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Extrait ajouté par Eleana2731 2018-08-07T21:30:40+02:00

– T’en fais pas, me murmura-t-il dans le creux de l’oreille, je te protégerai contre

Griffin.

Griffin frappa à la fenêtre et pressa sa bouche contre la vitre, puis il se mit à la lécher en faisant tinter son piercing contre le verre. Je grimaçai et tournai la tête pour ne pas le voir. Matt ouvrit la portière arrière du côté de Kellan et me sourit. Il avait l’air sincèrement content de me voir.

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– Et désolé, ajouta-t-il en nichant son visage dans mon cou.

Je ne compris pas pourquoi il s’excusait et je m’écartai pour qu’il lève la tête vers moi. Quand il le fit, il avait l’air à la fois heureux et mal à l’aise.

– J’avais pas prévu de me comporter comme une gonzesse.

Il secoua la tête et baissa les yeux, et je ris en me rappelant la fois où je lui avais dit qu’il était pire qu’une fille.

– Je peux t’assurer que c’était pas le cas.

Mon commentaire le fit rire, puis il fronça les sourcils.

– C’est juste que ça faisait une éternité, et y a encore pas si longtemps, je pensais que jamais on…

Il haussa les épaules, peinant à trouver ses mots.

– Enfin bref, désolé de m’être donné en spectacle, dit-il en faisant une grimace adorable.

– T’as aucune raison d’être gêné. T’excuse jamais de me dire ce que tu ressens vraiment… ou ce qui te fait peur.

Je l’embrassai tendrement et je roulai sur le dos, et il se retrouva au-dessus de moi.

– Je veux pas que tu gardes ces choses-là pour toi. Je veux savoir ce que tu ressens et ce que tu penses, même si c’est pas toujours facile à dire. Je t’aime, et j’ai pas l’intention d’aller où que ce soit.

Il hocha la tête et s’affala sur moi, son front appuyé contre le mien. Je soupirai puis je passai des heures à lui caresser les cheveux en l’embrassant de temps en temps. Finalement, c’était moi qui me retrouvais à le serrer dans mes bras et à le réconforter, et ça me fit me sentir encore plus proche de lui. Il finit par s’endormir sans relâcher son étreinte, et c’est à ce moment-là que je me rendis compte qu’il ne la relâcherait jamais. Même si on ne l’avait pas vu venir et qu’il nous avait pris par surprise, l’amour qu’on éprouvait l’un pour l’autre était plus fort que tout et il ne faiblirait jamais. Ça ne serait peut-être pas toujours facile, mais maintenant, je savais que ça serait pour toujours, et j’étais plus paisible et heureuse que jamais quand je m’endormis à mon tour.

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Une fois que les regards en coin et les messes basses cessèrent, mon retour au Pete’s me fit vraiment un bien fou, sans parler du fait de pouvoir de nouveau écouter le groupe. Kellan chantait toujours ma chanson en me regardant, et je finissais toujours en pleurs. Si les mots étaient des caresses, alors il me faisait l’amour à chaque fois qu’il la chantait. Il y avait toujours quelques filles qui se pâmaient dans le public et qui s’imaginaient sûrement comme étant l’objet de son affection. Parfois, certaines étaient un peu trop pressantes après le concert et je regardais Kellan les repousser gentiment en souriant. J’étais jalouse, bien sûr, mais je savais que j’étais la seule dans son cœur, et je lui faisais entièrement confiance. Comment j’aurais pu douter de lui, avec le tatouage qu’il avait sur la peau ?

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– Me laisse pas.

– Kiera…

– S’il te plaît… Reste avec moi. Pars pas.

– C’est la meilleure chose à faire.

– Bébé, fais pas ça. On est enfin ensemble et je veux pas que ça s’arrête.

En m’entendant l’appeler comme ça, il me regarda dans les yeux et passa un doigt le long de ma joue.

– Justement. On est pas ensemble.

– Dis pas ça. Bien sûr qu’on l’est. J’ai juste besoin d’un peu de temps, mais faut que tu restes. Je supporterai pas de te voir partir.

Je pris son visage entre mes mains et l’embrassai passionnément mais il s’écarta au bout de quelques secondes.

– Tu le quitteras jamais, et je veux pas te partager. Alors qu’est-ce qu’on fait, dis-moi ? Si je reste, il va finir par découvrir la vérité. J’aurais tellement aimé que ça soit différent, j’aurais tellement voulu te rencontrer en premier… être ton premier… Que ce soit moi que tu choisisses…

– C’est toi que je veux, laissai-je échapper.

On se figea tous les deux. Une larme roula sur sa joue et il y avait tellement d’espoir et de souffrance dans ses yeux que je regrettai immédiatement d’être venue dans sa chambre. J’avais tellement paniqué à l’idée qu’il s’en aille que j’avais dit la seule chose qui le convaincrait de rester. Je voulais qu’il reste, plus que tout, je voulais rentrer dans le bar en lui tenant la main, je voulais l’embrasser à chaque fois que je le voyais, je voulais faire l’amour avec lui sans avoir peur et dormir dans ses bras toutes les nuits…

Je venais enfin de comprendre. C’est avec lui que je voulais être.

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– S’il te plaît, pardonne-moi. J’ai essayé de t’oublier mais ça a pas marché. Je suis désolé de t’avoir fait du mal. J’ai jamais voulu être avec quelqu’un comme je veux être avec toi. Quand j’étais avec elles, c’était toi que je voyais, et c’était toi que je voulais. C’est toi que je veux, pour toujours. Je t’aime tellement.

J’avais du mal à suivre ce qu’il disait, mais je le voulais encore plus, et ma respiration s’accéléra encore, tandis que nos baisers s’intensifiaient.

– Je t’aime tellement, et j’ai besoin de toi. Pardonne-moi. Reste avec moi. Dis-moi que c’est ce que tu veux, toi aussi. S’il te plaît… Je veux que tu sois à moi.

Il arrêta de m’embrasser et se figea. Il avait de nouveau l’air terrifié, comme s’il venait de se rendre compte de ce qu’il venait de dire.

– Kiera ? dit-il d’une voix tremblante.

Je réalisai que je n’avais pas dit un mot depuis un long moment. Il avait mis son cœur à nu devant moi et j’étais restée là sans rien dire. Certes, il ne m’avait pas trop laissé la possibilité de répondre, mais il ne s’en était sans doute même pas rendu compte, et à présent, tout ce qu’il voyait, c’était mes larmes et mon silence.

L’émotion me noua la gorge et je fermai les yeux. J’avais besoin d’une minute pour imprimer tout ce qu’il venait de dire. Il m’aimait ? Il m’adorait ? Il voulait être avec moi pour toujours ? Il m’aimait ? Il voulait que je sois avec lui ? Il m’aimait ? Les sentiments contre lesquels j’avais tellement lutté m’envahirent à nouveau, avec tout ce qu’on avait traversé, chaque larme, chaque sourire, chaque mot… Il m’avait aimée pendant tout ce temps ?

Je le sentis se redresser et je me rendis compte que j’étais toujours allongée sans rien dire, les yeux fermés. Je les ouvris et vis son air triste et paniqué. J’attrapai son bras pour l’empêcher de s’éloigner et une larme roula sur sa joue quand son regard croisa le mien. Je l’essuyai avec mon pouce, attirai son visage à moi et l’embrassai.

– Kiera, murmura-t-il contre ma bouche.

– T’avais raison depuis le début : on est pas amis, on est bien plus que ça. Et je veux être avec toi. Je veux être à toi.

C’était exactement ce que je ressentais à cet instant. À cet instant, il était tout pour moi, et plus rien n’existait à part lui. Je n’en pouvais plus de résister. J’étais fatiguée de me battre, et je voulais être à lui.

Il soupira doucement et m’embrassa comme si on ne s’était pas embrassés depuis des années. Il tremblait de tout son corps et il se décala légèrement pour se presser contre moi. Le bruit qui s’échappa de sa gorge me ravit.

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– Kellan, je…

Je ne savais pas quoi dire, et je sentis les larmes monter encore. Il ne me laissa pas finir : il leva une main pour me caresser la joue et il m’embrassa une nouvelle fois, dans un baiser plein de tendresse et d’émotion.

– Je tiens tellement à toi, et tu m’as tellement manqué. Je suis vraiment désolé pour tout ce que je t’ai dit, et d’avoir menti à propos de ta sœur… Je l’ai pas touchée, je t’avais promis que je ferais rien. Mais je pouvais pas te dire à quel point j’avais mal.

C’était comme si le fait de me dire enfin ce qu’il ressentait avait fait céder un barrage, et à présent, il ne pouvait plus s’arrêter. Il parlait à toute vitesse entre deux baisers.

– Toutes ces filles… J’avais tellement peur de te toucher. Tu voulais pas de moi, et ça me faisait trop mal. Je suis tellement désolé. Je t’aime.

Les larmes ruisselaient sur mes joues tandis que je l’écoutais, abasourdie. Ses lèvres continuaient à me parler et à m’embrasser sans s’arrêter.

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– Reste.

– Kiera, s’il te plaît. Va-t’en, souffla-t-il.

– Reste… s’il te plaît. Reste avec moi, le suppliai-je à voix basse.

Je ne savais pas ce que je disais, je savais juste que je ne pouvais pas supporter l’idée de ne plus jamais le voir. Une larme roula le long de sa joue et mon cœur se brisa en mille morceaux. Sa douleur, sa souffrance éveillèrent des sentiments que je n’avais jamais éprouvés pour lui avant. Je voulais le protéger, le guérir. J’aurais donné n’importe quoi pour qu’il arrête de souffrir. Sa froideur, sa colère, les filles, Denny, le bien et le mal… tout ça disparaissait quand je voyais la souffrance dans ses yeux.

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Extrait ajouté par louisedehaene 2018-01-02T18:20:56+01:00

Soudain, il s’approcha et m’embrassa juste au coin de la bouche, en effleurant à

peine ma lèvre inférieure. J’étais si choquée que j’étais incapable de réagir. Ma main

était toujours sur sa joue et je retins mon souffle. Il m’embrassa dans le cou et glissa sa main sous les draps pour la poser autour de ma taille. Il m’attira plus près et j’entendis sa respiration s’accélérer. Ses lèvres se promenaient dans mon cou et sa main se resserrait sur ma peau. Puis il arrêta de m’embrasser et appuya son front contre le mien.

Sa respiration était entrecoupée. Là, c’était clairement contre mes règles.

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Extrait ajouté par MelieGrey 2017-03-25T14:37:48+01:00

- Mince, excuse-moi.

- Je te fais marcher, ça fait pas si mal que ça, dit-il en m'attirant contre lui.

- Crétin, dis-je en mettant mes bras autour de son cou.

- Peut-être, mais au moins tu me fais un câlin.

- T'es vraiment insupportable.

- Oui, mais tu m'aimes bien quand même.

- Je sais vraiment pas pourquoi, répondis-je avec un soupir dramatique.

- Donc, tu m'aimes vraiment bien. J'étais pas sûr...

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Extrait ajouté par MelieGrey 2017-03-25T14:33:27+01:00

- Ca suffit, dit-il en me tendant la main.

- Quoi ?

- Tu vas pas encore passer ta journée à te morfondre dans le canapé. Tu viens avec moi.

Il m'agaça, et je ne bougeais pas d'un millimètre.

- Et on va où ?

- Au Bumbershoot.

- Au quoi ?

- Au Bumbershoot. Fait moi confiance, tu vas adorer.

Je lui adressais un regard sarcastique.

- Mais ça va ruiner ma parfaite journée d'auto-apitoiement.

- Effectivement.

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