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Extrait ajouté par angel2 2011-07-10T15:28:12+02:00

Chapitre 25, Pages 140 - 141 :

Clélia. Je ne sais pas manier les phrases comme toi, les rendre belles à mourir ou tristes à pleurer. Je ne suis que moi, je ne sais pas grand-chose mais, s'il est une chose dont je suis sûr, c'est que je ne peux pas vivre sans toi.

C'est ma seule certitude.

Je n'arrive même pas à te dire que je regrette, tant ce que j'ai fait est stupide, méchant. Impardonnable. J'ai honte, Clélia. Tellement honte et mes mots pour le dire sont si pâles...

Je me souviens d'une phrase que tu m'as offerte, un jour, sur notre banc, une phrase de ce poète que tu aimes et dont je ne me rappelle jamais le nom : "Un seul être vous manque et tout est dépeuplé."

Mon monde est vide sans toi, Clélia.

Je t'aime.

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Extrait ajouté par BiancaDiAngelo 2012-01-24T19:40:18+01:00

Page 124:

- Je n'ai pas le choix, Mourad. Si je n'y vais pas, je ne pourrai plus jamais me regarder dans une glace. Si je n'y vais pas, je la perds définitivment. Autant me jeter par la fenêtre tout de suite.

- T'habites au second, Ducon ! C'est à peine suffisant pour une entorse au gros orteil...

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Extrait ajouté par mel69 2011-08-05T16:29:05+02:00

Chapitre 24, p.137-138 :

J'ai mal.

Ma peau brûle là où il m'a touchée.

Mes lèvres saignent au souvenir de son baiser.

J'ai mal.

Mes rêves se sont brisés en des milliers d'éclat, chacun d'eux aussi coupant qu'une lame de rasoir.

J'ai mal.

Sa main s'est posée sur moi, je me suis ouverte dans un frisson de joie. J'ai eu soif de sa bouche. Mon corps entier s'est tendu vers lui, irrésistiblement entrainé par une vague avide.

Tout à basculé.

Violence.

Rires mauvais.

Trahison.

Je l'aimais.

Je l'aimais et pourquoi ai-je tant de mal a conjuguer ce verbe à l'imparfait ?

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Extrait ajouté par angel2 2011-07-10T15:28:12+02:00

Chapitre 17, Pages 91 - 92 :

[ ... ]

- Je vois... Pas étonnant que tu sois un peu... comment dire ?

Clélia, faisant mine de s'alarmer, planta ses mains sur ces hanches et vrilla ses yeux dans ceux de Tristan.

- Attention à ce que tu vas raconter ! Tu cherche un compliment ?

- Oui, bien sûr.

- Alors vas-y. Pas étonnant que je sois... ?

- Spéciale ?

- Bof !

- Particulière ?

- Faible !

- Attirante ?

Clélia se figea et Tristan se mordit les lèvres.

Les joues de son amie avaient rosi mais il était incapable de deviner si c'était de plaisir ou de colère.

- Que veux-tu dire par là ?

- Rien, oublie. Tu sais que le vocabulaire et moi... Ton père a vraiment lu tous ces bouquins ?

Bon sang qu'il était lâche ! La porte s'était entrouverte, il aurait pu, il aurait dû s'y faufiler. Attirante, ça veut dire que mon cœur menace d'exploser lorsque mes yeux se posent sur toi. Attirante, ça veut dire que tu hantes mes rêves. Attirante, ça veut dire que ma bouche aspire à la tienne, que mes mains brûlent de te toucher, mes bras de t'enlacer. Attirante, c'est un mot bien faible pour dire que je...

[ ... ]

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Extrait ajouté par lovebook 2011-11-02T18:16:13+01:00

Chapitre 27, page 155

" La vérité est amour, tout le reste est illusion."

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Extrait ajouté par angel2 2011-07-10T15:28:12+02:00

Chapitre 26, Pages 146 - 147 - 148 :

[ ... ]

- Je ne peux te juger, Tristan, encore moins te condamner, reprit-elle d'une voix plus assurée bien qu'empreint de fatigue. J'ai si souvent rêvé à l'Amour. Avec un grand A comme Absolu. Et maintenant qu'il s'est installé en moi, niché dans chacun de mes gestes, chacune de mes pensées, maintenant que je peux sortir de mes livres, vivre mes poèmes et non plus seulement les écrire, je n'ai plus qu'à le laisser se consumer, à attendre qu'il s'éteigne, si jamais il s'éteint...

[ ... ]

- Je suis Tristan, chuchota-t-il, mais tu n'es pas Iseut. Tu es Clélia, mais je ne suis pas Fabrice. J'habite la tour B2 dans la rue de Vienne, pas dans un château ou un livre de poésie. Je suis moi, Clélia. Tu m'as transformé, tu as illuminé ma vie, mais je reste moi. Je t'aime à en mourir, je souhaiterais, au-delà de mes rêves les plus fous, que rien ne soit arrivé ce matin, pourtant je suis moi et je ne peux rien y changer, juste me battre pour progresser. Je comprends que tu ne veuilles plus de moi, je l'accepte, même si j'ai l'impression que mon cœur est devenu un glaçon, même si j'ai mal comme jamais je n'aurais cru pourvoir avoir mal. Tu veux m'oublier, je ne peux que m’effacer. Devenir invisible pour que tu guérisses. Tu m'as tant offert, Clélia, tout était si beau, il aurait juste fallu...

Il prit une longue inspiration, poursuivit dans un souffle :

- Ce que je voudrais avoir la force de te dire... Ce qu'il faudrait comprendre... Clélia. Si un jour tu aime à nouveau, essaie que ce soit d'un garçon que tu t'éprennes, pas d'une idée.

Épuisé, il se tut. Son cœur battait la chamade.

Douloureux.

Moribond.

Les mots qu'il venait de prononcer étaient comme du sang jaillissant à gros bouillons d'une blessure mortelle. Il se mit à haleter, ferma les yeux, priant pour que, quand il les ouvrirait, elle ne soit plus là, qu'elle lui épargne la vision de son dos, de ses pas l'emportant loin de lui. Inexorablement.

Un souffle sur ses lèvres fit rater un battement à l'horloge folle dans sa poitrine.

Un bruissement d'herbes.

Une caresses sur sa joue.

Il ouvrit les yeux.

Une larme humecta sa bouche juste avant que celle de Clélia ne s'y pose, douce, chaude.

Aimante.

Il referma ses bras sur elle.

Son cœur était oiseau.

Il s'envolèrent.

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Extrait ajouté par lovebook 2011-11-02T18:18:28+01:00

Chapitre 27, page 149

" Un baiser est un morceau d'éternité."

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Extrait ajouté par angel2 2011-07-10T15:28:12+02:00

Chapitre 27, Page 151 :

[ ... ]

- Allô, maman ? C'est Tristan... Non, tout va bien... Attends, laisse-moi t'expliquer.. Oui, j'ai vu l'heure mais... Je sais... Laisse-moi parler, bon sang ! C'est ce que j'essaie de te dire depuis tout à l'heure... D'accord, je m'excuse. Je peux parler maintenant ?... Clélia avait des soucis. A cause de moi. Je n'avais pas été très correct. Je suis parti à sa recherche et nous nous sommes expliqués... Clélia... Oui, Clélia, la fille que j'aime... Allô, maman ? t'es toujours là ?... Je croyais que tu avait raccroché. C'est important, tu sais, il fallait que l'on se voie, que l'on... Quoi ?... Tu comprends... Tu es rassurée... Je peux prendre mon temps... Tu es sur que ça va, maman ?... Bon, eh bien, j'arrive bientôt alors... Ciao, maman.

Tristan, éberlué, rendit le téléphone à Clélia.

- C'est le monde a l'envers, marmonna-t-il. Elle a d'abord gueulé puis, tout à coup, elle est devenue vachement cool, comme si elle avait entendu une formule magique...

- Et tu ne vois vraiment pas de quelle formule il peut s'agir ?

- Ben... non.

Elle bondit dans ses bras avec un cri de joie.

- Tu es génial, Tristan ! Je... je... je t'aime !

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Extrait ajouté par anonyme 2011-09-11T11:06:19+02:00

Chapitre 22 p.124:

-Écoute,Tristan, con , t'as le droit, mais stupite, ça me fait de la peine.

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Extrait ajouté par angel2 2011-07-10T15:28:12+02:00

Chapitre 18, Page 100 :

[ ... ]

Tristan secoua la tête.

- Un destin, ça se mord, ça se plie, ça se brise, s'il le faut. Ce n'est pas un mur derrière lequel on peut s'abriter en pensant à ses petits intérêt ! Aimer, c'est faire passer l'autre en premier. L'amour, c'est aimer plutôt qu'être aimé.

Clélia s'arrêta et le fixa de ses grands yeux gris dans lesquels brillait une flamme nouvelle.

- Répète ça.

- Aimer, c'est faire passer l'autre en premier.

- Et l'autre phrase, la dernière.

- Je ne sais plus, moi... L'amour, c'est aimer plutôt qu'être aimé, quelque chose comme ça.

- Ce que tu dis est très beau. Celle que tu choisiras aura de la chance.

Une nouvelle fois la porte s'entrouvrait. Tristan prit une inspiration.

- Je...

[ ... ]

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