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-Un jour je t'epouserai

Je souris

- Quand les poules auront des dents

Il haussa les épaules

- C'est très possible avec les progrès de la science, les OGM, tout ça.

- D'accord alors quand tu danseras en string sur du Britney Spears, devant ton père. Voilà quand on se mariera.

Il inspira longuement, profondement et souffla d'un coup

- Je relève le défi.

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-Merde, Trenton, qu'est ce qui t'es arrivé ?

Je me tournai pour le regarder. Il avait la joue entamée à trois endroits, et sa lèvre était ouverte.

Je m'assis d'un bond.

-Trent!Qu'est- ce -qui t'est arrivé?

-J'ai pas encore trouvé de mensonge valable.

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Trenton apparut à côté de moi, sortit une cigarette et l’alluma, puis alluma la mienne.

— Tu devrais arrêter de fumer, dit-il. C’est mauvais pour la santé. Et pas tellement séduisant, chez une fille.

Je tournai vers lui un regard interrogateur.

— Quoi ? dit-il. Je n’essaie pas d’être jolie, moi. Je ne suis pas une fille.

— Tu ne me plais pas.

— Menteuse.

— Je n’essaie pas d’être jolie non plus.

— Ben c’est raté.

Je fis de mon mieux pour ne pas me sentir flattée.

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J’essaie juste de faire en sorte que les choses restent simples.

Trenton fit un pas vers moi.

— Mais il n’y a rien de simple dans ce que tu fais. On est loin du simple, là.

— Si, c’est simple. Noir et blanc. Clair et net.

Il me prit par les épaules et planta sa bouche sur la mienne. Sous le coup de la surprise, mes lèvres se figèrent. Ensuite, comme le reste de mon corps, elles fondirent contre les siennes. Je sentis que je me détendais, mon souffle se fit plus court, et mon cœur battit à tout rompre, j’étais sûre que Trenton l’entendait. Il insinua sa langue entre mes lèvres, ses mains glissèrent le long de mes bras, se posèrent sur mes hanches, les pétrirent. Il m’attira à lui sans cesser de m’embrasser et aspira ma lèvre inférieure au moment de s’écarter.

— Maintenant, c’est compliqué.

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- Tu as mal à la tête ? demandais-je en attrapant une pomme dans le saladier de fruits en plastique posé à côté de la porte pour la lui balancer dessus.

Il esquiva.

- Arrête, Cami ! Merde !

- Flash info, Trenton Maddox ! répondis-je en prenant une banane. Tu ne tueras personne pour m'avoir touchée, à moins qu'on ne m'ait touchée contre mon gré ! Et quand bien même, dans ce cas, c'est moi qui commettrai un meurtre ! Pigé ?

Je lancai la banane, il la repoussa, elle rebondit sur le sol.

- Arrête, baby, je suis en vrac, là, grogna-t-il.

Je pris une orange.

- Tu ne quitteras pas mon appartement en faisant la gueule, et encore moins en claquant la porte !

Cette fois, je visai la tête et mis dans le mille.

Il plissa les yeux, se protégea de ses bras.

- D'accord, d'accord !

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- Putain de bordel de merde ! J'ai foutu toute notre soirée en l'air ! Je suis tellement con, Cami ! Je stressais, parce que je voulais t'offrir des fleurs, mais elles sont si chères...et paf, ce bouquet de cinéma qui déboule...Je suis un connard. Un connard paumé, égoïste et pas sûr de lui qui n'a qu'une trouille : te perdre. J'ai déjà du mal à croire que tu es à moi, alors...

Il semblait tellement triste...J'en eus le coeur brisé.

- Depuis qu'on était gosses ? Tu ne m'as jamais adressé la parole, pourtant. Je ne savais même pas que tu étais au courant de mon existence.

- Tu me terrifiais, lâcha-t-il avec un rire.

- Un Maddox ? Terrifié ?

Une grimace lui tordit le visage.

- On a déjà perdu la première femme de notre vie. La seule idée de revivre ça nous fout une trouille bleue.

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Je croisai les bras, sentant la moutarde me monter au nez.

- Hier soir, je me suis dis que tu frisais la connerie. aujourd'hui, je sais que tu as sauté dedans à pieds joints.

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- Tu n'as pas idée de ce que c'était que d'être au boulot avec ces putains de fleurs sous les yeux. Je voulais me calmer avant de venir, mais c'est tellement...tellement irrespectueux de faire un truc pareil ! Je me démène pour te prouver que je suis mieux que lui, et lui il envoie des bouquets, il se pointe quand il veut, et ...Je peux pas rivaliser avec un connard friqué de la côte Ouest ! J'y arrive à peine avec ce que je gagne, j'ai pas de diplôme, et jusqu'à il y a quelques jours j'habitais chez mon père. Mais putain, Cami, je t'aime comme un fou, dit-il en revenant vers moi. Depuis qu'on est mômes. La première fois que je t'ai vue au square, près du toboggan, j'ai su ce que c'était que la beauté. La première fois que tu m'as ignoré, j'ai su ce que c'était que d'avoir le coeur brisé. Le soir où je me suis assis à ta table au Red, j'ai cru que ma chance était venue. Personne n'a jamais désiré quelqu'un autant que je te désire

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J'attrapai une grappe de raisins verts.

-Et quand tu m'adresseras la parole le lendemain du jour où tu te comportes comme un connard, ça ne sera pas pour me proposer de rompre, espèce d'imbécile d'ivrogne!

j'avais hurlé les derniers mots en appuyant sur chaque syllabe.La grappe vola dans les airs, il la bloqua façon rugby , sur l'estomac.

-Tu t'excuseras, et ensuite tu seras super gentil et délicat avec moi pendant le reste de la journée ,et tu m'achèteras des beignets!

Trenton considéra autour de lui les fruits en plastique épars sur le sol, soupira, puis me regarda .Un sourire fatigué se dessina sur ses lèvres.

-Putain, qu'est-ce que je t'aime.

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- Il m'a embrassé. Ça m'a fait flipper. Et puis il m'a dit qu'il m'aimait.

- Deux choses absolument horribles. C'était très mal de sa part.

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