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Extrait ajouté par Accrocauxlivres 2020-11-16T22:42:30+01:00

— Pour que les choses soient claires, m’interrompit-il, comme s’il ne m’avait pas entendue. Je suis censé ignorer tes seins ou, étant donné que tu les appuies contre moi, ça veut dire que j’ai le droit de…

— Tu les ignores !

— Pfff. Et merde.

— Tu veux que je m’écarte ?

— Surtout pas !

Il me lança un regard outré.

— Tes seins sont mon lot de consolation. Tu sais, vu que je rate le match par ta faute.

Le sarcasme me fit lever les yeux au ciel.

— Ah-ah, très drôle.

— T’as vu, répondit-il du tac au tac.

Parler de seins me rappela soudain ma conversation avec Darcy.

— Au fait, j’ai appris pour ton test de grossesse négatif. Je suis navrée. Tu auras peut-être plus de chance la prochaine fois.

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Extrait ajouté par LadyC 2020-11-04T21:22:30+01:00

Faisant volte-face, je l’étudiai. Il était en train de se redresser puis de s’asseoir, tout en s’essuyant les mains sur son jean. Ouais, c’était bien le Wick que j’avais en tête.

Wick Webster : l’ennemi juré de Topher.

Aussi canon que les quatre Chris : Pratt, Pine, Evans et Hemsworth. C’était le safety de l’équipe de foot.

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Extrait ajouté par LadyC 2020-10-22T15:21:04+02:00

Craignant de la voir s’effondrer une nouvelle fois, je me tournai vers Izzy et la suppliai du regard. Ma sœur n’avait pas de coloc. Le second lit de sa chambre était inoccupé. Elle y laissait traîner son linge propre quand elle avait la flemme de le ranger. C’était dans le même bâtiment que l’ancien appartement de Haven, et j’étais sûr qu’elle pourrait être transférée dans la chambre d’Izzy sans problème.

Izzy leva la main pour capter l’attention générale.

— Wick cherche un coloc.

J’ouvris grand la bouche.

— Izzy ! m’écriai-je, incrédule.

Qu’est-ce qui lui prenait ? Ce n’était pas ce qu’elle était censée dire.

— Quoi ? se défendit-elle. C’est vrai. Tu me disais encore tout à l’heure que tu aurais du mal à joindre les deux bouts, tant que tu n’aurais pas trouvé quelqu’un pour louer l’autre chambre.

— Ouais, mais…

— Il y a une autre chambre ? s’étonna Haven.

L’espoir dans sa voix me laissa bouche bée. Elle était aussi cinglée que ma sœur.

— Tout à fait, répondit Izzy en sautillant comme une puce. Et, franchement, elle a une taille raisonnable. Tu veux la voir ? Il n’y a pas de salle de bains attenante, mais Wick en a une dans sa chambre. Tu aurais celle au bout du couloir pour toi toute seule. Elle a une baignoire, en plus.

Haven cligna des yeux.

— J’aurais ma propre salle de bains ? murmura-t-elle d’un air ébahi.

— Ouaip.

Izzy hocha la tête avec enthousiasme.

— Viens, je vais te faire visiter.

Je levai la main pour les interrompre.

— Euh…

Mais Izzy conduisait déjà Haven dans le couloir.

— J’aurais bien emménagé ici moi-même, expliqua-t-elle, mais les élèves de première année sont obligés de vivre sur le campus, s’ils n’habitent pas chez leurs parents.

Tandis qu’elles s’éloignaient, je me tournai vers les parents de Haven, pensant qu’ils trouveraient ce plan aussi ridicule que moi. Haven ne pouvait pas vivre ici. Impossible. Jouer au héros et la serrer dans mes bras pendant qu’elle perdait pied était une chose, mais vivre avec elle ? Je n’avais jamais rien entendu de si dément. C’était impensable.

Bizarrement, ils semblaient moins effarés que je ne m’y attendais. La panique me gagna.

— Euh…, répétai-je.

Il fallait absolument que je leur fasse comprendre que je n’étais pas partant.

— Vous n’aviez pas envisagé la possibilité d’une coloc de sexe féminin, je me trompe ? devina sa mère, plus amusée qu’inquiète.

— Non, répondis-je en secouant la tête. Pas du tout.

Son père balaya le salon du regard d’un air pensif.

— Vous organisez beaucoup de fêtes, ici ?

— Non. Jamais.

Mais pourquoi est-ce que je lui répondais ? Pire, pourquoi est-ce que je lui répondais honnêtement ? J’aurais dû être en train de l’effrayer, pour qu’il rejette ce plan ridicule.

Pourquoi diable n’était-il pas déjà effrayé, d’ailleurs ? Nicholl m’avait forcément descendu auprès d’eux ; il avait sûrement balancé toutes sortes de choses horribles à mon sujet.

— Pourquoi ai-je l’impression que vous envisagez l’idée qu’elle emménage ici ? demandai-je de but en blanc. Vous n’avez pas une dent contre moi ?

Pitié, rappelez-vous que vous avez une dent contre moi !

M. Gamble gloussa, l’air surpris.

— Oh ! nous n’envisageons rien. Ce n’est pas nous qui emménageons. Haven prend ses décisions, qu’on soit d’accord ou pas. Et pourquoi aurions-nous une dent contre vous ? Nous ne vous connaissons pas.

— Vous avez aidé notre fille lorsqu’elle en a eu besoin, intervint sa femme. Cela compte beaucoup pour nous.

— Et qu’en est-il des drogues ? De l’alcool ? reprit son mari.

Il finit d’examiner la pièce et hocha la tête d’un air satisfait.

— Des femmes ? poursuivit-il en me perçant du regard.

Haven regagna le salon à ce moment-là, Izzy sur les talons.

— Papa, s’il te plaît, grogna-t-elle. Tous les joueurs de l’équipe se font tester toutes les deux semaines. Et, honnêtement, je n’ai jamais vu Wick à une seule fête avec les autres gars. Il boit probablement moins que moi. Quant aux nanas…

Elle haussa les épaules.

— Ça ne devrait pas être un problème non plus. J’ai entendu dire qu’il était gay.

Elle me pointa du doigt et plissa les yeux.

— Ne couche avec aucun de mes futurs petits amis, et tu seras un meilleur coloc que la précédente.

J’ouvris la bouche, abasourdi, mais aucun mot ne sortit.

À côté de moi, Izzy gloussa.

— Wick n’est pas gay ! Qu’est-ce qui a bien pu te faire croire ça ?

— Je…

Haven se mit à rougir.

— Oh ! navrée ! Topher a dit que tu l’étais.

— Topher ? ricanai-je en secouant la tête.

Pardi, ce bon vieux Topher.

— Ça ne m’étonne pas.

Croisant le regard contrit de Haven, je continuai, plus gentiment :

— Mais… non, désolé. Je ne suis pas gay.

En réalité, je n’en étais pas désolé du tout, car j’espérais bien que la découverte de mon statut d’hétéro la ferait changer d’avis.

Elle pencha la tête et murmura d’un air pensif :

— Tu ne m’as probablement jamais traitée de grosse bouffonne aux dents de cheval non plus ?

Je reniflai d’un air sarcastique.

— Il t’a dit ça aussi ?

Elle acquiesça.

— Et tu l’as cru ?

Impensable !

Elle haussa les épaules.

— Je n’avais aucune raison de ne pas le croire.

— Tu possèdes bien un miroir, non ? rétorquai-je sèchement.

Elle devait savoir qu’elle était assez belle pour couper le souffle à un mec.

— Tu ne vas pas me faire croire que tu ignores à quel point tu es jo…

Je m’interrompis brusquement et me plaquai une main sur la bouche pour m’empêcher de complimenter la petite amie de mon ennemi juré. Enfin, l’ex-petite amie. Je reportai mon attention sur ses parents. Son père haussait les sourcils pour me mettre en garde. Sa mère semblait sur le point d’éclater de rire.

Les dents serrées, je me retournai vers Haven, qui me dévisageait, bouche bée.

— L’important dans tout ça, grondai-je, c’est que je ne suis ni gay ni aveugle.

Elle leva les yeux au ciel et poussa un soupir excédé.

— Je m’en fiche. Tant que tu ne t’envoies pas en l’air dans le salon quand je suis à la maison, tout ira bien. Oh !

Elle claqua des doigts, puis pointa l’index vers moi.

— Essaye de ne pas manger la nourriture que j’étiquette à mon nom. Mon ancienne coloc avait la mauvaise habitude de faire ça. La garce ! Elle ne pouvait pas se retenir de poser ses sales pattes sur ce qui m’appartenait.

Je secouai la tête. Et merde. Mon statut d’hétéro ne l’avait pas dissuadée.

— Tu n’as rien à craindre de Wick, intervint Izzy. Il est du genre solitaire. Il a trois sœurs, pas de frères, alors je peux t’assurer qu’il est très respectueux des affaires des filles. Il a aussi l’habitude de voir traîner des tampons et des soutiens-gorge. Mais, comme vous ne partagerez ni salle de bains ni chambre, ça ne devrait pas être un problème. Il n’a jamais piqué la nourriture de qui que ce soit, non plus.

Elle leva les yeux au ciel d’un air théâtral.

— C’est Charlie, la grande pilleuse de nourriture, dans notre famille. Une vraie plaie !

N’ayant visiblement jamais rencontré d’Izzy auparavant, Haven cligna des yeux.

— D’accord, merci, répondit-elle finalement. C’est bon pour moi.

Elle se tourna vers moi.

— Combien pour le loyer ?

— Mais…, protestai-je.

Je détournai le regard. Ses yeux étant si grands, si beaux, si suppliants, qu’il était impossible de rester concentré. Raison de plus pour laquelle elle ne pouvait absolument pas être ma coloc.

Je ne pouvais pas vivre avec quelqu’un qui m’attirait autant. Je ne serais jamais capable de me détendre… ou de me concentrer… ou de respirer normalement. Ici, c’était ma maison ; l’endroit où je pouvais me cacher du reste du monde et ne m’inquiéter de rien. Si j’étais constamment sur mes gardes, chez moi, je vivrais un enfer. Rien que d’y penser, une vague de panique me submergea.

Mais comment lui faire comprendre, surtout avec ses parents qui me dévisageaient ? J’aurais aimé pouvoir sortir Le Guide de l’introverti et leur montrer le commandement numéro 1 : Tu n’envahiras point son espace.

— On voit que tu es réticent, Wick, commenta sa mère. Qu’est-ce qui te gêne ?

Je lui lançai un regard incrédule. J’étais outré qu’elle me mette ainsi sur la sellette. Bon sang, pourquoi étaient-ils partants ?

J’aurais pu énumérer des centaines de raisons, la principale étant que laisser emménager ici l’ex de mon ennemi juré ferait de moi une cible.

— Je ne veux pas d’elle ici parce qu’elle a des… des seins, balbutiai-je, désignant sa poitrine d’un geste.

Voilà. C’était dit. Ils m’avaient forcé à avouer la vérité. J’espérais qu’ils étaient contents.

Haven afficha un air confus.

— Des seins ? répéta-t-elle lentement.

Je serrai les dents. Génial. Non seulement ils me forçaient à être honnête, mais en plus ils voulaient que je m’explique ? Cette famille me rendait dingue.

— Oui ! m’emportai-je. Poitrine. Nichons. Nibards. Peu importe comment tu veux les appeler. J’aurai envie de les voir. Chaque fois que j’entrerai dans une pièce, je serai crispé, je penserai à eux et me demanderai… est-ce enfin le moment où je vais la surprendre sans T-shirt et par accident apercevoir un téton ? C’est mal, je le sais. Mais je ne veux pas culpabiliser en permanence d’avoir envie de reluquer tes seins, alors je serai toujours inquiet et sur mes gardes, essayant d’être respectueux et de ne pas regarder des choses que j’ai vraiment envie de voir. Ça me rendra dingue. Comment un mec peut-il vivre comme ça ? C’est ma maison. J’ai envie de pouvoir me détendre, ici.

Écœuré de moi-même – pour l’amour du ciel, pourquoi avais-je dit ça à voix haute ? – je me passai nerveusement la main dans les cheveux et lui lançai un regard plein d’amertume. J’étais furieux d’avoir déballé tout ça.

Sa mère éclata de rire et me lança un sourire amusé.

— Il me plaît ! annonça-t-elle. Il est marrant.

Tant mieux si la situation faisait rire quelqu’un, parce que, moi, je ne m’amusais pas du tout.

À côté de Mme Gamble, Haven souffla impatiemment et écarta les bras pour exposer ses seins.

— Ça rendrait les choses plus faciles si je te les montrais, là, tout de suite ? demanda-t-elle sèchement.

Autant être honnête.

— Oui. Mais ensuite j’aurai envie de voir le reste.

— OK, les enfants, ça suffit.

Riant nerveusement, M. Gamble vint se placer devant sa fille, comme s’il craignait qu’elle ne se déshabille sur-le-champ. Levant les mains, il se tourna vers elle.

— Wick nous dit qu’il ne se sent pas de partager son appartement avec une femme, et on doit respecter ça. Alors, le mieux à faire pour toi maintenant, c’est de rentrer à la maison avec nous ce soir.

— Non, déclara Haven. Je veux rester ici.

Contournant son père, elle se planta devant moi, les yeux emplis d’une détermination de fer, la mâchoire serrée et les poings sur les hanches.

Des hanches joliment dessinées et généreuses.

Je voulais les voir, elles aussi, sans vêtements pour en obstruer la vue.

— Tu me forcerais à faire quelque chose contre ma volonté ? demanda-t-elle.

Je reculai, horrifié.

— Quoi ? Bien sûr que non !

Elle pointa un doigt accusateur vers moi.

— C’est bien ce que je pensais.

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Extrait ajouté par Luludesbois 2020-08-01T20:03:02+02:00

"— Tu es vraiment l’homme parfait. Courageux, séduisant, honnête, loyal, digne de confiance, sincèrement gentil et amusant. Il n’y a pas une once de méchanceté en toi.

Elle me rendit Bingley.

— Pourquoi est-ce que ça sonne comme quelque chose de négatif ? demandai-je, le front plissé."

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Extrait ajouté par Luludesbois 2020-08-01T20:01:39+02:00

"Il m’avait fallu plusieurs secondes, en revanche, pour remarquer que le T-shirt s’étirait sur une très jolie paire de seins. Quand mon cerveau avait finalement percuté, j’avais écarquillé les yeux de surprise et laissé mon regard se balader sur sa silhouette.

Depuis, j’étais accro."

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Extrait ajouté par Accrocauxlivres 2020-11-16T22:22:14+01:00

Il me fit un grand sourire et me tendit la main.

— Fox Parker. Enchanté. On est venus te mettre en garde.

Celui du milieu le poussa sur le côté et me saisit les doigts comme s’il allait me faire un baisemain.

— Enchanté. Colton Cress Gamble Jr. Appelle-moi Cress.

Il m’attira à lui avec un clin d’œil.

— Ou « quand tu veux ».

Je reculai brusquement. L’autre mec, qui ne s’était pas encore présenté, lui donna un coup dans le bras.

— On est venus intimider ce bâtard, tu te rappelles ? Tu n’es pas censé flirter avec lui.

— Ah oui, c’est vrai, murmura Cress.

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Extrait ajouté par Accrocauxlivres 2020-11-15T22:26:13+01:00

Maman lui roula dans la jambe.

— Sois prudent, chéri. Ne me force pas à te sortir de prison avant la fin de la soirée.

Il sourit d’un air coquin et lui fit un clin d’œil.

— Pourquoi ? Si je finis derrière les barreaux, je pourrai peut-être voler des menottes.

— Papa ! m’écriai-je, me bouchant les oreilles. Ce genre de conversation est interdit devant moi, tu te rappelles ?

— C’est vrai, répondit-il en hochant la tête.

Puis il se tourna vers maman et leva les yeux au ciel.

— Rappelle-moi comment on a fait pour avoir une fille si chaste et prude ?

— C’est ta faute. Tu lui as interdit de faire l’amour avant ses trente-cinq ans.

Il se fendit d’un petit rire sarcastique.

— Comme si elle m’avait écouté !

Il leva un regard plein d’espoir vers moi.

— Attends. Est-ce que tu m’as écouté ?

— J’aurais dû !

— Dommage, soupira-t-il.

Puis il hocha la tête d’un air déterminé.

— Allons tuer l’enfoiré qui a débauché ma petite fille.

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Extrait ajouté par Accrocauxlivres 2020-11-15T21:58:43+01:00

Il ouvrit la porte et poussa un soupir exaspéré.

— Je t’ai dit que je viendrais te chercher, maugréa-t-il en se décalant sur le côté. Bon Dieu, comment tu as fait pour monter les marches ?

Une femme en fauteuil roulant pénétra dans l’appartement. J’écarquillai les yeux de surprise.

Elle jeta un regard vif de colère au père de Haven.

— Tu serais étonné de savoir de quoi une mère est capable pour rejoindre son enfant !

Puis elle lui roula sur le pied.

Exprès.

Il poussa un cri et se mit à sautiller de douleur.

— Putain, ça fait mal ! Qu’est-ce qui t’a pris, mon cœur ?

Elle renifla de dépit.

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Extrait ajouté par bellajessica 2020-07-19T04:32:40+02:00

— Enfoiré ! gronda Wick.

Il se tourna et avança vers la porte. Furieux.

— Non, intervins-je faiblement, la voix brisée.

Je me levai pour l’arrêter, mais la fille me força à me rasseoir.

— Wick s’en occupe. Ça va aller, murmura-t-elle, me tapotant le bras pour me rassurer.

Je me tournai et lui lançai un regard stupéfait. Elle me gratifia d’un sourire radieux.

— Je suis Izzy. La sœur de Wick. C’est génial de te rencontrer enfin.

Pourquoi enfin ? Je clignai des yeux, puis reportai aussitôt mon attention vers la porte que Wick ouvrait, bloquant l’entrée de sa large carrure.

— Arrête de tambouriner ou je te casse tes putains de bras, connard !

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Extrait ajouté par Aalabrini-1 2021-08-22T23:58:24+02:00

— Pourquoi ? Pourquoi veux-tu vivre ici ? L’appartement n’a rien de glamour. La poubelle n’est jamais ramassée à temps. Le ballon d’eau chaude est minuscule. Le wi-fi déconne et, à certaines heures de la journée, la circulation est carrément insupportable. Alors, bonne chance pour trouver une place de parking.

La mine renfrognée et le souffle court, j’écartai les bras.

— Maintenant, dis-moi, qu’est-ce qui t’attire autant dans tout ça ?

Elle me regarda un moment en silence, puis répondit à voix basse :

— Je veux rester ici parce que…

Elle marqua une pause et s’humecta nerveusement les lèvres.

— Parce que quoi ? insistai-je sèchement, dans l’espoir de la faire changer d’avis.

Elle se redressa et répondit tout aussi sèchement :

— Je me sens en sécurité ici avec toi.

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