Je n'ai pas le temps de lui demander pourquoi que sa bouche se plaque contre la mienne.
Il m'embrasse.
Il m'embrasse désespéremment tandis que j'ouvre les yeux en grand immobilisé par la surprise.
- Léo, parviens-je à dire contre lui.
Il prend ça pour un consentement et décide de glisser sa langue entre mes lèvres.
-Léo ! Crié-je cette fois, en réussissant à le repousser.
Le choc, la fatigue, l'enervement, tout me rattrape d'un seul coup et ma main avant que je ne puisse la retenir. Vlan. Je lui mets une claque qui le secoue de la tête aux pieds.

De quoi que soit faite nos âmes, la sienne et la mienne sont pareilles

Toi et moi, Tom. C'est nous qui leur avons fait ca. Et a nous aussi.

- De toute façon, la question n'est pas la, reprit Minho. Je n'avais jamais vu ca. Il n'a pas panique une seconde. Il ne s'est pas mis à geindre ou a pleurer. Alors qu'il n'est là que depuis quelques jours ! Rappelez-vous comment nous étions a notre arrivée. Accroupis dans notre coin, complètement desempares, a pleuré tout le temps, sans faire confiance a personne. Nous avons tous été comme ca, pendant des semaines parfois des mois, jusqu'à ce que nous n'ayons pas d'autres choix que de bouger nos fesses.
Minho se leva et se tourna vers Thomas.
- Lui au bout de quelques jours, il est sorti dans le Labyrinthe pour sauver deux types qu'il connaissait à peine. Toute cette discutions à propos des règles qu'il n'auraient pas respecte c'est n'importe quoi. On ne lui avait pas expliqué les regles. Par contre, on lui avait parlé en long et en large de ce qu'il pouvait s'attendre à trouver dans la Labyrinthe, surtout la nuit p. Et il est quand même sorti, au moment où la porte ce refermait, parce que nous avions besoin d'aide.
Il prit une profonde inspiration. Il semblait reprendre des forces à mesure qu'il parlait.
- Et ce n'est pas tout. Apres ca, il m'a vu abandonner Alby a son sort. Pourtant c'était moi le coureur expérimente. En me voyant renonce il aurait dû ce dire que c'était fichu. Mais pas du tout. Réfléchissez un peu a la force et à la volonté qui lui a fallu pour isser Alby le long du mur, centimètre par centimètre. C'est dingue. Complètement dingue ! Ensuite, les greffeurs sont arrivés. J'avais dit a Thomas qu'il valait mieux nous séparer et j'avais commencé a mettre en pratique nos tactiques d'évasion, en courant selon le schéma preetabli. Au lieu de flipper, Thomas s'est retroussé les manches et s'est occupe d'Alby; il a attiré les griffeurs Derriere lui, en a vaincu un et a trouvé...
- On a saisi, l'imterrompit Gally. L'ami Tommy a une veine de pendu.
Minho lui fait face.
- Non tu n'as rien compris ! En deux ans tu n'as rien vu de pareil...
Minho s'arrêta, se frotta les yeux, puis poussa un gémissement de frustration. Thomas en été bouche bée.
- Gally, reprit Minho d'une voix plus calme, tu n'es qu'une chochotte qui ne s'est jamais intéressé au coureurs et qui n'a jamais demandé à en faire partie. Alors ne parle pas de ce que tu ne connais pas. Alors ta gueule !
...

- Je propose que ce tocard me replace a la tête des coureurs.

"Leonor, le jour ou je mourrais, est-ce que tu regretteras de m'avoir épousé ? "
Alors comme par enchantement je sens les battements de mon coeur ralentir; j'entends le sifflement de la peur refluer, tandis que je monte du plus profond de mon ame une vague calme assurance.
J'ai l'impression que mes cheveux roux se gonflent de chaque côté de mon visage- oui tels des rayons d'une etoiles rouges , comme s'ils étaient souleves par quelques choses qui me porte et me dépasse, par une énergie qui me hausse au dessus de moi meme et qui me rends vraiment geante. Comment Marcus pourrait il engloutie cette lumière, puisque c'est lui qui l'a allumée en moi ? Elle ne s'etteindra jamais.
Les mots coulent de ma bouche, clairs, évidants :
"Tu m'as cache ton secret, Marcus. Mais moi aussi je t'ai caché le mien, et tu ne l'a découvert que malgré moi, lorsque ma robe s'est déchirée."
" tu dis que tu n'aurais pas dû embarquer à bord du cupido. Mais si tu n'avais pas été la, à risquer ta vie pour me sauver du SAS, je ne serai plus qu'un cadavre ensable dans le désert de Mars à l'heure qu'il est.
" Tu prétends etre un condamné qui n'a pas le droit d'être aime. Moi justement c'est le condamne dont je suis tombée amoureuse ! C'est cet évadé qui m'a fait réaliser le prix de chaque minute, de chaque seconde ! C'est ce garçon qui m'embrasse comme si chaque baiser été son dernier !"
Je pose la main sur la poitrine de Marcus; à travers la fine texture de la sous combi noire, je sens le relief des lettres qu'il a creusé au canif; je sens aussi son coeur bien vivant, qui pulse au désir d'exister, de la soif d'aimer a l'unisson du mien.
" Je te repete ce que j'ai deja dit, Marcus le maudit, même si tu devais disparaître la tous de suite, maintenant je ne regretterais rien. Rien du tous !"

ALERTE GROS SPOILE !!
Je ressens un immense soulagement comme si on m'otait un poids de cent kilos de la poitrine. Mes craintes étaient infondees : meme s'il a voté pour faire demi tour Marcus m'a gardé en numéro un ! Deux candidats en revanche on dégringole depuis la derniere fois, et les spectateurs doivent bien se demander pourquoi. Alexeï, le jeune premier du du debut du classement, patauge désormais en bas de classements, et j'ai comme dans l'idée que la manière dont il m'a violemment prise à parti y est pour quelque chose. Meme chose pour Elizabeth, qui avait reussi l'exploit d'être la deuxième de toutes les listes de coeur la semaine derniere: elle est désormais la candidate la moins bien notées, sans doute à cause du vol de ma tablette a croquis, qu'elle a avoué devant tous l'équipage. Derrière la joie d'avoir été choisi par Marcus, derrière la farouche volonté de survivre un fois sur mars, je sens se profiler en moi un drole d'impression: celle d'avoir une sorte de passif avec deux être hunmain partis les onzes qui devraient être mes alliées indéfectibles. Mémo a moi meme: mettre mon amour propre de côté et faire un geste vers eux des que possible, pour qu'on se réconcilie, c'est vraiment trop bête de rester fâches...

Cette sorcière de Serena avait raison, c'est sur moi que repose la décision finale.
Sur moi seule
Seule !
Cette pensée me met la rage au coeur et le feu au lèvres !
J'ouvre la bouche pour dire que j'ai pris ma décision !

N'OUBLIEZ PAS: AU PLUS PETIT SIGNE DE TRAHISON, à la plus infime tentative de me dénoncer, il me suffira d'une simple pression du doigt pour dépressuriser les habitats de toute la base. Vous êtes sous mon index désormais, préparer vous a repasser a l'antenne.

DOUZE
Nous sommes douze rassemblé dans le parloir pour la première fois, cette bulle de verre qui nous a vu défilé deux par deux aux cours des cinq derniers mois: nous les prétendants du programme Genesis, le plus grand jeu télévisé de l'histoire - le plus cruel mensonge de tous les temps.
Nous sommes douze, assoiffés de gloire, convaincus quand embarquant pour Mars, nous deviendrons immortels.
Nous sommes douze assoifés d'amour, persuadés que tous ce terminerai comme dans les contes...

Il pose son front contre le mien et m'attire à lui. Sa peau, son corps entier restituent la chaleur du feu et je ferme les yeux en me laissant envelopper dans son étreinte. Je respire l'odeur de cuir mouillé par la neige, de fumée et de pommes, l'odeur de toutes ces journées d'hiver que nous avons connus avant les jeux. Je n'essaie pas de me dégager. Pourquoi le devrais-je ? Il me murmure:
- Je t'aime
C'est donc ça.



Bien sur on parle de Gale

Il suffit d'un sourire entrevu la bas sous un chapeau de crêpe blanc a bavolet Lilas, pour que l'âme entre dans le palais des rêves....

Je sens son souffle saccadé contre mon oreille.
- Ah, lâche-t-il d'une voix rauque, c'est encore pire. C'est clair...
- Chut. Mets tes bras autour de moi.
Docilement, il les glisse autour de ma taille. Je souris au mur. Mais non, je ne savoure pas ce moment, pas du tout.
- La simulation mesure ton niveau de peurs, chuchoté-je. Si tu arrives à ralentir ton rythmes cardiaque, on passera à la simulation suivante. Essaie d'oublier qu'on est là.
Je ne fais que répéter ce qu'il nous a dit, mais ça l'aidera peut-être de l'entendre.
Ah ouais? Aussi simple que ça, hein ?
Je sens ses lèvres bouger contre mon oreille tandis qu'il parle et une sensation de chaleur m'envahit.
- Tu sais la plupart des garçons se réjouiraient d'être enfermés avec une fille dans un endroit aussi restreint ?
"Crétine" Je lève les yeux au ciel.
- Sauf les claustrophobes, Tris.
Il a vraiment l'air sur le point de craquer.
- D'accord, d'accord.
Je pose ma main sur la sienne et je la guide jusqu'à mon cœur.
- Tu sens mon coeur qui bat?
- Oui
- Tu sens comme il est régulier?
- Il est rapide.
- Ouais peut être, mais ça n'a aucun rapport avec la boîte.
Je m'n mord les doigts avant d'avoir achevé ma phrase. Je viens d'avouer un truc. Espérons qu'il n'a pas relevé.
[...]
- D'accord. Alors... à mon tour demande-moi un truc;
- OK.
Il rit près de mon oreille, d'une voix mal assurée;
- Pourquoi ton coeur bat si vite, Tris ?
Je me maudis et je cherche une excuse qui n'ait rien à voir avec ses bras autour de moi.
- Ben je te connait à peine ...
Très insuffisant.
- Je te connait à peine et je me retrouve collée à toi dans une boîte. Qu'es ce que tu crois?
- Si on était dans ton paysage des peurs, je serai dedans ?
- Je n'ai pas peurs de toi.
- Non, ça c'est sûr. ce n'était pas ma question.

une partie de moi voudrait que l'excitation du festival dure toujours, sauf que mes pieds me font mal, j'ai un coup de soleil sur mes épaules et mes ailes pendouillent misérablement... Heureusement, à partir de dix sept heures, l'affluence commence à diminuer. On se met à ranger, à ramasser les déchets et à rassembler plats et assiettes pour les rapporter à l’intérieur.

Je pense à mon maquillage et je suis une actrice .

Tandis que les matelots profitaient de l'eau douce de l'île pour faire une lessive, qui enfin arriverai à sécher, Gabriel, la mort dans l'âme, se dirigea vers la captiverie .Plus aucun esclaves ne travaillait dans les rues, tous étaient rassemblés dans la cour de la prison, entourés de gardes armés de fouets à clous. Les hommes d'un coté, les femmes et les enfants de l'autre .

- C'est ça de la sorcellerie ? Je croyais que ça ne servais qu'à empoisonner le chien des voisins .
- Tu vois bien que tu n'y connais rien ! Je savais bien que tu te faisais des idées fausses.
-Pas si fausses que ça. Maman passe son temps à fabriquer des mixtures pour enquiquiner les voisins .
-C'est ce qu'elle veut bien te laisser voir. Qu'est-ce qui te dit qu'elle ne fait pas autre chose, hein ? Et d'autre part, avec tout le respect que je dois à ta mère, je remarque qu'elle n'a pas une activité très intéressante, ni très varié.
A SUIVRE

Alex s'assit sur une racine en attendant. Elle se sentait plonger dans une nouvelle spirale de désespoir et essaya d'y résister. Souffrir de la situation ne résoudrait rien, mais rester optimiste était un véritable défi. Heureusement, ses doutes furent interrompus par un bruit dans la forêt : des bruits de pas, qui se dirigeait vers elle ...

Recherché mort ou vif
le voleur, vandale et hors-la-loi
robin de loxley
par ordre du shérif de nottingham
récompense pour sa capture

Il était dix heures du matin, il fut surpris de trouver un habit fort propre à la place du siens.

Dès qu'il fut en Loonois, il confia la reine, son épouse, à son fidèle et loyal maréchal, Rouhault. Puis il partit en guerre avec ses barons. (...) Elle appris qu'il avait été tué par le duc Morgan. Elle devint pâle, cessa de se nourrir et finit par mourir de chagrin le même jour où elle mit au monde un fils. Elle le nomma Tristan, en raison des funèbres circonstances de sa naissance.

- Je veux venir demain avec vous !
- Mais où ?
- Ben manifester dans la rue ! J'en ai marre de le faire dans le jardin
- C'est très dangereux,ils tirent sur les gens !
- Pour une révolution réussisse , tout le peuple doit si mettre .
- Tu t'y mettras plus tard
- Oui ,oui ! Quand ça sera fini
- Maman ,s'il te plaît
- Misère
- Allez ,tu vas te coucher maintenant
- S'il te plait
S'il te plait
S'il te plait
S'il te...

Ezmia se redressa sur son trône.
-Commençons voulez-vous ?
L'enchanteresse regarda tout autour d'elle, l'index collé contre ses lèvres, comme une petite fille dans un magasin de bonbons...