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The Shadowdwellers, Tome 3 : Pleasure



Description ajoutée par yuykikuro 2013-01-10T23:38:53+01:00

Résumé

Traduction de la description précédente de Google Traduction:

Au-delà de notre monde se trouve une terre où règne l'obscurité-terres des virils, Shadowdwellers sensuelles. Pourtant, leurs capacités mystérieuses sont pas de taille à la puissance du désir ...

Doublez votre plaisir ...

En tant que Chancelier des Shadowdwellers, le premier devoir Malaisie est à son peuple. Son garde du corps, Guin, ne le sait que trop bien. Pour l'amour de la tradition, le Malaya doit se marier, et la pensée de cette luxuriante, dynamique, femme d'une union sans amour est impossible à porter pour lui. Guin aime Malaisie, non pas comme un sujet aime sa reine, mais comme un homme implore une femme. Et même s'il ne peut pas la garder, il va lui montrer tout ce qu'elle risque de perdre ...

Discipline. Pénitence. Ordre. La vie d'un prêtre du Sanctuaire tourne autour de telles choses. Mais quand Sagan est fait prisonnier et plongé dans le désert de l'Alaska, il rencontre une femme qui conteste sa foi et sa maîtrise de soi. Valera est une sorcière née naturelle qui a failli se perdre à l'attrait de la magie noire. Par droits, Sagan devrait lui éviter, mais la convention ne comptent pour rien dans le visage d'une passion qui pourrait changer les royaumes de Shadowscape toujours ...

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Classement en biblio - 2 lecteurs

extrait

Traduction de la description précédente de Google Traduction:

Chapitre Un

Les effets du poison raciste conçu répandre à travers son système sont nombreux et variés, mais il a rapidement perdu la trace de ses symptômes comme une en particulier le surprit.

Les hallucinations.

Sagan pouvait à peine déterminer la réalité des joncs sauvages de choses étranges qui vont se presser dans son esprit fiévreux. Le prêtre a essayé de combattre à chaque étape du chemin en répétant les faits les plus banales à lui-même. N'importe quoi pour se maintenir à la terre dans l'ici et maintenant, au lieu de se lancer dans des vagues de délirer irréalité cauchemardesque.

Je suis Sagan. Je suis un prêtre pénitence, l'un des cinq élite des élus des dieux. Je chasse ceux qui pèchent et les forcer à se repentir pour ce qu'ils ont fait. Je suis un Shadowdweller, un Nightwalker, et mon monde est un royaume de ténèbres nuit bénie.

Je vais mourir.

Sagan a effectivement eu un confort dans la vérité, ainsi que tous les autres, parce qu'il savait qu'ils étaient valides. Il savait qu'il avait perdu une bataille cruciale contre les ennemis du Sanctuaire, la maison des Shadowdwellers de religion, et de la maison royale de la Chancellerie. Les méchants k'ypruti Nicoya avait trempé ses armes dans le poison qui brûlaient, maintenant, en lui, et tout ce qu'elle avait prise était la moindre égratignure pour lui de tomber dans la défaite. Maintenant, elle partait incontesté dans le monde pour faire plus de mal son sinistre comme sa mère, acadienne, avait ses laquais lui arracher pour devenir son nouveau jouet.

Pourvu qu'il ait survécu aussi longtemps. Et après avoir vu ouvrage acadienne sur le corps balafré et torturé d'un ami à nouveau, il trouvait du réconfort dans cette possibilité. Après tout, il était un homme de foi profonde et il a dû croire Drenna l'accueillerait doucement une fois il passa dans l'au-delà.

Malheureusement, jusque-là ...

Le prêtre a crié que le poison brûlée agonie à travers chaque nerf de son corps. Une minute la douleur était vivifiant et une clarification, mais le lendemain son esprit devint un zoo d'images et de visions sauvages hurlants. Une minute il pensait qu'il était en Shadowscape, courant à travers la dimension lightless essayant d'échapper à un prédateur qui a chassé vers le bas, le lendemain, elle était Dreamscape et il était le prédateur, chasse Sinner proie.

Tout mélangés et pressés ensemble dans une fureur jusqu'à ce que chaque coin de son esprit s'illumina d'activité, de la pensée et de la réponse. Les nerfs de son corps et son cerveau était en surcharge, et comme le dysfonctionnement massif d'un réseau électrique complète, tout arrêté.

Quelque chose ne tournait pas rond.

Valera il sut immédiatement comme elle sortit dans la noirceur de la matinée de l'Alaska. C'était l'hiver maintenant, et il y avait si peu d'heures d'ensoleillement que c'était sombre presque constamment. C'était l'aube, dans d'autres parties du monde, mais dans sa partie isolée du petit centre de l'Alaska, le ciel nocturne devrait régner pendant un certain temps encore.

Valera a été utilisé pour cela. Elle a été utilisée pour l'accolade mortelle du froid ultime, aussi, alors qu'elle sortait de sa cabine pour faire face aux forêts montagneuses. Même la plainte constante du vent et de la neige à récurer était parfaitement en place.

Alors quelle est sa place?

Elle n'a pas été habitués à ignorer son intuition, mais il faisait trop froid pour s'attarder sur le problème en se tenant debout dans la neige comme un idiot. Elle se précipita pour obtenir le bois de chauffage dont elle avait besoin, faire plusieurs voyages dans le tas à l'entrée à l'intérieur où la neige fondrait en dehors, ce qui en fait prêt pour la cheminée elle continué pendant toute la saison. Un couple de fois, elle s'arrêta pour regarder autour, en essayant de déchiffrer ce que c'était elle sentit comme étant hors de propos.

C'était une idée ridicule, vraiment. Son voisin le plus proche était une sorte de station de recherche au moins une centaine de miles de distance et à une altitude beaucoup plus élevée. Et franchement, il était loin d'emprunter une tasse de farine, si elle avait jamais vu l'endroit. Elle savait juste qu'elle était là.

Elle a fait son dernier voyage pour le bois et puis se précipita vers le hangar de stockage. Elle fait certain qu'il y avait beaucoup de carburant dans le générateur de large et elle a décidé de porter dans une partie de la viande stockée congelée elle a gardé verrouillé en toute sécurité loin dans le bâtiment robuste. Comme elle sorti encore une fois, c'est alors qu'elle entendit le bruit scrabbling étrange au coin du hangar.

Un ours.

Merde, ils n'ont jamais cesser d'essayer d'obtenir à ses fournitures. Oh, la nourriture était sûr d'eux, mais Valera ne pouvait pas être aussi confiants quant à sa propre sécurité avec ce genre de potentiel sauvage juste au coin de sa part. Elle devrait revenir dans le hangar et attendre la créature, mais il n'y avait pas de chaleur là-bas et elle était déjà au-delà de sa tolérance pour le temps qu'elle devrait consacrer dans le congélateur de l'hiver.

Donc, aussi discrètement qu'elle le pouvait, elle laissa tomber la nourriture, elle a occupé, ne voulant pas se faire plus d'une cible qu'elle l'était déjà, et, lentement, elle se dirigea vers la maison.

"Tu vas quelque part?"

Valera crié. Il avait une telle chose girlie à faire, mais honnêtement, elle a vécu sur une montagne éloignée des wapitis et les ours pour les voisins. Elle n'a pas l'habitude d'être parlé. Elle se retourna brusquement pour faire face à la voix et trouva deux hommes lui étaient apparus apparemment de nulle part.

Elle savait tout de suite que c'était en gros, de gros ennuis. Une femme, deux hommes, et pas de flics ou des voisins. Il était facile de mathématiques, et elle savait juste qu'elle allait se retrouver sur le côté merdique de l'équation. Ou du moins ce qui semblait être leur intention. Elle se sentait en sécurité dans cette hypothèse, ils ont fermé sur elle rapidement. Ils étaient énormes. Parkas et des engins de neige de côté, ils étaient bien plus de six pieds de haut et clairement construit comme des maisons en briques.

"Bien, bien. Regardez ça. Davide, je crois que nous avons trouvé nous-mêmes un voisin. "

«J'ai remarqué que," Davide répondu, tendre la main pour tenter un remorqueur à son pot d'échappement où il a couvert son visage. Valera tira en arrière loin de sa portée. "Pas très sympa, est-elle?"

"Eh bien, c'est parce qu'il fait froid dehors, idiot. Passons à l'intérieur de son où l'on peut la réchauffer. "

Valera aurait besoin d'être un imbécile de ne pas avoir attrapé le entender sinistre à cette remarque. Son cœur frémit durement dans les limites étroites de coup sa poitrine et son ventre se tortille avec anxiété. Elle n'a rien dit quand Davide s'est emparé d'elle, puis la poussa vers sa cabine, elle vient de payer une attention particulière et calme.

"Morrigan, obtenir le prêtre."

Prêtre? Bon, alors qu'est-ce que ça veut dire? Allait-elle être une partie de quelque torsadée fusil-mariage scénario? Ici au milieu de la nature sauvage de l'Alaska? Toute la situation devenait très surréaliste de Valera, de même que son sang a couru à travers elle dans la reconnaissance du danger de fermeture dans son entourage.

Davide approché de l'entrée cabine et après un mouvement prudent qui a le dos contre le mur extérieur, il la repoussa en face de la porte, le creusement de ses doigts cruels pénétrant son parka et des ecchymoses son bras.

«Maintenant, écoute-moi bien. Ouvrez la porte, allez à l'intérieur de la première salle, et éteignez toutes les lumières. Faisons agréable et romantique, tout va bien? "Il lui sourit, le blanc de ses dents clignotant dans l'obscurité de la nuit. "Et si vous essayez quoi que ce soit compliqué, je vous promets que vous le regretterez. A partir de maintenant, tout ce que nous voulons, c'est un lieu de repos pour la journée, de la nourriture et un peu de confort. Alors nous serons sur la bonne voie et vous pouvez retourner à votre petite vie. Mais vous essayez de me tester, et cette dynamique va changer très vite. Ne comprenez-vous? "

Valera hocha la tête, un tremblement inévitable se précipiter à travers elle que son esprit imaginatif rempli tous les espaces qu'il avait laissés derrière. Elle savait qu'il avait volontairement pas défini "confort" en détail et elle savait que ses promesses n'étaient que des mensonges. Ce sont des hommes puissants et dangereux. Ils empestait de la peine qu'ils ont apporté avec eux.

Elle essaya de réfléchir. J'ai essayé de comprendre pourquoi ils voulaient les lumières éteintes. La recherche d'une explication a gardé son esprit occupé et encombré sur la peur qui voulait empiéter sur elle. Elle avait besoin de rester à l'écart. Concentré.

Valera réalisé que c'était probablement une tactique pour préserver leur anonymat. Les deux hommes étaient très à la peau sombre et tout, mais mélangé dans la noirceur de la nuit, leurs caractéristiques indissociables ... même si elle a fait un effort de ne pas regarder l'un d'eux trop longtemps de peur qu'ils pensent qu'elle essayait de mémoriser leurs identités afin qu'elle puisse en rendre compte plus tard. Tant qu'ils essayaient de cacher leurs visages, cela voulait dire qu'ils devraient quitter sa vie quand ils sont allés.

Val est entré dans sa cabine lentement et appuyez sur l'interrupteur d'abord dans la salle de bois. Elle n'avait pas peur de naviguer à la maison dans l'obscurité. Elle avait fait de nombreuses fois lorsque le générateur a échoué ou à court de carburant. Parfois circuits grillée ou elle a simplement besoin d'économiser du carburant pour une raison quelconque.

Elle s'avança vers le haut hors de la zone avant et ouvrit la porte de la maison à l'intérieur. Les doubles portes ont été conçus pour laisser courrier en bois librement sans se soucier de débusquer toute la chaleur dans toute la maison. Ce but a été d'être vaincu, bien sûr, que son hôte a laissé la porte grande ouverte et a légèrement derrière elle avec soin, en restant dans l'obscurité et les ombres.

Le salon s'ouvre devant elle et il était déjà très sombre. Simples petites lampes sur deux tables de coin et la cheminée étaient tout ce qui éclairait la chambre.

"Jetez l'eau sur le feu pendant que vous y êtes,» fut la commande bourru derrière elle.

C'était presque drôle de voir comment cet ordre ébouriffé ses plumes. Évidemment, elle a gardé la réponse revêche à elle-même, mais c'était presque une insulte personnelle pour elle et sa maison d'exiger le feu inextinguible être étanchée. Elle prit une grande inspiration et essaya de se rappeler la nécessité de se concentrer sur les questions importantes. Elle éteint les lampes et alla chercher une cruche d'eau de la cuisine. Il serait beaucoup plus froid dans la maison sans le feu, ce qui oblige le générateur à travailler plus fort et plus vite brûler le combustible. Encore une fois, c'était un souci pour plus tard. Elle venait de remplir le réservoir et il serait dernières heures.

Juste le temps pour eux de violer et de me tuer, pensa ironiquement.

Une fois que le feu a été aspergé, Davide son bousculé par le reste de la maison jusqu'à ce qu'il n'y avait pas une lumière sur n'importe où. Il sursauta même prise son horloge numérique de la paroi, en noircissant les numéros rougeoyantes. Davide puis la renvoya dans son salon avec un bon coup, son atterrissage sur le plus proche canapé dans l'obscurité. Les yeux de Val s'adaptaient rapidement car elle n'a pas garder la maison trop brillant pour commencer, et elle a vu l'homme appelé Morrigan entrer avec un énorme fardeau jeté sur une épaule. Évidemment, il n'était pas précieuse cargaison parce qu'il a diminué la chose gainé de toile de jute sur le sol avec un haussement d'épaule. Il a frappé dur et solide sur le plancher en bois.

Elle savait tout de suite que la toile de jute contient un corps.

Nausées se précipita sur elle quand la chute n'a pas amener l'organisme à émettre un son unique dans l'indication qu'il avait ressenti une douleur ou était vivante en aucune façon. Était-ce le prêtre dont ils parlaient? Qu'avaient-ils fait? Pourquoi? Pourquoi étaient-ils encore ici?

Ce devait être à cet endroit. Celui où vous êtes allé dans le but de se perdre de tout le reste de la race humaine. Pendant neuf ans, il avait été à cet endroit. Pas une âme at-elle vu ici. Seuls ceux qui avaient travaillé à la construction de la maison savait où il était. Les gens avaient une vague idée, ils l'ont vu et se sont interrogés sur elle quand elle est venue en ville pour ses fournitures, mais aucun d'eux ne savait à coup sûr. Elle voulait de cette façon. Elle avait même taillé un petit panneau de bois comme une private joke et l'avait accroché à sa porte.

Il a dit Shangri-La.

Mais maintenant, il y avait des intrus dans son havre secret qui pourrait détruire l'équilibre et la paix du lieu. Elle pouvait le sentir dans chaque terminaison nerveuse crier et chaque cellule du sang tremblant. Morrigan et Davide a commencé à enlever leurs vêtements extérieurs, et elle sentait déjà les yeux sur elle. Ils échangèrent des regards et des sourires, en essayant de l'intimider avec l'intention mal qu'elle pouvait sentir émane d'eux.

Valera se leva lentement, les mains crispées dans les poings que la colère se précipitèrent à travers elle de se mêler à sa peur. Elle se sentait l'étincelle de ce réchauffement à travers son ventre comme elle regarda fixement la cause de celui-ci, non plus se soucier de ce qu'ils pensaient de ses attentions.

«Tu deviens mon plancher mouillé», dit-elle doucement.

Les deux hommes s'arrêtèrent comme si elle avait appuyé sur un bouton pause sur sa télécommande. Ils la regardaient comme si elle avait perdu la tête, puis Davide aboya un rire énorme de l'incrédulité.

«Assieds-toi, putain bas et tais-toi, ou je vais vous montrer un sol mouillé," Morrigan gronda à son vicieusement. «Je vais vous couper la gorge baise et vous permettent de vous regarder saigner partout."

"Du moment que nous sommes clairement où nous en sommes," Valera contrée tout aussi calmement que précédemment.

Lentement, elle croisa les bras sur sa poitrine, serrant les poings de la façon dont elle serrait les doigts bien. Elle prit une inspiration lente et se concentre parfaitement que la force a fleuri à travers le centre de son corps. Soudain, elle poussa sur ses bras et ses mains, l'envoi de cette force recueillies dans ses paumes comme ils enroulée ouverte avec un claquement de muscle rigide.

"Asparte inomus ancante mious!"

Les paroles ont été prononcées rapide et féroce et le feu bleu explosé le long de ses bras et dans les mains, où il se sont réunis en boules de munitions crépitantes. Les deux hommes ont crié au pas terrible avant même d'avoir lancé la première balle, ce qui lui intrigué quelque part dans le fond de son esprit. Elle jeta ses armes et de son but surnaturel, elle les a frappés tous les deux parfaitement.

Le sort était simple mais puissant. Chaque boule brillante de bleu de cobalt énergie frappé sa marque et un écran lumineux, enveloppé domaine magnifique les deux hommes. Ce serait envoyer un choc électrique à travers eux assez de les assommer à froid, et le champ de stase les tient dans cet état aussi longtemps qu'elle le laisser tourner le sort.

Ou que c'était l'idée.

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Date de sortie

The Shadowdwellers, Tome 3 : Pleasure

  • USA : 2009-08-25 (English)

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