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Je le repoussai faiblement tout en commençant à perdre patience.

– Ce que tu peux être lunatique.

– Je suis pas lunatique, je suis un artiste.

– Un artiste lunatique, alors… Pire qu’une nana, ajoutai-je d’une voix imperceptible.

Mais il m’avait entendue. Il me retourna brutalement pour que je sois face à lui, me plaqua contre le comptoir et se pressa contre moi, une main sur ma hanche, le souffle court.

– Je peux te garantir que je suis un mec.

Il m’embrassa dans le cou et je frissonnai à nouveau. Et merde… Il avait tout d’un mec, en effet.

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Extrait ajouté par maya18 2012-12-09T15:36:11+01:00

"Je suis désolé. J'allais être stoïque, et ne rien dire tant que tu voudrais de moi, mais nous avons fait l'amour...et je n'ai, je n'ai jamais eu ça...et je ne veux pas redevenir celui que j'étais avant. Je te veux toi et seulement toi et je ne supporte pas l'idée de te partager. Je suis désolé."

Il baisse les yeux tristement.

"Je veux être avec toi de la bonne façon - à découvert. Je veux te faire l'amour sans la peur que quelqu'un nous surprenne. Je veux m'endormir avec toi dans mes bras toutes les nuits. Je ne veux pas me sentir coupable à cause de choses qui font que je me sens si...entier. Je suis désolé, Kiera, mais je te demande de choisir."

(selon ma traduction)

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Extrait ajouté par anonyme 2014-04-22T11:30:59+02:00

Parfois, Matt et ma sœur parlaient de Kellan mais ils dérivaient de sujet dès que j'entrais dans la pièce. Une de leur discussion me laissa un gout amer. Je venais juste de rentrer dans l'appartement sans faire de bruit et je les entendis parler dans la cuisine.

-...pile sur son cœur... Romantique, hein ? dit la voix de Matt.

-Qu'est-ce qui est romantique demandai-je en entrant dans la pièce

-rien dirent-ils au même moment

(...)

-Tu m'aimes toujours ?

Je retins mon souffle en attendant sa réponse. A en juger par sa chanson et son expression, j'avais envie de croire que oui, mais j'avais besoin de l'entendre de sa bouche. Il soupira, releva la tête et acquiesça lentement.

-T'imagines pas à quel point.

Je posais ma main sur son cœur et il posa sa main sur la mienne pour m'empêcher de bouger.

-Je t'ai jamais quittée. Tu as toujours été là, avec moi.

Je crus d'abord que sa phrase était symbolique, avant de repenser à la conversation entre Matt et Anna, dans la cuisine. A l'époque, j'avais supposé qu'il avait fait un truc romantique pour une autre fille, mais et si, en fait...

Je tirai sur le col de son tee-shirt et il me laissa faire. Je ne savais pas trop ce que je cherchais, jusqu'au moment ou je vis le noir sur sa peau autrefois immaculée. Je tirais davantage sur le tissu et je restais bouche bée. Il m'avait dit un jour qu'il avait du mal à imaginer quelque chose qu'il aimerait avoir sur sa peau en permanence, et j'étais la, en train de fixer mon propre nom tatoué juste sur son cœur. Le mien se brisa tandis que je suivais les contours calligraphiés de mon prénom

-Kellan, dis-je d'une voix étranglée.

Il remonta son tee-shirt avant d'appuyer son front contre le mien.

-Bien sur que je t'aime encore. J'ai jamais cessé de t'aimer

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Il sourit en secouant la tête et posa la guitare sur mes genoux.

– Vas-y, toi.

Je fis la grimace. La dernière fois qu’il avait essayé de m’apprendre, j’avais été pire que nulle.

– Quand tu joues, c’est joli. Quand c’est moi, on dirait que la guitare a envie de se jeter par la fenêtre.

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– C’est quoi, ton accent ? Tu es anglais ?

– Australien, répondit Denny en lui souriant poliment.

– Ahhh ! dit Griffin en hochant la tête, comme s’il l’avait toujours su. Ohé, mon pote ! ajouta-t-il en tentant d’imiter son accent.

Kellan et Evan se mirent à rire, et Matt le regarda comme s’il avait le pire abruti du monde en face de lui.

– Mec, il est australien, pas pirate.

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Extrait ajouté par maya18 2012-12-09T15:47:55+01:00

"Est-ce que tu as couché avec lui?" il chuchote. Je ne bouge plus et cligne des yeux rapidement plusieurs fois.

"Kellan...ne me demande pas ça." Il fait un signe de la tête et regarde au loin, en se renfrognant.

"Donc, jusqu'à ce que tu décides, comment ça va marcher exactement, Est-ce que Denny et moi devons établir un emploi du temps?"

(selon ma traduction)

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Extrait ajouté par maya18 2012-12-09T15:24:05+01:00

"Parce que tu es à moi!" je répond en lui criant après, plutôt intentionnellement. Bien sûr, il n'était pas vraiment mien...

Le silence immédiat après ça était assourdissant. Le visage de Kellan pâlit et là lentement, devint très, très vibrant de colère. "Non, non je ne le suis pas! C'EST TOUT LE PUTAIN DE SUJET!"

(selon ma traduction)

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Extrait ajouté par nini84 2014-04-19T10:16:45+02:00

-Peut-être qu'on ne devrait pas. . .

-ça va Kiera. Dors, murmura-t-il en souriant.

Je me rallongeai et posai ma tête sur mon épaule. J'attrapai la main qui caressait mon dos et entrelaçait mes doigts avec les siens. Puis j'amenai nos mains à l'oreiller et nichai ma joue. Il soupira de contentement et m'embrassa de nouveau sur le front.

-Kellan ?

-Ca va , je t'assure . . .

-Non, c'est juste que je me demandais . . . pourquoi tu veux faire tout ça avec moi ? Je veux dire, tu sais que ça mène à rien, alors pourquoi tu perds ton temps ?

-Je perds jamais mon temps avec toi, dit-il d'une voix douce et caressante. Et si c'est tout ce que je peux avoir . . .

http://lepetitmondedeceline.blogspot.fr/2014/04/thoughtless-tome-1-indecise-de-s-c.html

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La voiture me rattrapa et commença à rouler à la vitesse à laquelle je marchais. Je finis par tourner la tête et me sentis encore plus vulnérable en reconnaissant la vieille Chevelle noire. Bien sûr, il avait fallu qu’il me suive. Il se pencha par-dessus la banquette pour ouvrir la fenêtre côté passager.

– Monte, dit-il à travers la vitre ouverte.

– Non.

Furax comme j’étais, c’était une très mauvaise idée de me retrouver seule avec lui. Et encore plus après ce qui s’était passé au Spanks.

– Tu vas être trempée. Monte, dit-il en essayant de masquer l’impatience dans sa voix.

– J’ai dit non.

– Bon, alors je vais te suivre comme ça jusqu’à la maison.

– Ça va, je suis une grande fille.

J’arrêtai d’avancer et il arrêta la voiture.

– Hors de question que tu rentres toute seule à cette heure-ci. C’est dangereux.

Toujours moins dangereux que de rentrer avec toi.

– C’est bon, je te dis.

Je repris ma route et l’entendis soupirer d’un air exaspéré avant de redémarrer. Je le vis tourner au coin de la rue et je pensais en avoir fini avec lui, mais il arrêta la voiture et descendit. Bon sang, il peut pas me laisser tranquille ?

Le temps de me rejoindre, il était déjà trempé jusqu’aux os. Ses cheveux lui tombaient sur le front et son tee-shirt lui collait à la peau, ce qui me fit soudain repenser à la fois où il avait pris une douche tout habillé. Il était tellement sexy que je sentis ma respiration s’accélérer. Je n’avais vraiment pas besoin de ça.

– Monte dans cette foutue bagnole, Kiera.

– J’ai dit non !

Lui aussi avait l’air furieux. Je le poussai en arrière mais il m’attrapa par le bras et commença à me traîner vers la voiture.

– Arrête ! Lâche-moi !

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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Extrait ajouté par chouquette14K 2014-12-23T02:58:43+01:00

Enfin, je finis par retrouver l’usage de mes jambes et je me précipitai au rez-dechaussée.

Sans réfléchir, j’attrapai les clés de sa voiture sur la console dans l’entrée et claquai la porte de la maison. S’il n’avait pas remarqué que j’étais là, maintenant il le savait !

Il ne fermait jamais sa voiture à clé, et je n’eus qu’à ouvrir la portière et à

m’installer au volant. Je mis immédiatement le contact et un éclair de plaisir vicieux me parcourut lorsque j’entendis le moteur rugir. Je savais qu’il allait l’entendre et qu’il comprendrait immédiatement ce que j’avais fait. Je fis précipitamment marche arrière et me mis en route en jetant un coup d’oeil dans le rétro, mais la porte d’entrée ne s’ouvrit pas. Peut-être qu’il était trop pris par son « rencard » pour s’inquiéter de sa voiture. Je violai une demi-douzaine de lois sur la route mais je parvins à arriver au bar

à l’heure et je souris en me garant sur le parking. Sa voiture était vraiment sympa à

conduire et je jubilai de savoir que Kellan allait être fou de rage. Il n’y avait pas de raison pour que je sois la seule en pétard à la maison. Avec un sourire diabolique, je réglai la radio sur une station qui passait de la polka et montai le volume au maximum avant de couper le contact. C’était complètement gamin mais ça me mit d’excellente humeur, et j’avais un sourire jusqu’aux oreilles en entrant dans le bar.

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