Tokyo Revengers, Tome 18

Ce tome traite quasi exclusivement de la bataille contre Tenjiku, et traîne méchamment en longueur sans vraiment apporter grand chose.

Dans ce tome intense de Tokyo Revengers, Takemichi et ses compagnons se rendent au rendez-vous fixé par le redoutable Izana Kurokawa, malgré l’absence des figures majeures du Toman. Leur détermination à affronter le Tenjiku ne faiblit pas, même si l'écart de puissance est frappant : cinquante membres du Toman font face à une armée de quatre cents adversaires. Takemichi, bien que conscient de cette inégalité flagrante, galvanise ses troupes et réaffirme son objectif, qui n’a jamais été aussi clair : vaincre Kisaki et Izana, et ramener Kokonoi du côté de ses anciens alliés.

La tentative d'Inui pour raisonner Kokonoi est touchante mais douloureuse. Un flashback poignant révèle le passé tourmenté de Kokonoi et les raisons profondes de son obsession pour l’argent, une quête de richesse qui découle d'une blessure personnelle profonde. Ce retour en arrière offre une pause émotive dans l’intensité des combats, permettant au lecteur de mieux comprendre les failles de Kokonoi et le lien complexe qui l’unit à Inui.

Parallèlement, la tension monte entre Angry et Hakkai, qui doivent faire face aux frères Haitani, connus pour leur synchronisation parfaite au combat. L’alliance forcée entre Angry et Hakkai est difficile, mais ils découvrent peu à peu un terrain commun, une force qui pourrait les mener à un véritable travail d’équipe. Cette dynamique ajoute une touche stratégique intéressante à l’affrontement.

Cependant, malgré ces instants de tension et d’émotion, j’ai le sentiment que l’histoire commence à tourner en rond. Les combats, aussi bien orchestrés soient-ils, finissent par devenir prévisibles, comme si la série s’enfermait dans un schéma répétitif qui étouffe un peu le suspense. L’énergie brute et l’élan qui m’avaient accroché dans les premiers tomes semblent s’essouffler, et cette montée d’adrénaline qui rendait chaque chapitre palpitant a un peu perdu de son intensité. J’aimerais voir l’intrigue prendre un virage, surprendre à nouveau, pour retrouver cette excitation initiale qui faisait battre mon cœur à chaque rebondissement.

Ce tome m'a. confirmé que j'aime Chifuyu, que l'histoire de Koko et Inui est trop triste je m'attendais pas du tout à ça

Vivre il est bien lui la guerre a des clans, c'est bien. C'est des trucs intéressants, c'est que Mikey. Il va avoir de l'effort tout ça mais c'est un peu dommage. Emma elle me et taki Michou. C'est lui qui déclare le clan la guerre

Quel plaisir de retourner dans cet univers, j'ai beaucoup apprécié lire ce tome !

Peyan, c’est mythique, c’est son tome. Un tome où le Toman en petit comité va faire parler de lui, va s’imposer

Un tome très fort en action, ce qui peut vite donner un goût de trop redondant, mais j'ai apprécié que les autres personnages aient une chance de briller. Mention spéciale à Peyan qui m'a bien fait rire, faut pas trop le chercher le bonhomme.

Vivement la suite ! Les tomes sont de plus en plus incroyables !

Tome classique de baston, Takemichi galère toujours sévère. Par l'utilisation des personnages féminins, l'auteur est à la fois un grand romantique, et quelqu'un qui aime le drame. J'apprécie. Par amour, l'être humain est capable des pires bassesses. Pour autant; ma hype des débuts est retombée il y a bien longtemps, c'est le risque avec une intrigue basée sur les sauts temporelles.

Le Toman est prêt à se battre contre le Tenjiku, malgré l'absence des éléments forts. Mais à 50 contre 400, le rapport de force est inégal. Le but de Takemichi? Tuer Kisaki et Izana, en plus de récupérer Kokonoi. Mais le combat ne s'annonce pas facile..

Inui essaie de raisonner Kokonoi, mais celui ci semble être totalement brisé...

Angry et Hakkai, eux, ont du mal à s'entendre. Et pourtant, ils vont le devoir, pour espérer battre les frères Haitani!

Le suspense est à son comble! La suite!! C'est dingue comme ce manga est addictif!