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Ce bulletin d'informations m'évoquait la tactique des ados, qui, après avoir fait une bêtise, passent aux aveux graduellement. Ils confessent le minimum au départ, de peur que les parents ne piquent une trop grosse crise. On évite le plus longtemps possible de lâcher les détails. L'exemple le plus frappant, c'est celui de cette fille de mon lycée, qui s'est fait surprendre au lit avec un garçon. Elle a été forcée d'admettre qu'ils avaient couché ensemble (en fait, ils le faisaient depuis des mois). Ses parents ont tellement flippé qu'elle n'a jamais réussi à leur avouer qu'elle était enceinte, jusqu'à ce qu'ils trouvent le test de grossesse dans la poubelle.
Je trouve que c'est un très bon livre. Je l'ai lu en anglais, forcément, et ce qui m'a poussé à l'acheter, c'est la 4e de couverture. Oui, enfin bon, pas juste la 4e de couverture, mais plutôt les papillons qui remplacer tous les "gros mots" et... Je n'ai pas été surprise non, je m'attendais à un bon livre, et je n'ai pas été déçu ! L'histoire est vraiment touchante, et on entre dedans très facilement, parce qu'il fait vrai, tout simplement. L'écriture est simple, l'histoire aussi, mais... Elle fait vrai ! Je ne vois pas comment le dire autrement, vous devrez le lire pour comprendre
J’ai voulu lire ce livre car j’ai regarder la série du même nom que j’avais plutôt bien aimé. Mais en lisant je me suis rendue compte que les deux n’avaient rien de similaire si ce n’est la pluie qui menace la population.
J’ai beaucoup aimé ce premier tome que j’ai lu d’une traite ! On est sur un style d’écriture de journal, la protagoniste nous parle comme si elle nous avait envoyer son manuscrit ou elle retrace tout ce qui lui ai arrivé et j’aime beaucoup lire ce genre de chose, on a l’impression de faire parti de ce monde et que ça nous arrive aussi. C’est limite si j’ai peur de la pluie maintenant.
La protagoniste est assez cool, à certains moment sont caractère colérique m’énerve un peu mais elle est assez rigolote. Il n’y a pas énormément de personnage donc on ne risque pas trop de se perdre.
Il y a pas tellement de suspens mais à certains moment ils se passe des choses auxquels on s’attende le moins, comme par exemple une catastrophe ou la mort d’un personnage et j’aime beaucoup les plot twist
Je suis à 46% du livre. L’histoire est bien mais l’adolescente donne trop dans le cliché. C’est assez désagréable, je saute pas mal de paragraphes qui sont clairement inutiles. Notamment la scène où elle se maquille, le moment où elle tombe dans les pommes et se décide à nous expliquer que les femmes dans les romans de rose tombent dans les pommes à cause de leur corset… Je vais finir le livre mais pas sûr que j’enchaîne avec le second.
J'ai trouvé ce livre assez mauvais. On a ici l'histoire d'une jeune adolescente qui se retrouve en pleine fin du monde à cause d'une pluie toxique. Mais alors que ce livre pourrait être très bon, la personnage principale vient tout gâcher.
Le fait qu'elle Spoiler(cliquez pour révéler)perde sa mère, son jeune frère puis, plus tard, son beau-père et tous les problèmes qu'elle rencontre ne l'atteignent pas du tout. Elle n'est pas un instant perturbée à l'idée qu'elle puisse mourir d'un jour à l'autre à cause de la pluie. Elle est dépourvue de tout sentiment et de logique. L'héroïne (si on peut l'appeler ainsi) est plus lente à la détente qu'un escargot, incapable de penser à autre chose qu'à son téléphone ou à son maquillage. L'histoire est décousue, il manque beaucoup d'éléments, tout est invraisemblable, illogique. Certaines choses sont trop peu développées alors qu'on aimerait en savoir plus et d'autres, au contraire, sont beaucoup trop longues.
L'auteur avait ici une bonne idée et une histoire qui aurait vraiment pu être excellente, mais a vraiment mal développé le tout. La plume est légère, ce qui est appréciable, et même si le personnage principal est peu attachant et franchement agaçant, le tout est assez intéressant. Cependant, en refermant ce livre, j'ai eu l'impression d'avoir perdu mon temps.
J'ai trouvé ce livre génial ! L'histoire est racontée par une ado et je trouve que l'auteure a parfaitement réussi à décrire ses pensées compliquées. La preuve: j'ai réussi à trouver Ruby très énervante et plutôt stupide tout en la comprenant totalement. Au début, j'ai trouvé cette histoire de pluie mortelle trop angoissante et j'ai failli arrêter la série mais je n'arrivais plus à lâcher ce livre. Il est tellement touchant, plein d'humour, tellement vrai. Tous les personnage sont attachants et émouvants. C'est un énorme coup de coeur, je le conseille vivement !
Dans ce livre on a une pluie mortelle qui s'abat sur la Terre et on suit l'héroïne qui essaye de survivre. C'était la première fois que je lisais une histoire avec de la pluie mortelle. J'ai trouvé l'histoire du début jusqu'au milieu intéressante car on est dans l'action dès le début. Quand elle se retrouve avec d'autres rescapés, l'histoire est moins intéressante. Il y avait des répétitions qui étaient un peu embêtantes surtout avec les animaux qu'elle essaye de sauver. Je ne sais pas si je lirais le tome 2.
Vivre l’apocalypse à travers les yeux d'une adolescente de 15 ans, une vraie, je précise une vraie car la tournure des phrases et les réactions de Rub font très réalistes, est original. L'auteure a pensé a toutes les questions du quotidien qui peuvent poser problème en cas de manque d'eau... ça fait peur. Le livre se lit bien, ce n'est pas un grand chef d’œuvre mais l'histoire est prenante.
The Rain. La pluie. Cette pluie mortelle qui s’abat sur le monde, infectée par des bactéries en provenance d’une météorite qui aurait dû s’abattre sur la Terre. Ruby, quinze ans, essaye de survivre à cette apocalypse… en tongs et robe à sequins.
Non, ce n’est pas une parodie. On dirait, pourtant. Et à certains moments, je l’ai d’ailleurs cru. Bon, je savais à quoi m’attendre, j’avais lu quelques critiques qui étaient tout sauf tendres avec cette chère Ruby, malgré quoi j’avais de l’espoir.
Même si, effectivement, elle m’est apparue d’entrée comme une égoïste superficielle et inconsciente, l’ambiance était prenante. J’ai commencé ce livre par une soirée pluvieuse, autant vous dire que j’ai eu du mal à fermer l’œil après ça.
En plus, je trouvais Ruby assez crédible, en dépit de ses défauts. En tout cas plus crédible que d’autres romans que j’ai lus, où les héros, parfois tout aussi jeunes, savent tout de suite comment agir, comment s’organiser et prennent les bons réflexes en un claquement de doigts.
Néanmoins, ce sentiment s’est gâté dès qu’elle s’est retrouvée seule, après que l’unique personnage plein de bon sens et de pragmatisme se soit fait avoir de la plus stupide des manières, à croire que l’auteur n’avait pas de meilleure idée pour s’en débarrasser et mener sa protagoniste à la solitude.
Solitude qui ne dure pas, puisque Ruby tombe bien vite sur Darius Spratt, un camarade de lycée qu’elle qualifie de nerd et critique toutes les dix lignes. Et autant je louais dans un premier temps son réalisme, autant non, à ce stade, elle devient juste débile. Ne pas penser à tout, c’est une chose. Ne pas penser à prendre de l’eau et des vivres quand on crève de soif, et surtout quand on est trop encombrée par les boutiques de mode qu’on a dévalisées, c’est juste complètement con.
Et qu’est-ce qu’elle vole ? Des pantalons ? Des bottes ? Non, des robes à sequins et des paires de tongs. DES TONGS ! Même en temps normal, aucun individu sensé ne porterait des tongs alors qu’il pleut des cordes, mais ces averses sont en plus MORTELLES ! Un détail, vous me direz, quand tous vos proches sont morts et que vous avez un accès illimité à des fringues de luxe…
Ce n’est pourtant pas ce qui m’a le plus découragée. Ni ça, ni les séances de maquillage, ni les états d’âme de Ruby. Non, le pire, ce sont les animaux. Car oui, notre héroïne végétarienne ou presque a le cœur sur la main, et entreprend donc de libérer toutes les sympathiques bestioles du voisinage, allant jusqu’à songer au hamster de Machin, et ce bien qu’elle oublie systématiquement ses propres cochons d’Inde.
Paix à l’âme de ces deux petits rongeurs, les vraies victimes de l’histoire, qui ne sont mentionnés qu’à trois reprises, et chaque fois en termes peu flatteurs (cœur sur la main, je vous dis !). Et voilà donc notre charmante (touss touss) Ruby partie pour un road trip en direction de Londres avec son équipe d’élite, composée de quatre chiens, dont un particulièrement malodorant, et du hamster.
Que c’est loooooong ! Toutes ces lignes, ces paragraphes, que dis-je, ces pages centrées sur les clébards ! Je n’avais qu’une envie, qu’elle les abandonne (et pourtant je me soucie plus du sort des animaux que des humains, d’ordinaire), ce qu’elle finira par faire, mais par hasard, ou parce qu’elle les oubliera (comprenez qu’on ne peut pas penser et aux petites culottes, et aux rouges à lèvres, et en plus au hamster à chaque étape du voyage). C’était bien la peine de nous bassiner avec !
Et même cette pluie mortelle, quoique intéressante au début, m’a laissée de plus en plus perplexe à mesure que j’avançais dans ma lecture. Si les bactéries tueuses ont pu survivre sur une météorite, pourquoi est-ce qu’elles se… quoi ? Évaporent ? Volatilisent ? en même temps que l’eau ? Pourquoi elles ne restent pas sur les surfaces qui ont été exposées à la pluie, comme le sol, les voitures ? Parce que ç’aurait sans doute été trop compliqué de rendre tout fatal, je suppose.
Tout n’est pas à jeter dans ce roman, l’atmosphère est oppressante et anxiogène, et j’ai aussi apprécié la façon dont la « crise » est traitée par l’armée et le gouvernement, c’est assez représentatif du monde tordu dans lequel on vit, néanmoins il y a de grooos soucis. Je terminerai cette duologie par curiosité, mais à ne pas lire si vous êtes amoureux de la logique et du bon sens, vous deviendriez fous !
Après un long moment sans dystopie, je me lance avec The Rain, autant l'histoire est prenante, la catastrophe mondiale sous forme de pluie, était vraiment passionnante et prenante, autant le personnage principale est insupportable d'égocentrisme, de mépris de classe, et tout simplement imbuvable.
Je vais lire le tome 2 en espérant qu'elle sera moins casse pied.
Résumé
4eme de couverture :
Une pluie mortelle s'abat sur la Terre :
l'humanité est menacée de disparition.
Ruby, 15 ans, part à la recherche de son père.
Je m'appelle Ruby Morris, et voici mon histoire.
Si vous la lisez, vous avez énormément de chance d'être encore en vie.
Question : quand faut-il abandonner tout espoir?
a) Maintenant. Immédiatement. On est foutus.
b) Dans deux semaines, environ.
c) Jamais.
d) J'imagine qu'il pourrait y avoir un d), mais s'il existe, je ne l'ai pas encore trouvé...
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