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- Ce rôle du playboy texan. avec moi, tu oublies. Je ne suis pas une de tes poupées et je ne le serai jamais.
Elle frissonna de dégoût à l'idée de n'être qu'un numéro de plus parmi ses nombreuses conquêtes.
Le sourire de Dylan s'évanouit.
- Non, tu es tout sauf ça.
Afficher en entierEn dépit du bon sens, Sam commençait vraiment à apprécier ce mec. Oui, celui-là même qui était en train de jouer les abrutis avec beaucoup d'autodérision pour la faire rire.
Afficher en entierLe cœur de Dylan tambourinait sous son oreille. Il la serrait contre lui d'un bras, caressant ses cheveux avec l'autre main. Il laissait glisser ses mèches entre ses doigts jusqu'à la pointe, emplissant la surface de son crâne de petits frissons. Avec leurs jambes entrelacées, plus aucune parcelle de leurs corps ne se touchait pas.
C'était euphorisant et déchirant à la fois. Sam avait pris soin de préserver son cœur meurtri pendant des années, et voilà qu'il était guéri. Cependant elle avait bien conscience que, dès le lendemain, une nouvelle blessure s'ouvrirait, entraînant dans son sillage une souffrance inévitable.
Afficher en entier-A mon tour, décréta Walters. Est-ce que tu as toujours aussi mal quand tu penses à elle?
Dylan serra le poing en même temps que l'étau se resserait sur son coeur. "A chaque putain de fois" était la réponse honnête. Il déglutit.
- Oui.
Afficher en entierSam frémit lorsque sa paume entra en contact avec la peau soyeuse du sexe dressé de Dylan. Elle intensifia leur baiser, elle en voulait plus. Cet homme avait une façon de passer de la tendresse à l'humour qui la déroutait complètement et qui l'enchantait presque malgré elle.
Elle referma la main sur son membre, le caressa puis en effleura le gland avec le pouce. Si elle avait pu, elle se serait jetée sur lui à corps perdu, elle aurait pris les rênes pour obtenir de lui ce qu'elle voulait, mais c'était impossible.
Pas cette fois.
Cette étreintes charnelles la désarçonnait plus que les précédentes, pas sur le plan sexuel qui avait toujours été exceptionnel, mais l'expérience intime qu'elle était entrain de vivre allait bien au-delà. Cette idée lui donna envie de fuir à toutes jambes, alors elle préféra se concentrer sur la peau douce de Dylan, sur sa langue qui dansait avec la sienne, sur le parfum enivrant de son déodorant mêlé à un soupçon de sueur. Elle parvint à maîtriser le feu qui couvait, menaçant d'embraser tout son corps, et, pour une fois, elle savoura la lente progression des flammes qui se propageaient en elle.
Afficher en entier— C’est un bon père, répondit-elle à voix basse. Je n’ai jamais manqué de rien ni douté de son amour pour moi. De celui de ma mère non plus d’ailleurs. Ils m’ont toujours soutenue tous les deux
Afficher en entier— Violet.
— Vert.
— Chocolat.
— Steak.
— Hiver.
— Automne.
Afficher en entierElle alluma la lampe extérieure pour le livreur et éteignit la télévision en traversant le grand salon.
Manger de la pizza au lit avec Dylan et se prêter à son espèce de jeu des vérités : cette perspective était la plus terrifiante et la plus réjouissante qu’elle puisse imaginer.
Afficher en entier— Qu’est-ce qu’on mise ?
— Du plaisir charnel, bien sûr.
Afficher en entier— Là, j’avoue que je ne pige pas, marmonna Dylan.
— Ce n’est pas grave, le rassura Hauke.
— Ce ne sont pas nos affaires, renchérit Walters.
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