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Extrait ajouté par vermeils 2014-08-07T16:50:35+02:00

traduction personnelle d'une partie du chapitre II.

Chapitre II

Il l’avait fait. Finalement. Comme si, au fond de moi, j’avais toujours su qu’il le ferait.

On pourrait penser, qu’avec tout ce que j’ai vécu, je l’aurais vu venir. Je ne suis pas tout à fait étrangère à ce sujet. Et ce n’était pas comme si tous les signes n’étaient pas apparus.

Mais tout de même, quand le choc est venu, il semblait frapper comme le tonnerre dans un ciel bleu.

- Donc où vas-tu dîner avant le Winter Formal ? me demanda Kelly Prescott cours de français. Elle n’attendit pas ma réponse. Parce que Kelly n’en avait rien à faire. Ce n’était pas le but de sa question.

- Paul va m’emmener au Cliffside Inn, continua Kelly. Tu connais le Cliffside Inn, n’est-ce pas Suze ? Au Big Sur ?

- Oh, bien sûr, dis-je. Je connais.

C’est ce que j’ai dit, de toute façon. N’est-ce pas étrange, la façon dont votre cerveau peut se glisser en mode pilote automatique ? Comme quand vous dîtes votre opinion mais que vous pensez quelque chose de complètement différent ? Parce que quand Kelly a dit ça – à propos de Paul qui l’emmène au Cliffside Inn -, la première chose que j’ai pensée n’était pas Oh, bien sûr, je connais. Non, pas du tout. Ma première pensée était plus proche de Quoi ? Kelly Prescott? Paul Slater va emmener KELLY PRESCOTT au Winter Formal?

Mais je ne l’ai pas dit à voix haute, Dieu merci. Je veux dire, étant donné que Paul lui-même était assis quelques places plus loin, jouant avec le son de son enregistrement. La dernière chose au monde que je voulais qu’il pense, était que je sois, hmm vous savez, irritée qu’il ait demandé à quelqu’un d’autre pour le bal. Il était assez mauvais pour remarquer que je regardais dans sa direction, et encore plus pour remarquer que l’on parlait de lui. Il leva ses sourcils interrogateurs comme pour dire « Je peux faire quelque chose ? ».

Je vis qu’il avait encore ses écouteurs. Il n’avait, à mon grand soulagement, pas entendu ce que Kelly avait dit. Il écoutait la brillante conversation entre Dominique et Michel, nos correspondants français.

- Il a cinq étoiles, poursuit Kelly, installée dans son isoloir. Le Cliffside Inn, je veux dire.

- Cool, dis-je arrachant mon regard de Paul et avançant ma chaise de mon isoloir. Je suis sûre que vous allez passer du bon temps tous les deux.

- Oh oui ! dit Kelly.

Elle repoussa ses cheveux blonds miel en arrière pour pouvoir faire passer ses écouteurs.

- Ce sera tellement romantique ! Donc où iras-tu ? Pour manger avant d’aller danser, je veux dire.

Elle savait, bien sûr. Elle savait parfaitement.

Mais elle voulait me le faire dire. Parce que c’est le genre de fille qu’est Kelly.

- Je suppose que je ne vais pas y aller, dis-je en m’asseyant à côté de son isoloir et en mettant mes propres écouteurs.

Kelly regarda par-dessus la cloison qui nous séparait, son joli visage déformé par la sympathie. De la fausse sympathie, bien sûr. Kelly Prescott n’en avait rien à faire de moi. Ou même de personne, à part elle-même.

- Ne pas y aller ? Oh, Suze, c’est terrible ! Personne ne t’a demandé ?

Je souris en guise de réponse. Sourire et essayer de ne pas sentir le regard de Paul dans mon dos.

- C’est trop dommage, dit Kelly. Et il semble que Brad ne soit pas en mesure d’y aller non plus, puisque Debbie l’a rejeté. Eh ! J’ai une idée ! rigola-t-elle. Toi et Brad n’avait qu’à y aller ensemble !

- C’est amusant, dis-je en souriant faiblement pendant que Kelly ricana à sa propre blague. Parce que, vous savez, il n’y a rien de plus pathétique qu’une fille allant au Winter Formal avec son propre demi-frère.

Sauf peut-être si elle n’y va avec personne.

Je retournais sur mon enregistrement. Dominique a immédiatement commencé à se plaindre de son dortoir. Je suis sûre que Michel a murmuré de sympathiques réponses (ce qu’il fait à chaque fois) mais je n’entendis pas ce qu’ils dirent.

Parce que cela n’avait pas de sens. Ce qui venait de se produire, je veux dire. Comment Paul pouvait-il emmener Kelly au Winter Formal alors que la dernière fois, j’étais la seule qu’il pourchassait pour un rendez-vous ? Non pas que je sois particulièrement contente de ça, bien sûr. Mais je devais de temps en temps lui jeter l’os si je voulais l’empêcher de faire à mon petit copain ce qu’il avait fait à Mrs. Gutierrez.

Attendez une minute. Est-ce que c’était ça ? Paul en avait-il assez de traîner avec une fille qu’il tenait par le chantage en passant du temps avec lui ?

Bien, bien. Etait-ce vrai ? Je veux dire, si Kelly le voulait, elle pouvait l’avoir.

Le seul problème était, que j’avais eu du mal à ne pas me souvenir de la façon dont le corps de Paul s’était plaqué contre le mien, comme si nous ne faisions qu’un, la nuit dernière dans la cour des Gutierrez. Parce que je m’étais sentie bien –sa taille, sa chaleur- malgré ma peur. Vraiment bien.

Agréable sensation…. Mauvais garçon.

Mais le bon gars ? Il n’était pas du genre à cerner-une-jeune-fille-par-terre. Et sa chaleur ? Elle n’était plus là depuis un siècle et demi.

Ce n’était pas sa faute, vraiment. Pour la chaleur, je veux dire. Jesse ne pouvait pas s’empêcher d’être mort, tout comme Paul ne pouvait pas s’empêche d’être… et bien, Paul.

Encore, demander-Kelly-et-pas-à-moi-pour-aller-danser…. Ça me paniquait. Je m’étais préparée à son invitation – et de sa réaction à mon refus – toute la semaine. Je dirais même avoir commencé à réfléchir sur la nature va-et-vient de notre relation… comme une partie de tennis à l’hôtel où nous nous sommes rencontrés l’été dernier.

Sauf que maintenant, j’avais le sentiment angoissant que Paul venait de lancer la balle très haut et que je ne serai jamais en mesure de riposter.

Qu’est-ce que c’est que ça ?

Les mots flottaient devant mes yeux, griffonnés sur un morceau de papier déchiré de mon cahier et qui s’agitait devant mes yeux par-dessus la cloison de bois qui sépare mon isoloir de celui de devant. Je tirais le morceau de papier des doigts qui le tenait fermement et marquais, Paul a demandé à Kelly pour le Winter Formal, puis, je glissais la note à travers la cloison.

Quelques secondes plus tard, le papier se remis à flotter en face de moi.

Je pensais qu’il te l’avait demandé à toi !! écrivait ma meilleure amie, CeeCee.

Je suppose que non, griffonnais-je en réponse.

Bien, peut-être que c’est une bonne chose, répondit CeeCee. Tu ne voulais pas y aller avec lui de toute façon, je suppose, qu’en est-il de Jesse ?

Mais c’était justement ça. Qu’en était-il de Jesse ? Si Paul m’avait demandé pour le Winter Formal, et que j’avais répondu sans enthousiasme à son invitation, il aurait lâché une de ses menaces voilées sur Jesse – la plus récente étant celle qui lui permettrait d’une quelconque façon d’empêcher les morts de le devenir en premier lieu… Quoi que cela signifiait.

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Extrait ajouté par dreamygirl 2010-10-12T21:06:06+02:00

- Tu veux que je fasse disparaître ton petit ami? demanda Paul.

Son corps était chaud contre le mien, alors il n'y avait aucune explication au fait que mon coeur était soudain devenu froid comme la glace, sauf que ses mots m'ont terrifiée au point que mon sang semblait glacer dans mes veines.

- Nous avons un accord, ai-je dit, ma langue et mes lèvres formant les mots avec difficulté car elles, comme mon coeur, étaient glacées d'effroi.

- J'ai promis de ne pas le tuer, a dit Paul. Je n'ai fait que mentionner le fait de l'empêcher de mourir en premier lieu.

(4ème de couverture du livre anglais)

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Extrait ajouté par vermeils 2014-08-11T18:05:46+02:00

Parce que la vérité c'est que je me foutais de mon futur. Sans Jesse, je n'avais pas d'avenir. Bien sûr, avec lui je n'en avais pas non plus.

Traduction perso ^^

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Extrait ajouté par mel_1 2010-09-22T17:07:43+02:00

CHAPTER ONE

I found the stone exactly where Mrs. Gutierrez had said it would be, beneath the drooping branches of the overgrown hibiscus in her backyard. I shut off the flashlight. Even though there was supposed to have been a full moon that night, by midnight a thick layer of clouds had blown in from the sea, and a dank mist had reduced visibility to nil.

But I didn't need light to see by anymore. I just needed to dig. I sunk my fingers into the wet soft earth and pried the stone from its resting spot. It moved easily and wasn't heavy. Soon I was feeling beneath it for the tin box Mrs. Gutierrez had assured me would be there. . . .

Except that it wasn't. There was nothing beneath my fingers except damp soil.

That's when I heard it—a twig snapping beneath the weight of someone nearby.

I froze. I was trespassing, after all; the last thing I needed was to be dragged home by the Carmel, California, cops.

Again.

Then, with my pulse beating frantically as I tried to figure out how on earth I was going to explain my way out of this one, I recognized the lean shadow—darker than all the others—standing a few feet away. My heart continued to pound in my ears, but now for an entirely different reason.

“You,” I said, climbing slowly, shakily, to my feet.

“Hello, Suze.” His voice, floating toward me through the mist, was deep, and not at all unsteady…unlike my own voice, which had an unnerving tendency to shake when he was around.

It wasn't the only part of me that shook when he was around, either.

But I was determined not to let him know that.

“Give it back,” I said, holding out my hand.

He threw back his head and laughed.

“Are you nuts?” he wanted to know.

“I mean it, Paul,” I said, my voice steady, but my confidence already beginning to seep away, like sand beneath my feet.

“It's two thousand dollars, Suze,” he said, as if I might be unaware of that fact. “Two thousand.”

“And it belongs to Julio Gutierrez.” I sounded sure of myself, even if I wasn't exactly feeling that way. “Not you.”

“Oh, right,” Paul said, his deep voice dripping with sarcasm. “And what's Gutierrez gonna do, call the cops? He doesn't know it's missing, Suze. He never even knew it was there.”

“Because his grandmother died before she had a chance to tell him,” I reminded him.

“Then he won't notice, will he?” Despite the darkness, I could tell Paul was smiling. I could hear it in his voice. “You can't miss what you never knew you had.”

“Mrs. Gutierrez knows.” I'd dropped my hand so he wouldn't see it shaking, but I couldn't disguise the growing unsteadiness in my voice as easily. “If she finds out you stole it, she'll come after you.”

“What makes you think she hasn't already?” he asked, so smoothly that the hairs on my arms stood up . . . and not because of the brisk autumn weather, either.

I didn't want to believe him. He had no reason to lie. And obviously, Mrs. Gutierrez had come to him as well as me, anxious for any help she could get. How else could he have known about the money?

Poor Mrs. Gutierrez. She had definitely put her trust the wrong mediator. Because it looked as if Paul hadn't just robbed her. Oh, no.

But like a fool, I stood there in the middle of her backyard and called her name just in case, as loudly as I dared. I didn't want to wake the grieving family inside the modest stucco home a few yards away.

“Mrs. Gutierrez?” I craned my neck, hissing the name into the darkness, trying to ignore the chill in the air . . . and in my heart. “Mrs. Gutierrez? Are you there? It's me, Suze. . . . Mrs. Gutierrez?”

I wasn't all that surprised when she didn't show. I knew, of course, that he could make the undead disappear. I just never thought he'd be low enough to do it.

I should have known better.

A cold wind kicked up from the sea as I turned to face him. It tossed some of my long dark hair around my face until the strands finally ended up sticking to my lip gloss. But I had more important things to worry about.

“It's her life savings,” I said to him, not caring if he noticed the throb in my voice. “All she had to leave to her kids.”

Paul shrugged, his hands buried deep in the pockets of his leather jacket.

“She should have put it in the bank, then,” he said.

Maybe if I reason with him, I thought. Maybe if I explain . . . “A lot of people don't trust banks with their money—”

But it was no use.

“Not my fault,” he said with another shrug.

“You don't even need the money,” I cried. “Your parents buy you whatever you want. Two thousand dollars is nothing to you, but to Mrs. Gutierrez's kids, it's a fortune!”

“She should have taken better care of it, then,” was all he said.

Then, apparently seeing my expression—though I don't know how, since the clouds overhead were thicker than ever—he softened his tone.

“Suze, Suze, Suze,” he said, pulling one of his hands from his jacket pocket and moving to drape his arm across my shoulders. “What am I going to do with you?”

I didn't say anything. I don't think I could have spoken if I'd tried. It was hard enough just to breathe. All I could think about was Mrs. Gutierrez, and what he'd done to her. How could someone who smelled so good—the sharp clean scent of his cologne filled my senses—or from whom such warmth radiated—especially welcome, given the chill in the air and the relative thinness of my windbreaker—be so . . .

Well, evil?

“Tell you what,” Paul said. I could feel his deep voice reverberating through him as he spoke, he was holding me that close. “I'll split it with you. A grand for each of us.”

I had to swallow down something—something that tasted really bad—before I could reply. “You're sick.”

“Don't be that way, Suze,” he chided. “You have to admit, it's fair. You can do whatever you want with your half. Mail it back to the Gutierrezes, for all I care. But if you're smart, you'll use it to buy yourself a car now that you finally got your license. You could put a down payment on a decent set of wheels with that kind of change, and not have to worry about sneaking your mom's car out of the driveway after she's fallen asleep—”

“I hate you,” I snapped, twisting out from beneath his grip and ignoring the cold air that rushed in to meet the place where his body had been warming mine.

“No, you don't,” he said. The moon appeared momentarily from behind the blanket of clouds overhead, just long enough for me to see that his lips were twisted into a lopsided grin. “You're just mad because you know I'm right.”

I couldn't believe my ears. Was he serious? “Taking money from a dead woman is the right thing to do?”

“Obviously,” he said. The moon had disappeared again, but I could tell from his voice that he was amused. “She doesn't need it anymore. You and Father Dom. You're a couple of real pushovers, you know. Now I've got a question for you. How'd you know what she was blathering about, anyway? I thought you were taking French, not Spanish.”

I didn't answer him right away. That's because I was frantically trying to think of a reply that wouldn't include the word I least liked uttering in his presence, the word that, every time I heard it or even thought it, seemed to cause my heart to do somersaults over in my chest, and my veins to hum pleasantly.

Unfortunately, it was a word that didn't exactly engender the same response in Paul.

Before I could think of a lie, however, he figured it out on his own.

“Oh, right,” he said, his voice suddenly toneless. “Him. Stupid of me.”

Then, before I could think of something to say that would lighten the situation—or at least get his mind off Jesse, the last person in the world I wanted Paul Slater to be thinking about—he said in quite a different tone, “Well, I don't know about you, but I'm beat. I'm gonna call it a night. See you around, Simon.”

He turned to go. Just like that, he turned to go.

I knew what I had to do, of course. I wasn't looking forward to it . . . in fact, my heart had pretty much slipped up into my throat, and my palms had gone suddenly, inexplicably damp.

But what choice did I have? I couldn't let him walk away with all that money. I'd tried reasoning with him, and it hadn't worked. Jesse wouldn't like it, but the truth was, there was no other alternative. If Paul wouldn't give up the money voluntarily, well, I was just going to have to take it from him.

I told myself I had a pretty good chance at succeeding, too. Paul had the box tucked into the inside pocket of his jacket. I'd felt it there when he'd put his arm around me. All I had to do was distract him somehow—a good blow to the solar plexus would probably do the job—then grab the box and chuck it through the closest window. The Gutierrezes would freak, of course, at the sound of the breaking glass, but I highly doubted they'd call the cops . . . not when they found two thousand bucks scattered across the floor.

As plans went, it wasn't one of my best, but it was all I had.

I called his name.

He turned. The moon chose that moment to slip out from behind the thick veil of clouds overhead, and I could see by its pale light that Paul wore an absurdly hopeful expression. The hopefulness increased as I slowly crossed the grass between us. I suppose he thought for a minute that he'd finally broken me down. Found my weakness. Successfully lured me to the dark side.

And all for the low, low price of a thousand bucks.

Not.

The hopeful look left his face, though, the second he noticed my fist. I even thought that, just for a moment, I caught a look of hurt in his blue eyes, pale as the moonlight around us. Then the moon moved back behind the clouds, and we were once again plunged into darkness.

The next thing I knew, Paul, moving more quickly than I would have thought possible, had seized my wrists in a grip that hurt and kicked my feet out from under me. A second later, I was pinned to the wet grass by the weight of his body with his face just inches from mine.

“That was a mistake,” he said, way too casually, considering the force with which I could feel his heart hammering against mine. “I'm rescinding my offer.”

His breath, unlike my own, wasn't coming out in ragged gasps, though. Still, I tried to hide my fear from him.

“What offer?” I panted.

“To split the money. I'm keeping it all, now. You really hurt my feelings, you know that, Suze?”

“I'm sure,” I said as sarcastically as I could. “Now get off me. These are my favorite low-riders, and you're getting grass stains on them.”

But Paul wasn't ready to let me go. He also didn't appear to appreciate my feeble attempt to make a joke out of the situation. His voice, hissing down at me, was deadly serious.

“You want me to make your boyfriend disappear,” he asked, “the way I did Mrs. Gutierrez?”

His body was warm against mine, so there was no other explanation for why my heart went suddenly cold as ice, except that his words terrified me to the point that my blood seemed to freeze in my veins.

I couldn't, however, let my fear show. Weakness only seems to trigger cruelty, not compassion, from people like Paul.

“We have an agreement,” I said, my tongue and lips forming the words with difficulty because they, like my heart, had gone ice cold with dread.

“I promised I wouldn't kill him,” Paul said. “I didn't say anything about keeping him from dying in the first place.”

I blinked up at him, uncomprehending.

“What . . . what are you talking about?” I stammered.

“You figure it out,” he said. He leaned down and kissed me lightly on my frozen lips. “Good night, Suze.”

And then he stood up and vanished into the fog.

It took me a minute to realize I was free. Cool air rushed in to all the places where his body had been touching mine. I finally managed to roll over, feeling as if I'd just suffered a head-on collision with a brick wall. Still, I had enough strength left to call out, “Paul! Wait!”

That's when someone inside the Gutierrez household flicked on the lights. The backyard lit up bright as an airport runway. I heard a window open and someone shout, “Hey, you! What are you doing there?”

I didn't stick around to ask whether or not they planned on calling the cops. I peeled myself up from the ground and ran for the wall I'd scaled a half hour ago. I found my mom's car right where I'd left it. I hopped into it and started my long journey home, cursing a certain fellow mediator—and the grass stains on my new jeans—the whole way.

I had no idea that night how bad things were going to get between Paul and me.

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Extrait ajouté par juju92 2013-09-21T19:52:04+02:00

Of course, it's impossible when Jesse's lips are on mine to think about anything other than the way those lips make me feel... which is unbelievably cherished and desired. I don't have a whole lot experience in the kissing department, but even I know that what happens every time Jesse kisses me is... well, extraordinary.

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Extrait ajouté par juju92 2013-09-21T20:26:59+02:00

But he was wrong. Because the very next second, Paul's hand been pried off me and his arm was bent behind his back in what looked to be a pretty painful position.

"Hasn't anyone ever told you", Jesse asked in a semi-amused voice, "that a gentleman never lays an hand on a lady ?"

Which I fought was kind of funny, considering where Jesse had had his hand the last time I'd seen him. But I thought it better to let that slide.

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Extrait ajouté par juju92 2013-09-21T19:46:06+02:00

No that if Jesse'd call, I'd have had anything much to say to him. What was I going to do, be all "Oh, yeah, by the way, Paul wants to travel through time and make it so you never died. But I plan on stopping him. Because I want you to roam around in the netherworld for a hundread and fifty years so you and I can mahe out in my mom's car. Okay ? Buh-bye."

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Extrait ajouté par elena340 2013-02-16T20:46:30+01:00

Nouvel extrait

PREMIER CHAPITRE

J'ai trouvé la pierre exactement où Mme Gutierrez a dit que ce serait, sous les branches tombantes de l'hibiscus envahi dans son arrière-cour. J'ai coupé la lampe de poche. Même si il devait y avoir eu une pleine lune cette nuit, à minuit, une épaisse couche de nuages ​​avait soufflé de la mer, et une brume humide a réduit la visibilité à zéro.

Mais je n'ai pas besoin de lumière pour voir en plus. J'avais juste besoin de creuser. J'ai plongé mes doigts dans la terre humide doux et fouillait la pierre de son lieu de repos. Il s'est déplacé facilement et n'était pas lourd. Bientôt, je me sentais en dessous de la boîte d'étain Mme Gutierrez avait assuré me serait là. . . .

Sauf que ce n'était pas le cas. Il n'y avait rien sous mes doigts hors sol humide.

C'est alors que j'ai entendu une brindille-claquer sous le poids d'une personne à proximité.

J'ai gelé. J'étais intrusion, après tout, la dernière chose dont j'avais besoin était de se laisser entraîner à la maison par les flics Carmel, en Californie.

Encore une fois.

Puis, avec mon pouls battait frénétiquement comme j'ai essayé de comprendre comment diable j'allais expliquer mon moyen de sortir de celui-ci, j'ai reconnu la maigre ombre plus foncée que tous les autres, debout à quelques mètres. Mon cœur continuait à battre dans mes oreilles, mais maintenant, pour une raison totalement différente.

"Vous", je l'ai dit, l'escalade lentement, en tremblant, à mes pieds.

"Bonjour, Suze." Sa voix, flottant vers moi à travers la brume, était profonde, et pas du tout instable ... contrairement à ma propre voix, qui avait une tendance troublante à trembler quand il était là.

Ce n'était pas la seule partie de moi qui a secoué quand il était là, non plus.

Mais j'étais déterminé à ne pas le laisser savoir.

"Rends-moi ça», dis-je, tendant la main.

Il jeta sa tête en arrière et rit.

«Êtes-vous fou?" Il voulait savoir.

"Je veux dire, Paul,« je l'ai dit, ma voix ferme, mais ma confiance commence déjà à s'infiltrer, comme le sable sous mes pieds.

"Il s'agit de deux mille dollars, Suze," at-il dit, comme si je pouvais ne pas être conscients de ce fait. «Deux mille».

"Et il appartient à Julio Gutierrez." J'avais l'air sûr de moi, même si je n'étais pas vraiment sentir de cette façon. "Pas toi."

"Oh, c'est vrai," dit Paul, sa voix profonde dégoulinant de sarcasme. "Et qu'est-ce Gutierrez va faire, appeler les flics? Il ne sait pas ce qui manque, Suze. Il ne savait même pas qu'elle était là. "

"Parce que sa grand-mère mourut avant d'avoir eu la chance de lui dire:« Je lui ai rappelé.

»Puis il se remarque pas, peut-il?" Malgré l'obscurité, je pourrais dire à Paul souriait. Je pouvais l'entendre dans sa voix. "Vous ne pouvez pas manquer ce que vous ne soupçonniez pas."

"Mme Gutierrez sait. "Je laissai tomber ma main afin qu'il ne verrait pas le secouer, mais je ne pouvais dissimuler l'instabilité croissante dans ma voix aussi facilement. «Si elle découvre que vous l'a volé, elle viendra après vous."

"Qu'est-ce qui vous fait penser qu'elle n'a pas déjà?" At-il demandé, si bien que les poils de mes bras se leva. . . et non à cause de la météo automnale rapide, non plus.

Je ne voulais pas le croire. Il n'avait aucune raison de mentir. Et évidemment, Mme Gutierrez était venu lui aussi bien que moi, inquiète pour toute l'aide qu'elle peut obtenir. Sinon, comment pouvait-il savoir à propos de l'argent?

Pauvre Mme Gutierrez. Elle avait certainement mis sa confiance au médiateur mal. Parce qu'il a regardé comme si Paul avait non seulement l'avait volé. Oh, non.

Mais comme un fou, je me tenais là, au milieu de sa cour et appela son nom juste au cas où, aussi fort que j'ai osé. Je ne veux pas réveiller la famille en deuil dans la maison en stuc modeste à quelques mètres.

"Mme Gutierrez? "Je tendis le cou, sifflant le nom dans l'obscurité, essayant d'ignorer le frisson dans l'air. . . et dans mon cœur. "Mme Gutierrez? Êtes-vous là? C'est moi, Suze. . . . Mme Gutierrez? "

Je n'étais pas du tout surpris quand elle n'est pas venue. Je savais, bien sûr, qu'il ne pouvait faire disparaître les morts-vivants. Je n'ai jamais pensé qu'il serait assez faible pour le faire.

Je devrais avoir su mieux.

Un vent froid coups de pied de la mer, en me retournant pour lui faire face. Il jeta un peu de mon longs cheveux noirs autour de mon visage jusqu'à ce que les brins finalement fini par coller à mes brillant à lèvres. Mais j'avais des choses plus importantes à s'inquiéter.

"Ce sont ses économies d'une vie», lui dis-je, ne se souciant pas s'il a remarqué le battement dans ma voix. "Tout ce qu'elle avait à laisser à ses enfants."

Paul haussa les épaules, les mains enfouies dans les poches de sa veste en cuir.

"Elle aurait dû le mettre à la banque, alors," dit-il.

Peut-être que si je raisonne avec lui, je le pensais. Peut-être que si je l'explique. . . "Beaucoup de gens ne font pas confiance aux banques leur argent"

Mais il ne servait à rien.

"Pas ma faute,» dit-il avec un autre haussement d'épaules.

"Vous n'avez même pas besoin de l'argent," j'ai pleuré. «Vos parents vous acheter ce que vous voulez. Deux mille dollars, c'est rien pour vous, mais pour les enfants Mme Gutierrez, c'est une fortune! "

"Elle aurait dû prendre mieux soin de lui, alors," dit-il simplement.

Puis, apparemment voyant mon expression, mais je ne sais pas comment, puisque les nuages ​​au-dessus étaient plus épaisses que jamais, il adoucit son ton.

«Suze, Suze, Suze," at-il dit, en tirant une de ses mains poche de sa veste et se déplaçant à draper son bras autour de mes épaules. "Que vais-je faire de toi?"

Je n'ai pas dit quoi que ce soit. Je ne pense pas que j'aurais pu parler si j'avais essayé. Il était assez difficile juste pour respirer. Tout ce que je pouvais penser était Mme Gutierrez, et ce qu'il avait fait pour elle. Comment peut-on, qui sentait si bon le parfum vif de sa propre eau de toilette rempli mon sens, ou de qui une telle chaleur rayonnée, surtout bienvenue, compte tenu de la fraîcheur de l'air et de la minceur relative de mon coupe-vent-être. . .

Eh bien, le mal?

"Je vais vous dire», dit Paul. Je pouvais sentir sa voix grave résonne à travers lui à mesure qu'il parlait, il me tenait si près. «Je vais le diviser avec vous. Un grand pour chacun de nous. "

J'ai dû avaler quelque chose, quelque chose qui avait l'air vraiment mauvais, avant que je puisse répondre. «Vous êtes malade."

"Ne pas être de cette façon, Suze," il a réprimandé. "Vous devez admettre, il est juste. Vous pouvez faire ce que vous voulez avec votre moitié. Retourner par la poste aux Gutierrezes, pour tout ce qui m'importe. Mais si vous êtes intelligent, vous allez l'utiliser pour vous acheter une voiture, maintenant que vous avez enfin obtenu votre licence. Vous pourriez mettre un acompte sur un bon set de roues avec ce genre de changement, et ne pas avoir à se soucier de se faufiler voiture de votre maman hors de l'allée après qu'elle s'est endormie-"

"Je te hais", j'ai craqué, la torsion de dessous son emprise et en ignorant l'air froid qui se sont précipités pour répondre à l'endroit où son corps avait été le mien réchauffement.

"Non, vous n'avez pas," at-il dit. La lune apparut un instant derrière la couverture des frais généraux nuages, juste le temps pour moi de voir que ses lèvres se tordaient dans un sourire en coin. "Tu es juste fou parce que vous savez que j'ai raison."

Je ne pouvais pas en croire mes oreilles. Était-il sérieux? "Prendre de l'argent d'une femme morte est la bonne chose à faire?"

«De toute évidence," at-il dit. La lune avait disparu de nouveau, mais je pourrais dire de sa voix qu'il était amusé. «Elle n'a pas plus besoin. Vous et le Père Dom. Vous êtes un couple de réels proie facile, vous savez. Maintenant, j'ai une question pour vous. Comment savez-vous ce qu'elle a été déblatérer à propos, de toute façon? Je pensais que vous preniez le français, pas l'espagnol. "

Je ne lui ai pas répondu tout de suite. C'est parce que je essayait frénétiquement de trouver une réponse qui ne serait pas inclure le mot j'ai le moins aimé prononcer en sa présence, le mot qui, à chaque fois que je l'ai entendu ou même pensé qu'il semblait à cause de mon cœur à faire des culbutes dans plus de ma poitrine, et mes veines à fredonner agréablement.

Malheureusement, c'était un mot qui n'a pas exactement la même réponse engendrer chez Paul.

Avant que je puisse penser à un mensonge, cependant, il a pensé à elle de son propre chef.

"Oh, c'est vrai», dit-il, sa voix soudain atone. "Lui. Stupide de ma part. "

Puis, avant que je puisse penser à quelque chose de dire que permettrait d'alléger la situation, ou du moins obtenir son esprit hors Jesse, la dernière personne au monde que je voulais Paul Slater à penser-il déclaré dans un tout autre ton: «Eh bien , je ne sais pas pour vous, mais je suis crevé. Je vais l'appeler une nuit. A bientôt, Simon. "

Il se retourna pour partir. Juste comme ça, il se retourna pour partir.

Je savais ce que j'avais à faire, bien sûr. Je n'ai pas hâte d'y être. . . en fait, mon cœur avait à peu près glissé vers le haut dans ma gorge, et mes paumes s'était tout à coup, inexplicablement humidité.

Mais quel choix ai-je eu? Je ne pouvais pas le laisser repartir avec tout cet argent. J'avais essayé de raisonner avec lui, et il n'avait pas fonctionné. Jesse ne l'aime pas, mais la vérité est, il n'y avait pas d'autre alternative. Si Paul ne voulait pas abandonner volontairement de l'argent, eh bien, je voulais juste avoir à le lui prendre.

Je me suis dit que j'avais une bonne chance de réussir, aussi. Paul avait la boîte niché dans la poche intérieure de sa veste. Je l'avais senti qu'il y avait quand il a mis son bras autour de moi. Tout ce que j'avais à faire était de le distraire en quelque sorte, un bon coup dans le plexus solaire serait probablement faire le travail, puis prenez la boîte et jeter par la fenêtre la plus proche. Les Gutierrezes serait paniquer, bien sûr, au son de l'bris de verre, mais je doute fortement qu'ils allaient appeler les flics. . . pas quand ils ont trouvé deux mille dollars éparpillés sur le sol.

Comme les plans allé, ce n'était pas un de mes meilleurs, mais c'était tout ce que j'avais.

J'ai appelé son nom.

Il se retourna. La lune a choisi ce moment pour se glisser dehors par derrière le voile épais de nuages ​​au-dessus, et je pouvais voir par sa pâle lumière que Paul avait une expression absurde espoir. L'optimisme accru que je traversa lentement l'herbe entre nous. Je suppose qu'il réfléchit une minute qu'il avait fini par me décompose. Trouvé ma faiblesse. Réussi à attirer moi vers le côté obscur.

Et tout cela pour la modique somme de mille dollars.

Non.

Le regard plein d'espoir quitté son visage, cependant, la seconde, il a remarqué mon poing. J'ai même pensé que, juste pour un moment, j'ai attrapé un coup d'oeil de douleur dans ses yeux bleus, pâle comme la lune autour de nous. Puis la lune est retourné derrière les nuages, et nous avons été une fois de plus plongé dans l'obscurité.

La prochaine chose que je savais, Paul, se déplaçant plus rapidement que je l'aurais cru possible, avait saisi mes poignets dans une poignée qui blessent à coups de pied mes pieds sous moi. Une seconde plus tard, j'ai été épinglé à l'herbe mouillée par le poids de son corps avec son visage à quelques centimètres du mien.

"C'était une erreur", at-il dit, beaucoup trop négligemment, compte tenu de la force avec laquelle je pouvais sentir son cœur battant contre le mien. «Je suis annulant mon offre."

Son souffle, contrairement à la mienne, ne venait pas des à-coups en lambeaux, cependant. Pourtant, j'ai essayé de cacher ma peur de lui.

"Quelle offre?" Je haletait.

"Pour diviser l'argent. Je garde tout ça, maintenant. Vous avez vraiment blessé mes sentiments, vous savez que, Suze? "

"Je suis sûr que," comme je l'ai dit ironiquement que je le pouvais. «Maintenant, laissez-moi. Ce sont mes préférés bas-riders, et vous obtenez les taches d'herbe sur eux. "

Mais Paul n'était pas prêt à me laisser partir. Il n'a pas semblé apprécier ma faible tentative de faire une blague à la situation. Sa voix, sifflement vers moi, était mortellement sérieux.

"Vous voulez que je fasse ton copain disparaître,» at-il demandé, "comme je le faisais Mme Gutierrez?"

Son corps était chaud contre le mien, il n'y avait donc pas d'autre explication pourquoi mon cœur s'est soudainement froid comme la glace, sauf que ses paroles me terrifiait au point que mon sang semblait se figer dans mes veines.

Je ne pouvais pas, cependant, que mon spectacle peur. La faiblesse ne semble déclencher la cruauté, pas de la compassion, de gens comme Paul.

"Nous avons un accord," je l'ai dit, ma langue et les lèvres formant les mots avec difficulté parce que, comme mon cœur, s'était glacé d'effroi.

«J'ai promis de ne pas le tuer», dit Paul. «Je n'ai rien dit à propos de l'empêcher de mourir en premier lieu."

J'ai cligné des yeux vers lui, ne comprend pas.

"Qu'est-ce. . . qu'est-ce que tu racontes? "balbutiai-je.

«À toi de jouer», at-il dit. Il se pencha et m'embrassa légèrement sur mes lèvres glacées. «Bonne nuit, Suze."

Et puis il se leva et disparut dans le brouillard.

Il m'a fallu une minute pour réaliser que j'étais libre. L'air frais se sont précipités pour tous les endroits où son corps avait été toucher le mien. J'ai finalement réussi à se rouler, se sentir comme si je venais a subi une collision frontale avec un mur de briques. Pourtant, j'ai eu assez de force pour crier: «Paul! Attendez! "

C'est alors que quelqu'un dans le ménage Gutierrez alluma les lumières. La cour illuminée brillant comme une piste d'aéroport. J'ai entendu une fenêtre ouverte et quelqu'un crier: «Hé, vous! Qu'est-ce que tu fais là? "

Je n'ai pas rester dans les parages pour demander si oui ou non ils ont prévu à appeler les flics. Je me suis pelée à partir du sol et a couru pour le mur je escaladé une demi-heure. Je trouve juste voiture de ma mère où je l'avais laissé. J'ai sauté dedans et j'ai commencé mon long voyage de retour, maudissant un médiateur et certains compatriotes les taches d'herbe sur mon nouveau jean-pendant tout le trajet.

Je n'avais aucune idée de ce soir à quel point les choses allaient se passer entre Paul et moi.

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