu et connaît encore aujourd'hui.

L'une des choses que j'ai apprécié également, c'est le fait que les choses ne soient pas toute blanches ou toutes noires -aha-. Évidemment, et je ne dirais jamais le contraire, Cent Quinze est en faute. Mais quelque part -et le film nous le fait peut être plus comprendre, donc mon avis est peut être biaisé- il se savait dans un quartier chaud, et il a sûrement paniqué. C'est sûrement un gars sympa, et même pas raciste consciemment. Car je considère qu'on a tous quelque part un racisme inconscient, fait de préjugés et de blagues parfois cruelles, et je pense que c'est que voulait nous montrer l'auteure.

Quand aux personnages... J'ai adoré Starr. C'est une ado normale, pas une super héros qui va tout péter sur son passage, mais c'est ça qui est super. Elle a ses fêlures, ses fragilités, et ça la rend humaine. Et pourtant, elle est drôle, sarcastiques, très attachée à sa famille -parfis compliquée- et même si elle répète que non, courageuse. Et elle est super pour ça. J'ai adoré le reste de sa famille aussi, comme j'ai rarement aimé une famille dans un livre. Ils sont présents, ils sont vivants, ils ne sont pas à l'arrière plan.

Hayley et Maya, ses amies, sont très intéressantes, surtout Hayley, puisqu'elle est cet exemple du racisme caché et enfoui qu'on ne s'avoue même pas. Quand à Maya, elle est super.

Chris est franchement l'un des meilleurs copains de la Terre à mon sens -bon, j'abuse un peu, mais il est super-. Drôle, compréhensif, respectueux, il va soutenir Starr du mieux qu'il peut.

Un roman qui bouleverse et qui fait réfléchir, et que je conseille donc à tout le monde A lire

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Lu aussi

J'ai un avis très mitigé sur ce livre. Tout d'abord, j'ai détesté le style d'écriture de l'auteure, mais alors vraiment. A vrai dire je pense que ce livre a eu du succès uniquement à cause de son thème et pas vraiment à cause de la façon d'écrire de l'auteure. On était sur des longs paragraphes avec des phrases d'à peine 5-6 mots. Pour les belles phrases bien construites un peu complexe, ne cherchez pas ici. Ici on est sur le genre robot qui ne peut débiter qu'une idée par phrase. Au final les phrases un peu plus construites intervenaient dans les dialogues. Ces dialogues aurait presque pu améliorer le coup sans cette abondance à outrance du langage du ghetto. Un peu pour poser le décor et montrer l'environnement dans lequel évolue les personnages oui, mais là j'ai trouvé ça un peu too much. En fait ce qui m'a vraiment rebuté, -au delà des grosses fautes de langues tel le "fille à Big Mav" répété 250 fois qui me donnait des envies de meurtres- c'est le fait que les parents, notamment la mère de Starr emploie ce langage du ghetto. Ça ne cadrait pas tout simplement.

En revanche au niveau des personnages vraiment top. Ils étaient complexes, bien construits avec chacun une histoire et une personnalité propre, pour ça vraiment super.

Maintenant l'histoire, alors je dois avouer l'avoir trouvé très touchante. Vivre cette histoire dont on a tous déjà entendu parler, mais cette fois du côté de ceux qui sont touchés m'a bouleversé. La trame était clair, le verdict -hélas- sans surprise. Donc pour l'histoire de fond je ne peux qu'approuver.

J'ai aussi bien évidement trouvé que ce livre apportait des informations culturelles intéressantes et surtout un message fort et poignant. Sur ça je ne peux qu'être d'accord avec tout le monde. En revanche j'ai trouvé que ce livre avait un gros côté Black Power qui m'a vraiment dérangé. Pas au début, mais plus on avançait plus je le ressentais jusqu'à arriver à la scène de la voiture vers la fin qui m'a profondément gênée. A partir de ce moment je n'avais qu'une hâte, finir le livre au plus vite. Pour situer je parle Spoiler(cliquez pour révéler)de la scène dans la voiture lors des émeutes, quand Chris est présent et que Starr, Seven et DeVante devant lui descendent les blancs en flèches. Il s'agit tout simplement de reverse racism et j'ai trouvé ça presque choquant que ça se passe comme ça, je m'attendais à une discussion ou on explique au final les différences culturelles et on partage dans un respect mutuel. Mais à la place cette scène fini désamorcé par une blague sur les blancs. Attendez c'est pas exactement à cause de ce genre de comportement que les blancs dans le livre -je pense notamment à Hailey- sont traités de raciste ? Attention qu'on ne se méprenne pas, je ne critique pas ça, évidemment qu'Hailey est raciste mais je trouve ça vraiment dommage, voire anti-productif.

D'ailleurs pour ce qui est d'Hailey, le personnage n'est pas bien construit, on essaye de nous faire croire que c'est une raciste "caché" qui ne le fait pas exprès et lance juste des blagues "innocentes" sans faire attention mais là c'est vraiment nous prendre pour des c*&@. Je suis désolée mais à partir du moment où elle s’éloigne de son amie sur les réseaux sociaux pour ne pas voir "tous ces trucs de noirs" je crois qu'on ne peut pas faire plus explicite comme racisme.

Deux derniers points sur les personnages pour ce commentaire qui n'en fini plus. J'ai été déçue du personnage de Chris, je l'ai trouvé très absent, je pense qu'on aurait pu creuser un peu plus leur relation et les difficultés d'un couple noir/blanc. De même la réaction du père de Starr quand il apprend cette relation m'a paru peu crédible. Il commence par être hyper en colère, puis à peine quelques jours après, ils sont limite potes, bof bof.

Et dernier point, Maya. Quel déception, quel personnage inexploité. Il y avait moyen de faire un tel travail sur les minorités avec Maya l'étudiante asiatique aussi méprisée et moquée par ses camarades. Et au final on la voit 3 secondes et son histoire passe derrière le black power. J'ai vraiment eu l'impression dans ce roman que le but était de nous montrer que les noirs sont meilleurs que les personnes d'autre couleur. Mais non c'est faux, une couleur ne défini pas la personne, on est tous égaux. Et je trouve que ce livre ne faisait pas assez passer ce message. J'aurais aimé plus de commentaire du genre de la mère de Starr "il peut bien être à pois ou à rayures tant qu'il te rend heureuse". Ca c'est un superbe message !

Donc au final au vu du message important de ce livre, je le classe en catégorie "lu aussi" mais sans ce message, avec tous ces points qui m'ont dérangé je pense qu'il aurait fini en "pas apprécié". C'est un livre qui se lit clairement pour moi, grâce à l'idée et au message de fond. Pas pour l'action, pas pour le style d'écriture mais pour un message qu'il faut prendre le temps de décortiquer, de comprendre et de remettre en question. A mon sens ce n'est pas un livre miracle, une merveille, une pépite. C'est un livre qui apporte un bon message mais il faut savoir aller au delà du message et s'en faire sa propre opinion.

J'ai conscience que ce commentaire ne plaira pas à tout le monde mais je livre mon ressenti au sortir de la lecture. Chacun son avis !

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Lu aussi

Pour être tout à fait honnête, je suis déçue et je ne partage pas l'avis populaire. J'ai vu ce livre passer partout et se vendre comme une claque littéraire, un coup de poing. Et, en réalité, le seul bon point de ce livre selon moi c'est son thème. L'écriture n'est pas très bonne, les dialogues sont insupportables, les personnages sont beaucoup trop manichéens (comme énormément de YA américain...) et c'est incroyablement lent. Il y avait largement possibilité de faire plus court et du coup plus impactant. Je comprends la volonté de l'autrice de nous transmettre l'évolution de Starr, son envie crescendo de vouloir parler, jusqu'à mettre sa vie en danger. Mais dans ce cas-là, il aurait fallu rendre le récit plus dynamique. Parce que là, on comprend, mais on s'ennuie. Quelques scènes sont très touchantes, malgré tout, notamment avec le papa de Starr. Et le véritable coup de poing de ce livre c'est le thème abordé et je suis contente du dénouement du procès, même si ça fait mal, parce que c'est la réalité. Ce livre est profondément révoltant et il était fait pour ça, donc à partir de ce moment-là, je pense qu'il a fait son job, même si je suis certaine qu'il aurait pu le faire bien mieux que ça.

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Or

Roman totalement d'actualité qui éduque sur la question du racisme et des violences policières encore trop peu pénalisées.

J'ai trouvé ces problématiques ci extrêmement bien abordé.

De plus, Starr, le personnage principal du livre, est superbement bien travaillé. Elle se questionne, est humaine, fait des erreurs et apprend de celles-ci. L'auteur a su rajouter de l'humour à certains moments sans que la problématiques délicate de base ne soit négligé : un parfait équilibre.

A lire, tout simplement.

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Argent

Je me suis sentie initialement un peu déphasée en entrant dans le livre, en décalage culturel avec Starr, il faut dire que je ne connais rien à la culture noire américaine et aux quartiers déchirés par les guerres de gang. L'autrice a su très vite effacer cette impression et me faire ressentir le choc, la douleur, et la colère de Starr. La scène de la mort de Khalil est puissante, et très juste. Sans passer par une description crue, l'autrice nous fait bien sentir l'horreur et l'injustice du moment. Elle ne laisse pas un seul doute planer, Khalil n'aurait pas du mourir ce soir-là. Cette scène est cruciale pour la suite du récit, nous permet de véritablement entrer dans l'histoire et de la vivre au côté de la narratrice. Et d'autant plus triste qu'on sait que c'est d'une actualité toujours aussi criante que lorsque le livre a été écrit il y a désormais quelques années.

Je pensais que Starr ferait du bruit pour obtenir justice très vite et que l'histoire se concentrerait sur son action militante. Ce n'est pas le cas, et je dirais tant mieux car cela permet au récit d'être très riche. Son action pour voir le policier condamné émaille le récit mais n'est pas centrale. Nous accompagnons plutôt Starr dans la gestion de son traumatisme et de son deuil. Nous vivons avec elle son quotidien dans un univers dans lequel elle ne peut être tout à fait elle-même. On sent sa frustration de devoir se plier en quatre pour être acceptée tant au lycée que dans son quartier. Dans l'un elle est "la fille noire du ghetto", dans l'autre "celle qui va dans un lycée de bourges".

Les personnages sont très divers et c'est pour le mieux. Maverick, Starr et Carlos, nous pouvons voir un grand panel de la vision du quartier, de la communauté et du racisme. Il nous ouvrent un peu les yeux sur les visions des vraies personnes qui font face à ces situations. Cette famille et les personnes qui gravitent autour sont parfaitement imparfaits. Leur quotidien n'est pas toujours simple, ils sont confrontés à des situations difficiles voir traumatisantes mais ils peuvent tout surmonter car ils sont là les uns pour les autres. Chacun personnage joue à merveille le rôle que l'autrice a voulu lui donner, ce qui enrichit énormément le récit. Ils ont tous une place importante pour donner au roman toute sa justesse.

L'autrice a su dresser un portrait sans concession de ce quartier avec tous ses défauts, mais aussi toutes ses qualités : l'entraide et la charité au premier plan. Elle a réussi à rendre les personnages complexes et montrer le certain déterminisme social qui a entrainé Khalil ou DeVante. Spoiler(cliquez pour révéler)Ils sont poussés vers les gangs et le deal contre leur volonté, et doivent se battre pour s'en éloigner.

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