Tolbiac juillet, Tome 1 : La Fenêtre de Dieu

Je suis plutôt thriller, policiers, cosy crime mais la curiosité m'a détournée de ces choix

La semaine dernière, je n'avais pas envie de lire un thriller, je me suis donc lancée dans la lecture de " Tolbiac Juillet " de Cedric Blondelot.

Je ne sais pas si je peux le qualifier de roman d'aventure mais j'adore ce livre et j'aime beaucoup style d'écriture de l'auteur.

Au debut du tome 1, on assiste à l'abattage de la vache Mirabelle aux USA.

Mais pourquoi une telle scène puisque ce livre est sensé raconter l'histoire de Tolbiac Juillet, un orphelin abandonné dans un kiosque à journaux parisien ?

Dans cette première partie, le langage fleurie mais pas trop, l'humour un peu décalé. On est dans le monde des magiciens et du spectacle parisien.

Tout coule de source et on se laisse emporter dans la vie de Tolbiac jusqu'au moment où un fait "surnaturel", nous propulse dans la vie que Tolbiac aurait eu s'il n'avait pas été abandonné

A partir de ce twist, l'écriture de l'auteur change, elle est plus profonde, exit la magie, Tolbiac essaie de comprendre comment et pourquoi il est arrivé là.

On l'accompagne dans cette recherche et cela nous fait réfléchir sur le sens de notre vie et de nos choix. Quel est la part de l'inné et de l'acquis dans notre vie ?

Je ne regrette pas d'avoir remonter ce livre sur le haut de ma Pal !!! Et j'entame avec empressement le tome 2.

La couverture nous accroche et nous hype avec une citation d'Amélie Nohtomb en personne qui donne son avis positif sur ce Livre.

Tolbiac Juillet, tome 1 : La fenêtre de Dieu – Un Livre de Tolbiac Juillet (France, 1976) (6 Livres)(tome 1 sur 4) – 400 pages – 1er Mai 2017 – « Autres éditions » - 4.44/5 (Sur 140 notes sur Babelio).

Le personnage « 913 B »(Mirabelle) espère s'échapper d'un centre de détention. Il fait la métaphore avec les bêtes et l'abattoir, et à des refrains punks… NB ; ça me semblait tellement inattendu que je ne l'ai pas réalisé tout de suite !

C'EST l'histoire d'une vache !!

« le coeur n'y était plus, les pattes non plus. Ici, il ne serait jamais qu'un matricule, qu'une Longhorn, une bonne vache du Texas. »

(page 6)

« Lui n'aimait pas du tout la neige. Aussitôt, il se pissa dessus pour se réchauffer. »

(page 10)

Radical, lol …

En suite ça parle de jeunesse, Halloween et déguisements…

Prénom : Erin.

Nom : Bennet

Admission à l'hôpital, le 22 juin à 23h12, pour tentative de suicide.

Je n'ai pas aimé ce Livre car il n'y a vraiment aucun dialogues et Dieu sait que j'aime ça dans un Livre, le dialogue, le style oral alors quand il n'y en a pas du tout (Taiseux) je ne peux vraiment pas apprécier l'histoire. Désolé !

Phoenix

++

J'ai eu un peu de peine à savoir où l'auteur voulait en venir mais au fil des pages on se laisse embarqué par le personnage. C'était assez déroutant mais agréable à lire

Difficile de commenter Tolbiac Juillet (La fenêtre de Dieu) sans mettre à nu les ressorts et rebondissements. On suit les péripéties de Tolbiac Juillet qui subit un brusque changement de perspective, mais aussi celles d’une peau… Le début peut déconcerter car il faut attendre la fin pour que l’équilibre s’établisse. Un roman en quatre parties, mais en trois temps, une valse de possibilités qui entraine Tolbiac Juillet dans la confusion, et une quête. Un personnage attachant, bien qu’il se déprise au point de ne pas assumer l’amour, mais dont le miroir est déprimant, voire repoussant. Il y a une part de fantastique dans cette histoire, à moins que les fileuses de destin soient devenues bordéliques. Et j’ai un faible pour la natation synchronisée des mots qui vous plonge dans un bain d’expressions imagées. Bref. Je recommande.

Quelle déception !

Tout d'abord je pensais acquérir un livre d'histoire ! vendu par l'auteur sur Facebook

Ensuite, la valse des personnages et des aller-retour temporels m'ont donné le vertige et des nausées.

Les personnages se croisent, se recroisent tout cela pour aboutir au père ! (l'auteur qui a perdu le sien avant la publication de son livre a voulu faire un hommage ?)

Je n'ai tellement pas aimé que j'ai lu (pour la première fois) le dernier chapitre) au milieu de la lecture...

Style contemporain peut être mais pesant.

Reste l'histoire de la vache Mirabelle dont la peau a fait le Perfecto qui saupoudre l'histoire !

j'ai beaucoup aimé, original, j'ai passé un super moment avec Tolbiac, au fil des pages on veut savoir la suite, ce qui arrive à Tolbiac, si il va s'en sortir j'ai beaucoup aimé l'écriture de Cédric Blondelot

très original, à lire

Honnêtement, j'ai eu beaucoup de mal à le démarrer. Pour cause : son écriture d'une richesse à se faire pipi dessus ! Mon vocabulaire n'est clairement pas assez fourni pour apprécier à 100% le récit, ce qui ne m'a pourtant pas empêché de l'aimer. Cédric Blondelot nous embarque, dès les premières lignes, dans une histoire qui fait sens, mais avec un style que je qualifierait d'assez « farfelu ». J'adore le farfelu, personnellement ! Ce que j'ai trouvé de très intéressant, au début, c'est l'exposition du récit : comme un travelling optique, Mirabelle est un zoom, un voyage qu'on ne peut saisir qu'à la découverte de son dernier possesseur. Dès les premiers mots de la deuxième partie, nous rencontrons Tolbiac adulte. Un homme qui ne prend pas la vie comme les autres, puisque la sienne a commencé comme personne. Le protagoniste nous communique des émotions et des sentiments d'une façon aisément réceptive, partageant son amour, sa haine ou son dédain pour le reste de l'humanité. Rapidement, on est pris d'affection pour lui, partageant ses joies, ses peines, ses doutes et ses peurs. Tolbiac est cynique, drôle, honnête, en colère, triste, réel. Éternel insatisfait qui, pourtant, avait tout pour être heureux.

La Fenêtre de Dieu est une toile complexe qui nous transperce de ses révélations au goutte à goutte, jusqu'au boum final où nous obtenons des réponses formulant de nouvelles questions. Les mystères de la vie de Tolbiac Juillet sont levés, il ne reste plus qu'à les résoudre.

Un premier roman intriguant et captivant !

Pour commencer un titre intrigant... je me gratte la tête et je me lance...puis nous voilà dans la peau d'une vache qui devient un perfecto et ce perfecto se retrouve sur le dos de notre héros au nom plus qu'atypique !! Mais où donc veut nous emmener l'auteur ? J'ai été intriguée et de dialogue en dialogue avec des personnages hauts en couleur, certains attachants... tout se rejoint !

On se retrouve tous un peu en Tolbiac... et si j'étais né dans ce genre de famille et non celle là... qui serait-ce ? Comment aurai-je grandi ? Si telle chose ne m'était pas arrivée... comment ma vie se serait-elle déroulée ? Et... et... autant de questions que le lecteur se pose... et nous amènent là où l'auteur l'a décidé ! Bravo l'artiste !

Bonjour les lecteurs….

ATTENTION … cela vaut le détour

Tout avait pourtant commencé sur un malentendu entre Tolbiac Juillet et moi.

Très présent dans les groupes de lectures, il attirait mon regard mais sans plus.

Je ne sais pas pourquoi, je pensais qu'il s'agissait d'une BD et bien que j'en sois fan, je ne me décidais pas à cliquer sur l'image.

Jusqu'au petit mot de Cédric reçu un beau matin dans ma boite mail.

Je me rends compte que ladite BD fait plus de 300p, je reste sur ma position et pense à un roman graphique et puis ENFIN mes yeux se décillent.

Me voici face à un roman et pas n'importe lequel … une pépite !

Que de temps perdu !

Je ne dévoilerai que les grandes lignes de cette histoire jubilatoire.

On y suit les aventures d'un perfecto sans fermeture, celles de Tolbiac, enfant abandonné dans un kiosque à journaux dans la rue du même nom et en juillet.

Voici un prénom et un nom tout trouvé.

Tolbiac est magicien, un peu filou et vide-gousset à ses heures comme il se défini.

Nous le suivons dans son quotidien somme toute assez banal quand tout à coup Tolbiac va vivre la plus surprenante des aventure. Le voici un beau jour happé pas la cuvette des toilettes… il se retrouve de l'autre côté, à la place d'un autre lui ressemblant traits pour traits.

Notre Tolbiac est paumé, perturbé.. toutes ses bases s'écroulent au fur et à mesure de ses découvertes.

Qui est-il vraiment ?

Le voici qui part à la recherche de son identité, de ses origines dont il ne s'était jamais soucié jusqu'alors.

Ce roman nous happe des les premières pages. A la fois intriguant et jubilatoire.

On ne s'ennuie pas un seul instant en compagnie de Tolbiac.

De rebondissements en situations cocasses, l'auteur, au vocabulaire fleuri, nous entraine à un rythme soutenu dans les aventures de ce jeune homme un peu paumé en quête d'identité.

Qui, comme Tolbiac, ne s'est pas imaginé avec une autre vie, ayant choisi d'autres chemins ?

Ne passez pas à côté de cette pépite.

Découvrez son auteur qui est un véritable magicien des mots. (On a l'impression de lire du Frederic Dard).

Cédric Blondelot a tout d'un grand et son esprit décalé nous fait du bien.

Bref, je me suis régalée

Pour info .. vient de sortir la suite des aventures de Tolbiac " Tolbiac Juillet en bord de mère " .. pour ma part, je vais très vite m'y plonger.