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« Rory leva une main pour lui caresser la joue. Cet échange banal et désinvolte était pourtant si intime que Dési dut détourner le regard.

— Bon sang, prenez une chambre ! Donne-moi le sac de Lulu. On se retrouve à la maison, Rory.

— J’arrive, j’arrive ! protesta Rory en riant.

Mais elle attrapa d’abord son bel époux et tendit le cou pour l’embrasser.

Dési ferma le blouson de Lulu et serra la petite contre elle, assaillie par la jalousie.

— Je suis désolée, preciosa, souffla-t-elle à Lesley, je ne savais pas qu’ils te torturaient comme ça. Sinon, je serais venue te sauver plus tôt ! »

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« — Si vous arrivez à faire faire ses exercices à mon père, j’admettrai volontiers que j’avais tort.

— Pff. Ça ne suffit pas. Quand il remarchera grâce à mes bons soins, vous admettrez que vous aviez tort… et j’aurai carte blanche.

— Carte blanche ?

— Oui. Vous devrez faire quelque chose pour moi. Ce que je veux. »

— Marché conclu ! lança-t-il en ouvrant la portière de la voiture et en se penchant à l’arrière pour récupérer ses bagages. Et chaque jour où il ne coopère pas, vous venez travailler avec moi.

La main sur la portière, Dési marqua une pause.

— Même si vous pensez que je ne suis pas à la hauteur ?

— Vous n’êtes pas à la hauteur. Mais, Princesse, ça vaudra le coup, ne serait-ce que pour me divertir.

Sur ce, il mit le plus gros sac sur son dos et se dirigea vers la maison.

Espèce de salaud arrogant.

Elle mit son sac à main en bandoulière pour avoir les mains libres afin de garder l’équilibre. Maudit soit Christian Louboutin et ses chaussures si peu pratiques.

— Ça marche ! Je serais une super cowgirl si je le voulais, s’écria-t-elle. Ce qui est dommage, c’est que je n’aurai pas le temps de vous le prouver : je serai trop occupée à apprendre à votre père à danser le tango.

— Essayez déjà d’arriver à la maison en un seul morceau, d’accord ? »

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« — Allez-vous arriver jusqu’à la grange aujourd’hui, Dési ? demanda Celia.

La jeune fille embrassa sa mère et s’arrêta sur le pas de la porte.

— Bien sûr. Comme tous les jours jusqu’ici.

Une performance digne d’un oscar. Elle avait mal à la mâchoire à force de serrer les dents.

— Je sais. Je n’arrive pas à croire que vous en redemandiez encore ! s’esclaffa Celia en quittant la cuisine.

— Besame el culo, marmonna Dési. Salope.

— Vous avez dit quelque chose ? demanda Marnie, qui était en train de beurrer une tartine.

— Ça alors, mentit-elle en levant sa tasse. Le café est particulier. Bon. Et si nous parlions de Joe ? »

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« — Posez-moi ! protesta-t-elle, mais il n’en tint pas compte. Zach, je vais bien. Vous allez vous ruiner le dos.

— Probablement, répondit-il dans un grognement. Ne vous inquiétez pas pour ça. Vous intimidez peut-être beaucoup d’hommes, mais pas moi.

— Oh !

Elle se débattit pour se libérer de son étreinte, mais il ne la lâcha que lorsqu’il eut atteint le porche.

— Vous n’êtes pas une brindille, dit-il en enlevant de la neige dans le dos de Dési, mais croyez-moi, aucun homme n’y verrait rien à redire : vous avez ce qu’il faut où il faut.

Elle cligna des yeux, interdite, aussi troublée qu’une adolescente face à son premier amour. »

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« La hanche de Zach était pressée contre sa cuisse, chaude et ferme, glissant sur le cuir. Elle voulut l’imiter, mais ses fesses refusèrent de glisser. Elle poussa sur ses pieds pour se décoller de la surface en caoutchouc, et son pied glissa. Malgré ses efforts, ses mains se détachèrent l’une de l’autre. Au ralenti (c’était du moins son ressenti), elle s’éloigna de Zach et de la machine.

En un instant, il n’y eut plus que l’air frais autour d’elle.

Dési vit l’horizon faire un tour complet avant d’atterrir sur la neige soyeuse, rebondissant sur le sol avant de s’immobiliser, se sentant aussi gracieuse et maîtresse de ses mouvements que ce pataud de Pépère. »

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" - Evidemment. Cerson est unique. Quand Zach et moi nous sommes rencontrés la première fois, à ton pseudo-mariage à la mairie, et que j'étais prête à lui arracher les yeux ? Il m'a matée comme une pomme d'amour à la foire.

- Les choses sont différentes aujourd'hui. Zach a changé, Dési, lui confia Rory après une hésitation. Carson est inquiet. Ne... ne profite pas de sa vulnérabilité passagère pour attaquer, d'accord ?

- Bon sang, tu me prend pour qui ?

Elle tenta d'adopter un ton outragé. Voilà une conversation qu'elle ne tenait pas à avoir.

- A t'entendre, on croirait que je suis la fille de Mrs Robinson et d'Hannibal Lecter. Je ne mange pas les hommes tout crus. Sauf s'ils me supplient.

Mais Rory refusait de s'avouer vaincue.

- Zach est un mec super. Si je pouvais choisir quelqu'un pour toi, ce serait lui. Vous pourriez vivre heureux à tout jamais à deux pas de chez nous, faire des bébés qui vous ressembleraient, qui seraient aussi grandes gueules que vous... Ils deviendraient les meilleurs amis de nos enfants. Mais pas dans l'immédiat.

Désirée partit d'un éclat de rire.

- Allô, Rory, ici la Terre. C'est ce que j'adore chez toi, chica. Ton sens de l'humour."

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" - Si vous arrivez à faire faire des exercices à mon père, j'admettrai volontiers que j'avais tort.

- Pff. Ça ne suffit pas. Quand il remarchera grâce à mes bons soins, vous admettrez que vous aviez tort... et j'aurai carte blanche.

- Carte blanche ?

- Oui. Vous devrez faire quelque chose pour moi. Ce que je veux.

- Marché conclu ! lança-t-il en ouvrant la portière de la voiture et en se penchant à l'arrière pour récupérer ses bagages. Et chaque jour où il ne coopère pas, vous travailler avec moi.

La main sur la portière, Dési marqua une pause.

- Même si vous pensez que je ne suis pas à la hauteur. ?

- Vous n'êtes pas à la hauteur. Mais, Princesse, ça vaudra le coup, ne serait-ce que pour me divertir."

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