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Pourquoi l’ont-ils choisi, lui ? Peut-être parce qu’il aime chanter, mais certainement pas à cause de sa tignasse rousse, qui brille comme du cuivre quand sœur Dionne l’enduit de lotion. Il était le « Tiroir numéro 24 » de l’Orphelinat catholique. Il sera désormais le gars des Cyr. Il a six ans. C’est juste avant l’Expo 67.
Pendant douze ans, il travaille à la Boulange, l’entreprise familiale, où on vend du pain et des gâteaux.
Mais les temps changent et la Boulange ferme ses portes. Les bourgeois du quartier délaissent les mokas, les pains Weston et les pâtés au saumon et préfèrent désormais le lapin aux pruneaux, le céleri rémoulade et les nouilles d’Alsace. Il va travailler pour l’Européen qui vient d’ouvrir boutique de l’autre côté de la rue. Pour les Cyr, c’est une trahison. Mais pouvait-on attendre autre chose d’une engeance comme lui. Après tout, ce n’est pas leur sang qui coule dans ses veines.
Michael Delisle sait évoquer toute la part de mystère qui se cache dans chaque destin. À travers l’errance du gars des Cyr, c’est une étape charnière de la conscience québécoise qu’il nous fait revivre. Le passage de la tradition à la modernité, qui cache bien des périls.
Ce livre était l'un des cinq nominés au Prix Collégial Littéraire quelque part dans les années 2010 et honnêtement, je ne sais toujours pas ce qu'il faisait là. Je devais le lire, étant membre du jury de mon cégep, mais c'est vraiment la seule raison qui explique cette lecture.
Ce très court livre n'est pas venu me chercher, ni dans les personnages, ni dans le message, si message il y avait.
En gros, il s'agit de l'histoire d'un enfant orphelin, roux et, on l'apprendra plus tard, gay. Cet enfant est adopté par un couple ayant déjà une fille et qui tienne une boulangerie. On comprend donc qu'il est adopté pour aider à faire rouler le commerce, plus que par amour. C,est sans doute pour ça que notre protagoniste ne flaire pas le piège quand le beau commerçant d'en face, marié et père de famille, décide "de se le faire". Mais cette relation hautement sexuelle n'a rien de beau ni de tendre. C'est de la baise féroce. Attention, je ne suis pas en train de dire aux amatrices de sexe féroce homosexuel que ce livre est pour elles, car ce n'est pas érotique comme livre. Bref. Notre héro en mal de vivre fini par se venger de son amant, qui préfère sa famille à lui, et fini par devenir une sorte de vagabond qui se laisse violer par d'autres hommes. Rien de très claire ni de très prenant. Je me fais l'impression d'une insensible. Alors, ce récit déprimant, court et qui fini plutôt abruptement, pour ne pas dire en queue de poisson, ne m'apporte rien sinon une réelle impression de perte de temps et l'impression d'avoir autant d'empathie qu'un navet.
Mais, comme pour tous les livres que je déteste ( fort peu nombreux) voici des suggestion:
- "Appelle moi par ton nom" , pour les amatrices/amateurs de sexe brut entre jeunes hommes
- "Autoboyographie", pour les amatrices/amateurs de romance homosexuelle tendre et adolescente
- "Il pleuvait des oiseaux", pour les amatrices/amateurs de romances en littérature québecoise
Résumé
Pourquoi l’ont-ils choisi, lui ? Peut-être parce qu’il aime chanter, mais certainement pas à cause de sa tignasse rousse, qui brille comme du cuivre quand sœur Dionne l’enduit de lotion. Il était le « Tiroir numéro 24 » de l’Orphelinat catholique. Il sera désormais le gars des Cyr. Il a six ans. C’est juste avant l’Expo 67.
Pendant douze ans, il travaille à la Boulange, l’entreprise familiale, où on vend du pain et des gâteaux.
Mais les temps changent et la Boulange ferme ses portes. Les bourgeois du quartier délaissent les mokas, les pains Weston et les pâtés au saumon et préfèrent désormais le lapin aux pruneaux, le céleri rémoulade et les nouilles d’Alsace. Il va travailler pour l’Européen qui vient d’ouvrir boutique de l’autre côté de la rue. Pour les Cyr, c’est une trahison. Mais pouvait-on attendre autre chose d’une engeance comme lui. Après tout, ce n’est pas leur sang qui coule dans ses veines.
Michael Delisle sait évoquer toute la part de mystère qui se cache dans chaque destin. À travers l’errance du gars des Cyr, c’est une étape charnière de la conscience québécoise qu’il nous fait revivre. Le passage de la tradition à la modernité, qui cache bien des périls.
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