Thorgal, tome 7 : L'Enfant des étoiles

C'est sympa de connaitre un peu les origines de Thorgal, même si elles sont clairement tirées par les cheveux.

On explore une autre partie de l'univers de thorgal dans ce tome ci. On découvre ses origines et ce pourquoi il est particulier. Je le redis, cette série, je vous la conseille facilement !

Cet album est constitué de trois histoires d'une quinzaine de pages sur l'enfance de notre héros Thorgal, parues dans le journal hebdomadaire de Tintin lors de son édition. De Beaux dessins et couleurs. c'est un album différent des autres mais qui a son importance pour bien comprendre d'où vient Thorgal.

J'aime beaucoup ce tome, car il présente les origines de Thorgal un peu plus clairement, et que le passage avec les nains exploite totalement le parti de mixer science-fiction et mythologie nordique.

L’enfant des étoiles, tome 7 de la série Thorgal, nous propose de découvrir les origines du plus célèbre viking de la BD. Une enfance qui ne manque pas de surprendre le lecteur. Les 3 nouvelles sont : Le drakkar perdu, Le métal qui n’existait pas et Le talisman.

120 vikings étaient partis, chargés d’espoirs d’aventure et de trésors. Pris dans une terrible tempête, ils n’étaient plus que 15, jouets dérisoires de la fureur des dieux. La révolte gronde parmi les derniers hommes du Nord, est-ce qu’un sacrifice calmera la colère des dieux et les sauvera ?

Dessinateur de génie, j’ai eu la chance de rencontrer Rosinski aux Rencontres autour de la BD de Gruissan. Alors, président d’honneur, il a rayonné avec ce talent du dessin qui subjugue même les autres dessinateurs. Le duo Rosinski / Van Hamme a créé une bande dessinée envoutante.

J'ai beaucoup apprécié ce retour dans la jeunesse de Thorgal à travers de petites histoires, c'est très réussi et très intéressant.

Un petit break bienvenu dans la saga avec ce retour sur la jeunesse de Thorgal en trois parties. Van Hamme maîtrise très bien les histoires courtes. On apprend quelques éléments importants de son enfance et le récit gagne en cohérence, avec notamment la troisième histoire, où l'auteur mélange avec adresse les éléments SF et fantasy de son récit, un mix particulièrement casse-gueule. Toute la force de la série réside peut-être d'ailleurs dans le fait d'avoir aussi bien réussi l'amalgame. Le dessin est par contre tout à fait kitch dans les passages SF, mais ça fait aussi son charme.

"Le métal qui n'existait pas" est à mon sens le meilleur du lot, et un bon exemple de ce mélange fantasy-SF. Le côté contes et légendes prédomine, et Van Hamme comme Rosinski y sont particulièrement à l'aise. Mention spéciale au géant Hjalmgunnar !

Trois petites histoires centrées sur l'enfance de Thorgal, ce qui nous permet d'en apprendre plus sur lui. Ce tome fait un peu office de spin-off quand on y pense.

Un tome qui m'a bien plus. Il contient plusieurs petites histoires centré sur l'enfance de Thorgal. On y découvre son arrivé au sein des vikings, son lien avec Aaricia et ses origines. C'est un peu comme un Flash Back. On est donc plus informé sur la vie de Thorgal.

Plutôt un bon tome.

Septième tome qui donne des éléments importants au lecteur, mais enlève dans le même temps toute une part du mystère de Thorgal. Découpée en plusieurs histoires, cette bande dessinée propose une approche moins héroïque mais chargée d’histoires et d’émotions.

Le récit est bien construit mais je reste sur la déception de découvrir les origines de Thorgal aussi tôt dans la saga et surtout de manière aussi crue.

Le graphisme est toujours aussi bien réalisé et à tendance même à s’améliorer par quelques détails, mais ça reste du Thorgal.

L’album le plus décevant et qui pour ma part n’apporte rien à la saga.