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« La force physique et émotionnelle d’un chef-d’œuvre. »
Library Journal
Véritable phénomène d’édition aux États-Unis, le roman d’Anthony Doerr possède la puissance et le souffle des chefs-d’œuvre. Magnifiquement écrit, captivant de bout en bout, il nous entraîne du Paris de l’Occupation à l’effervescence de la Libération, dans le sillage de deux héros dont la guerre va bouleverser l’existence : Marie-Laure, une jeune aveugle, réfugiée avec son père à Saint-Malo, et Werner, un orphelin, véritable génie des transmissions électromagnétiques, dont les talents sont exploités par la Wehrmacht pour briser la Résistance. En entrecroisant le destin de ces deux personnages, ennemis malgré eux, dans le décor crépusculaire d’une ville pilonnée par les bombes, Doerr offre un roman soigneusement documenté et une fresque d’une beauté envoûtante.
Bien plus qu’un roman de guerre, Toute la lumière que nous ne pouvons voir est une réflexion profonde sur le destin, le choix et l’humanité.
Un élève à Schulpforte lui avait un jour décrit un rassemblement nazi à Nuremberg : un océan de banderoles et de drapeaux, des foules grouillantes de jeunes gens et le Führer lui-même sur son estrade, des projecteurs illuminant des piliers derrière lui, l’atmosphère saturé de haine et d'indignation vertueuse. Hans Schilzer débordait d’enthousiasme, Herribert Pomsel aussi, tous les pensionnaires de l'école aussi, et la seule capable de voir clair à travers cette comédie, c'était sa petite sœur. Comment a-t-elle pu ne pas être dupe ?
" Mais à ce moment, qui sait si nous n'aurions pas heurté la partie supérieure de la banquise, si nous ne serions pas effroyablement pressés entre les deux surfaces glacées ?
Il est ici. Juste au-dessous de moi.
Fais quelque chose. Sauve-la. "
Mais Dieu n'est qu'un œil froid et blanc, un croissant de lune suspendu au-dessus de la fumée, et qui cille, qui cille, alors que la cité est progressivement réduite en poussière.
Quel bonheur de lire ce livre. Je lui donne sans aucun souci la note maximale. C'est en tout cas le meilleur livre que j'ai pu lire cette année. Les superlatifs dont il a fait l'objet lors de sa sortie sont tout à fait justifier. Une histoire émouvante, des personnages attachants. On est accroché de bout en bout. Les courts chapitres ôtent toute lassitude de lecture et les pages défiles. Le destin de la jeune Marie Laure est vraiment fabuleux. Alors oui, lisez ce livre dès que vous le pouvez. Superbe....
C'est un livre qui se lit facilement, puisqu'il y a plein de petits chapitres.
Ceux-ci se superposent entre deux héros : Marie-Laure, jeune fille aveugle et française, et Werner, orphelin et Allemand.
Les deux récits sont intéressants et la fin est évidente puisqu'elle se déroule pendant la Deuxième Guerre mondiale. Les derniers chapitres sont le récit des survivants en 1974. C'est assez agréable de savoir ce qu'ils sont devenus.
J'ai bien aimé la fluidité et l'histoire, mais bizarrement, je ne me suis pas attaché aux personnages… peut-être à cause de ces chapitres trop courts…
Un roman que j'ai découvert dans une boîte à livres… comme quoi on peut trouver des perles.
Ce livre est excellent ! C'est bien écrit, fluide, facile et surtout, on y est, partout avec les personnages. La chronologie est, bien que désordonnée, facile à suivre. Une pépite, à mon sens.
J'ai beaucoup aimé ce roman qui parvient à nous raconter une partie de la grande histoire à travers les petites histoires, celles de Marie-Laure et de Werner (ce sont les deux fils conducteurs du récit, nous suivons cependant aussi une multitude d'autres histoires qui découlent de celles des deux héros principaux). Malgré l'arrière-plan historique qui est celui de la Seconde Guerre mondiale, il n'y a pas de parti pris, la guerre happe les deux héros, qu'importe leur parcours de vie, et c'est un aspect qui m'a beaucoup plus. La narration est également très agréable, on suit alternativement et à travers de brefs chapitres l'histoire de Marie-Laure et Werner. Je recommande cette lecture !
Une écriture qui m'a happée avec des chapitres courts qui distillent un suspense continu. J'ai adoré les deux personnages chacun avec un handicap qui les empêche de percevoir la réalité totalement. Le cadre de Saint Malo est inoubliable et tellement approprié à cette histoire. J'ai hâte de voie l'adaptation sur Netflix.
Je dois malheureusement avouer que j'ai été déçue par ce roman pour lequel j'avais beaucoup d'attentes. Je n'ai pas aimé la manière donc ce roman a été construit, soit le manque de chronologie. Je n'ai pas particulièrement aimé le style d'écriture de cet auteur et j'y ai trouvé beaucoup de longueurs, notamment l'histoire d'un diamant cherché par un Allemand tout au long du livre (superflu à mon avis). Ce roman est une succession de petits chapitres, très courts en alternance entre les deux personnages principaux, Marie-Laure Leblanc et Werner Pfenning, mais aussi entre les périodes de l'histoire, car nous sautons constamment des années de début de guerre à la fin de celle-ci. Toutefois, j'ai senti un grand travail de recherche fait par l'auteur sur ces années d'occupation. Malgré tout cela, il y a à mon avis beaucoup trop de longueurs. Ce roman aurait pu être beaucoup plus court. Bref, je me suis un peu ennuyée, même si je me suis rendue au bout du roman, étant très curieuse de savoir comment tout cela se terminerait et quel serait le destin de Marie-Laure et Werner.
1944,Marie Laure devenue aveugle vit sous l'occupation, elle s'est réfugiée chez son oncle après le départ de son père veuf à Saint Malo. Elle a seize ans, elle apprend à vivre avec son handicap. Compter les pas, mémoriser les bruits et les odeurs font partis de son quotidien.
Werner, jeune adolescent autrichien, est doté d'une curiosité insatiable et entend ce que les autres ne sont pas capables de voir. Doué en mathématique et physique il va devenir une véritable machine de guerre au service du Reich.
Marie Laure se rend compte de la guerre, de ce qu'elle fait vivre au gens, Warner lui participe à cette guerre et subit la propagande nazi sans vraiment sans rendre compte.
Les deux finiront pas se rencontrer, que deviendront-ils ?
Malgré des chapitres courts, j'ai trouvé vraiment beaucoup de longueurs à ce roman. Il m'a fallu passer plus de 180 pages avant de pouvoir enfin rentrer dans l'histoire.
De plus une sombre histoire de diamant porteurs de mauvais sorts apparaît, je n'y voit aucun intérêt. Il y a beaucoup de chapitres alternants présent passé et futur, chose que je n'affectionne pas particulièrement, sauf si cela est bien marqué.
Dommage car il y a un énorme travail de recherches sur cette période de la part de l'auteur. Beaucoup d'anecdotes, de tranches de vie, il nous raconte la guerre, l'occupation, la résistance. C'est ce qui m'a permis de m'attacher à ce livre, le côté historique est très riches et intéressant, heureusement sinon j'aurai abandonné. Je m'attendais à quelque chose de beaucoup plus extraordinaire puisque ce livre a reçu le prix Pulitzer en 2015.
Résumé
« La force physique et émotionnelle d’un chef-d’œuvre. »
Library Journal
Véritable phénomène d’édition aux États-Unis, le roman d’Anthony Doerr possède la puissance et le souffle des chefs-d’œuvre. Magnifiquement écrit, captivant de bout en bout, il nous entraîne du Paris de l’Occupation à l’effervescence de la Libération, dans le sillage de deux héros dont la guerre va bouleverser l’existence : Marie-Laure, une jeune aveugle, réfugiée avec son père à Saint-Malo, et Werner, un orphelin, véritable génie des transmissions électromagnétiques, dont les talents sont exploités par la Wehrmacht pour briser la Résistance. En entrecroisant le destin de ces deux personnages, ennemis malgré eux, dans le décor crépusculaire d’une ville pilonnée par les bombes, Doerr offre un roman soigneusement documenté et une fresque d’une beauté envoûtante.
Bien plus qu’un roman de guerre, Toute la lumière que nous ne pouvons voir est une réflexion profonde sur le destin, le choix et l’humanité.
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