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Les élèves sont réunis pour écouter leur directrice. Mais lorsque le discours s’achève, l’un d’entre eux, Tyler Browne, verrouille les portes et tire sur la foule. Commencent alors cinquante-quatre minutes de massacre, cinquante-quatre minutes glaçantes racontées dans les messages des victimes à leurs proches et par quatre élèves, à l’intérieur et à l’extérieur de la salle. Cinquante-quatre minutes pendant lesquelles Tyler force ses otages terrorisés à l’écouter se plaindre. Il n’a jamais été aimé, ni par sa petite amie Claire, ni par son père violent et alcoolique, et encore moins par sa sœur Autumn, à laquelle il ne pardonne pas de vouloir partir à New York pour être danseuse. Tyler assassine trente-neuf personnes et met fin aux rêves d’Autumn : une balle dans le genou l’empêchera pour toujours de danser. Puis il se donne la mort…
La terreur est notre plus grande force, parce que nous avons peur uniquement quand nous avons quelque chose à perdre - nos vies, nos amours... notre dignité.
Tout d'abord, merci beaucoup aux Editions Hachette et à NetGalley pour cette lecture dont le résumé (et la couverture) me donnait vraiment envie.
Je savais déjà à quoi m'en tenir avec 54 minutes. Une fusillade dans un lycée, c'est terrible, et le mot "terrible" n'est pas adapté, car il n'y a aucun mot pour qualifier cela.
Je ressors assez mitigée de ma lecture. Elle ne m'a pas emmenée là où je voulais.
Le problème c'est que, dès le début, je n'ai pas été attirée par le style de l'auteur. Et ça, c'est simplement une question de goût. Je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages.
On découvre Claire, qui est à l'extérieur du lycée à s'entraîner pour une course. J'ai trouvé toutes les parties de Claire assez longues et inutiles, hormis le fait d'avoir un avis de quelqu'un de l’extérieur, mais vu que je ne me suis absolument pas attachée au personnage, ces moments m'ennuyaient.
On a aussi le point de vue de Autumn, la soeur de Ty, un personnage que j'ai bien aimé, mais sans plus. Pas assez abouti pour moi. On comprend assez tôt ce qu'elle vit au sein de sa famille, mais, encore une fois, la façon dont cela est abordé, fait que je n'ai pas été touchée.
Il y a aussi Sylv, Tomas et Fareed ( mes 3 personnages préférés). Mais les passages du point de vue de Sylv étaient aussi un peu long, à cause de tous ces souvenirs, placés un peu partout.
Les souvenirs ne m'emballent jamais vraiment il faut dire. Je trouve qu'ils ralentissaient le rythme de l'histoire, et ceux là ne me touchaient malheureusement pas autant qu'ils l'auraient dû.
J'aurai tellement aimé lire la voix de Tyler. Sa colère, sa tristesse, son désarroi, au travers ses mots à lui. ça m'a beaucoup manqué.
Cependant, j'ai été totalement surprise par la violence des coups, ne m'imaginant pas, avant d'en lire les lignes, que j'aurai à faire à un tel massacre. J'ai aussi été surprise par certaines phrases, certains mots, qui me touchaient à l'imprévu.
C'est ce qui rend le livre un peu plus fort. Plus poignant, plus réel, plus oppressant à certain moment.
En bref :
Un style qui ne m'a pas emballé, des personnages qui manquent de profondeur. Une situation effrayante, oppressante, avec des passages absolument poignants et percutants, et d'autres assez longs et pas vraiment inintéressants (pour moi!).
Mais une lecture dont on ne sort pas indemne et qui même si elle ne m'a pas emportée comme je le voulais, m'a transmis le principal.
Aimez sans compter. Aimez chaque jour, chaque heure, chaque seconde.
54 minutes est un roman choc sur un sujet poignant qui est malheureusement encore et toujours d'actualité : les tueries de masse en milieu scolaire. Je ne vais pas vous faire l'affront de vous dire pourquoi c'est un récit touchant et bouleversant en long, en large, et en travers. Toute personne étant capable d'un minimum d'empathie ne peut qu'être ébranlé face à une tragédie de cette ampleur. Bien sûr que la lecture de 54 minutes est dure, sûrement insupportable pour les plus sensibles, et que certains passages peuvent nous emmener au bord des larmes. Mais il y a aussi le reste, ce reste qui pour ma part est ce qui m'a empêchée d'être complètement embarquée dans cette histoire et a fait que 54 minutes n'a pas été un coup de cœur. Donc pour une fois, malgré la note très élevée que j'ai accordée à ce roman, je vais un peu plus appuyer et développer les éléments qui ont pêchés.
54 minutes s'articulent autour de 4 personnages bien précis durant cette bulle temporelle où l'horreur se produit. Claire, Tomas, Sylvia, et Autumn. 4 personnes qui ont toutes des liens avec Tyler, le tireur. Claire est l'ex petite amie de Tyler. Tomas a eu bien des différents avec le jeune homme. Sa sœur jumelle, Sylvia, est en couple avec Autumn. Autumn qui est elle la petite sœur de Tyler. Bref ce sont quatre personnages qui ont gravités autour de Tyler bien avant cet événement et qui se retrouvent donc bien malgré eux impliqué entre peur, regrets, colère, et culpabilité dans sa folie vengeresse.
Honnêtement à la base c'était une assez bonne idée que de se concentrer sur différents personnages, qui vivent chacun l'histoire différemment car ils ne se trouvent pas tous dans l'auditorium, et surtout sur des personnages qui connaissent bien le tireur. Néanmoins Marieke Nijkamp a choisi d'apporter un peu trop d'eau à son moulin et on ne passe pas loin de la noyade. En effet TOUT les personnages évoqués ont des vies compliquées, beaucoup de problèmes, des passées lourds, bref aucun cliché n'est oublié et cela crée une distance qui n'a pas lieu d'être. C'est beaucoup trop et à mon sens cela enlève un peu au sujet principal de l'histoire qui est cette tuerie. L'auteure propose une vision beaucoup trop manichéenne de la problématique, on est dans du tout noir ou tout blanc, alors que ce regard aurait mérité d'être beaucoup plus nuancé, développé, et surtout avec bien moins de sensationnalisme gratuit.
Personnellement, au final, le point de vue qui m'a réellement prise aux tripes c'est celui de Claire. Pas pour le personnage en tant que tel. Mais parce qu'elle nous offre un regard extérieur à l'auditorium. Elle nous offre le point de vue des proches qui attendent à l'extérieur, rongés par l'angoisse et l'impuissance.
Outre ses défauts et ses exagérations, 54 minutes est tout de même un roman qui vaut le coup d'être lu ne serait-ce que pour ce qu'il défend. Et aussi parce qu'il se lit ultra vite. Une fois commencé, on est pris au piège de l'histoire et personnellement je ne m’imaginais pas le reposer avant de l'avoir terminé. Néanmoins si cette thématique vous interpelle, je ne saurais que vous encourager à lire Hate List de Jennifer Brown qui évoque le sujet avec plus de pluralisme, et de profondeur, sans prendre de raccourcis, et surtout sans tomber dans l'exagération.
54 minutes racontées dans un roman entier. Je me suis demandé ce que l'autrice allait bien pouvoir raconter, et comment elle allait faire pour plonger le lecteur dans la vie de ces personnages en seulement 54 minutes. Et c'était brillant. Bien sûr, quelques détails n'ont pas pu être abordés et j'aurais aimé en savoir plus sur certains personnages, mais le choix de narration ne permettait pas tant de libertés. C'était prenant, émouvant et beau. Je recommande!
« Il enlève sa montre et l'observe. Je me demande combien de temps s'est écoulé. Des minutes. Une heure, peut-être.
On dirait des jours, une éternité. C'est impossible d'imaginer que le monde autour de nous a poursuivi son rythme normal.»
Tout est dis… l’autrice réussi à nous faire percevoir comment le temps, dans ces moments d’horreurs peuvent paraître si longs, pleins de torture, d’espoirs, de peur, d’incertitude…
Qu’aurions nous pu faire pour que de tels événements n’aient pas eu lieu?… Qu’aurions nous pu dire?
Ce roman, ça fait des lustres que j’ai envie de le lire. Mais je pense que j’avais un peu trop peur du sujet pour me lancer dedans. Pas peur dans le sens que ça pouvait ne pas me plaire mais plutôt peur que le sujet soit trop fort pour le lire. J’ai pris mon courage à deux mains et j’ai enfin pris le temps de le lire. Enfin, je devrais plutôt dire que je l’ai dévoré parce qu’il n’a vraiment pas fait long feu entre mes mains.. Cette chronique ne va pas être facile à écrire, il est dur de trouver les mots justes dans ces cas là.. Cette lecture a été un énorme coup de coeur.
Je ne connaissais pas du tout cette auteure mais je suis ravie de l’avoir enfin découverte. Sa plume est vraiment fluide et addictive. Si addictive qu’il est impossible de lâcher le roman avant d’avoir tourné la dernière page. J’étais incapable de le poser et de le reprendre plus tard. Non, il fallait que je le lise jusqu’à la fin. Plus on avance dans notre lecture et plus on veut en savoir plus. On veut savoir comment tout ça se termine. L’auteure arrive à nous happer dès la première page et ça, jusqu’à la dernière..
Dans ce roman, on se trouve à Opportunity School, Alabama. Les élèves sont réunis pour écouter leur directrice. Mais lorsque le discours s’achève, l’un d’entre eux, Tyler Browne, verrouille les portes et tire sur la foule. Commencent alors cinquante-quatre minutes de massacre, cinquante-quatre minutes glaçantes racontées dans les messages des victimes à leurs proches et par quatre élèves, à l’intérieur et à l’extérieur de la salle. Tous ont un lien avec Tyler : Claire, son ex-petite amie, Autumn, sa propre sœur, Sylvia, la petite amie d’Autumn et le frère de celle-ci, Thomas. Cinquante-quatre minutes pendant lesquelles Tyler force ses otages terrorisés à l’écouter se plaindre. Il n’a jamais été aimé, ni par sa petite amie Claire, ni par son père violent et alcoolique, et encore moins par sa sœur Autumn, à laquelle il ne pardonne pas de vouloir partir à New York pour être danseuse. Mais loin d’être une victime, Tyler est avant tout un psychopathe, qui assassine trente-neuf personnes.
Cette lecture m’a profondément marqué et je ne suis pas prête de l’oublier. Elle a laissé sa marque en moi.. C’est une lecture vraiment difficile à lire, elle nous montre aussi l’horreur des fusillades de masse dans les établissement scolaires aux USA.. Malheureusement ça arrive beaucoup trop souvent et tant de vies gâchées par la folie de certains.. Ça m’a fait mal au coeur de voir que c’est tellement une habitude qu’ils ont des exercices de confinement pour que les élèves soient prêts en cas d’attaque.. C’est tellement affreux et cette lecture nous plonge directement dans cette horreur. Je ne vous cache pas que j’ai versé un tas de larmes, ça a été vraiment difficile à lire. Ça m’a pris aux tripes, ça m’a mis les frissons, ça m’a donné envie de vomir parfois tant cette réalité est affreuse. Ce genre de roman est si poignant qui est difficile d’en ressortir indemne.
Je pourrais vous parler des différents personnages que l’on a dans ce roman mais je ne le ferrais pas. Pas parce que je n’ai pas envie mais parce que ça risquerait de spoiler sur certains points et je n’en ai pas envie. Ce que j’ai apprécié par contre c’est d’avoir différents points de vues. Sans en dire trop, les différents personnages que l’on suit se trouvent à des endroits différents, dans l’auditorium, dans le lycée ou encore à l’extérieur. J’ai trouvé que ça rajoute encore plus de tension dans la lecture. Et en plus, le fait de voir qu’ils ont tous un lien avec Tyler, ça rend la chose encore plus intense je trouve.
Quand j’écris ces mots, je me dis que pour comprendre réellement ce roman, il faut le lire. C’est vraiment le genre de roman qui nous marque au plus profond de nous même. Un roman qui nous plonge dans l’horreur total. C’était glaçant, poignant, intense, ça prends clairement aux tripes. Ce n’est pas une lecture facile, loin de là même. Impossible de ressortir indemne de ce roman. Et je pense même qu’il est impossible de ne pas pleurer.. Ça m’a fait ressentir tellement mais tellement d’émotions.. Ce roman devrait être lu de tous même. Un roman coup de poing et d’une intensité insoutenable.
Un roman qui mérite son succès. Excellent histoire touchante au possible sans tomber dans le pathétique. des personnages rencontrer dans un lapse de temps très court et pourtant on s'attache à eux sans se forcé. Un récit maîtrisé d'un bout à l'autre.
Comment des jeunes ayant un avenir devant eux peuvent se retrouver dans ce genre de situation terrifiante? Coup de folie, vengeance les raisons sont multiples nous le comprenons à travers cette histoire. J'ai passé un très bon moment avec la plume de l'auteur malgré le sujet lourd, Marieke Nijkamp laisse entre apercevoir une lueur d'espoir et de solidarité entre ces jeunes qui se retrouvent démunis. Je n'ai pas adhéré à 100% concernant la narration qui j'ai trouvé traînait en longueur par moment pour au final nous mener nulle part, heureusement le sujet brillamment traité chasse cette petite déception, bien sûr je recommande ce livre sans problème !!
Résumé
Opportunity School, Alabama.
Les élèves sont réunis pour écouter leur directrice. Mais lorsque le discours s’achève, l’un d’entre eux, Tyler Browne, verrouille les portes et tire sur la foule. Commencent alors cinquante-quatre minutes de massacre, cinquante-quatre minutes glaçantes racontées dans les messages des victimes à leurs proches et par quatre élèves, à l’intérieur et à l’extérieur de la salle. Cinquante-quatre minutes pendant lesquelles Tyler force ses otages terrorisés à l’écouter se plaindre. Il n’a jamais été aimé, ni par sa petite amie Claire, ni par son père violent et alcoolique, et encore moins par sa sœur Autumn, à laquelle il ne pardonne pas de vouloir partir à New York pour être danseuse. Tyler assassine trente-neuf personnes et met fin aux rêves d’Autumn : une balle dans le genou l’empêchera pour toujours de danser. Puis il se donne la mort…
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